La rédaction
Démocratie Participative
11 mars 2024
L’appétit des juifs vient en mangeant.
Avec l’intégration de la loi de la juive Simone Veil dans la constitution, ils sont particulièrement désinhibés. La rébellion du 7 octobre dernier a aussi joué un rôle dans cette agressivité assumée envers les non-juifs.
La tueuse en série Annie Chemla a laissé éclaté sa joie dans un média pour traînées.
Militante au MLAC (Mouvement pour la libération de l’avortement et de la contraception), Annie Chemla a pratiqué des avortements illégaux dans les années 70 et 80. Dans son livre « Nous l’avons fait. Récit d’une libération féministe » et pour Madmoizelle, elle raconte son combat pour le droit à l’IVG.
Lundi 4 mars, les parlementaires français ont approuvé, par 780 voix pour (et 72 votes contre), pour l’inscription de l’interruption volontaire de grossesse (IVG) dans la Constitution. Un vote historique, qui marque l’achèvement d’un travail de longue haleine de sénatrices et députées engagées pour garantir aux femmes la liberté de disposer de leur corps.
La « liberté de disposer du corps de leurs enfants pour les tuer et écarter les jambes comme des putes » est une définition plus exacte.
Si cette réforme constitutionnelle est loin d’être parfaite, elle est aussi le reflet d’une formidable évolution sociétale en faveur des droits des femmes, commencée dans les années 70 grâce au travail de militantes féministes, qui ont lutté pour garantir aux femmes un avortement sûr et légal.
Avant même l’adoption de la loi Veil le 29 novembre 1974, elles étaient des centaines, partout en France, à mener le combat en faveur du droit à l’avortement et à pratiquer des IVG illégales. Parmi elles, se trouvaient Annie Chemla. Militante au MLF (Mouvement de Libération des Femmes) et au Mlac (Mouvement pour la libération de l’avortement et de la contraception), elle a contribué à révolutionner la pratique de l’avortement en France, en accompagnant des femmes souhaitant avorter, puis en pratiquant elle-même des IVG instrumentales, par aspiration.
D’abord militante au MLF, Annie Chemla entre ensuite au MLAC, où elle devient « intermédiaire » : sa mission est d’alors d’accompagner et de soutenir des femmes qui avortent.
Si Annie Chemla a commencé à lutter en faveur du droit à l’avortement, c’est parce qu’il lui semblait « impensable que les femmes n’aient pas le droit de choisir leur maternité, mais aussi tout ce qui concerne leur corps ». L’IVG était alors illégale en France, ce qui engendrait, pour les femmes souhaitant mettre un terme à leur grossesse, mais aussi pour celles qui pratiquaient ces avortements, des risques judiciaires.
« Les femmes avortaient quand même, en tout temps et en tout lieu, mais en prenant des risques énormes pour leur santé », rappelle Annie Chemla, qui évoque les « instruments » utilisés lors de ces avortements clandestins : des sondes, des cintres, des aiguilles à tricoter.
« Les femmes allaient ensuite à l’hôpital, où on leur faisait ce qu’on appelle un curetage : on introduisait une cuillère en métal pour vider l’utérus. Et à l’époque, comme c’était illégal et que les médecins des hôpitaux y étaient très hostiles, on les avortait sans anesthésie, ce qui était un geste extrêmement dangereux. Et plus, elles risquaient, avec ou sans anesthésie, de rester stériles. Beaucoup de femmes en France à l’époque en mouraient. On parlait de 300 mortes par an. C’est peut-être plus, peut-être moins, on ne le saura jamais. »
C’est normal.
Une traînée qui veut tuer son enfant doit risquer la mort.
C’est pour empêcher les femmes de risquer leur vie ou leur fertilité que des médecins militants, réunis au sein du Groupe information santé, ont commencé à pratiquer des avortements illégaux, au sein des hôpitaux. « Ils s’engageaient à pratiquer des avortements en le disant publiquement. Mais en plus, ils venaient d’importer en France une méthode d’avortement non traumatisante : la méthode par aspiration. »
Cette méthode d’assassinat est résolument traumatisante pour l’enfant qui le subit.
C’est dans ce contexte, après le passage de la loi Veil, qu’Annie Chemla s’est formée pour pratiquer elle-même ces avortements par aspiration.
« Ça m’a apporté un sentiment intense de puissance, de prise de pouvoir sur un univers qui nous échappait : notre corps. Voir le col de son utérus, partie de nous-mêmes ne voyons jamais, mais que les gynécologues voient, que les médecins voient, c’est quand même incroyable ! Je me suis posée quasiment seule mon propre stérilet, aidée évidemment par les copines de mon groupe. »
Ce n’est pas une révélation, mais c’est quand même utile qu’une de ces juives monstrueuses avoue de quoi il s’agit véritablement : de sacrifices humains. De sacrifices d’enfants innocents, plus exactement.
Les tueuses en série juives sont protégées par la constitution de leur république
Vous seriez surpris du nombre de juives versées dans la magie noire hébraïque, la cabale.
Plus d’une sert Moloch.
Trop de gens oublient, voire ignorent que ces juifs viennent du Moyen-Orient d’où leur soi-disant religion est issue, ce tissu d’insanités dégueulées par les confins désertiques les plus désolés. Frites au soleil pendant d’interminables siècles, leurs cervelles sont un enchevêtrement chaotique de connexions neuronales qui crachent leur transe dysfonctionnelle à flux tendu.
Aujourd’hui, malgré l’adoption il y a presque cinquante ans de la loi Veil, et la toute récente Constitutionnalisation de l’IVG, il n’est toujours pas facile de recourir à l’avortement en France, constate Annie Chemla.
« Les jeunes femmes pensent que l’avortement est un acquis, elles y vont donc sans s’inquiéter alors que c’est encore très compliqué. Je pense même que si le président Macron a fait augmenter de 12 à 14 semaines le délai pour avorter, c’est en connaissance de ces galères. Souvent, quand les femmes veulent avorter, elles mettent des semaines à trouver une solution. »
« Droit conquis » mais pas acquis, le droit à l’IVG demande donc une vigilance de tous les instants pour ne pas être repris. Et l’inscription dans la Constitution de la « liberté garantie » pour les femmes de recourir à l’avortement n’y change en réalité par grand chose, prévient Annie Chemla : « Aujourd’hui, l’avortement est toujours menacé. Il y a eu il y a quelques années, devant l’hôpital Tenon, des intégristes catholiques qui se mettaient à genoux devant le centre d’IVG et qui empêchaient d’entrer les femmes qui venaient avorter, en les traitant de meurtrières. »
Les juifs vivent du malheur et de la misère des peuples, ils attirent naturellement à eux tout ce qui tend vers l’échec et la mort.
Le juif craint les réflexes de vie des nations qu’il veut détruire. Ce n’est pas pour rien que ces juifs se servent de l’État qu’ils contrôlent pour empêcher que leurs victimes ne puissent parler publiquement de leurs crimes.
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