Un rapport de 2 scientifiques chinois révèle que le virus est très probablement issu du laboratoire de Wuhan créé par Yves Lévy

Captain Harlock
Démocratie Participative
01 Avril 2020

Ce virus est un golem 

Nous en apprenons plus à propos de ce virus chinois.

Un rapport publié il y a deux mois par deux professeurs de l’Université de Technologie de Chine Méridionale, Botao Xiao et Lei Xiao, indique que le Coronavirus provient très probablement d’un laboratoire de Wuhan :

Les chauves-souris portant le CoV ZC45 se trouvent à l’origine dans le Yunnan ou la province du Zhejiang, qui se situent toutes deux à plus de 900 kilomètres du marché des fruits de mer. Les chauves-souris vivent normalement dans des grottes et des arbres tandis que le marché des fruits de mer se situe dans un district de Wuhan, une métropole de ~15 millions d’habitants. La probabilité est très faible pour des chauves-souris de se rendre à ce marché. Selon les rapports municipaux et les témoignages de 31 habitants et 28 visiteurs, la chauve-souris n’a jamais été une source de nourriture dans la ville, et aucune chauve-souris n’a été vendue au marché. Il y avait une possibilité de recombinaison naturelle ou d’hôte intermédiaire du coronavirus, Pourtant, peu de preuves ont été rapportées.

Y avait-il une autre voie possible ? Nous avons passé au crible la zone autour du marché de fruits de mer et avons identifié deux laboratoires menant des recherches sur le coronavirus des chauves-souris. A ~280 mètres du marché, il y avait le Centre de contrôle et de prévention des maladies de Wuhan (WHCDC). Le WHCDC a accueilli des animaux dans des laboratoires à des fins de recherche, dont l’une était spécialisé dans la collecte et l’identification d’agents pathogènes.

Dans une de leurs études, 155 chauves-souris, dont Rhinolophus affinis, ont été capturées dans le Hubei et 450 autres chauves-souris ont été capturées dans la province du Zhejiang. L’expert en collecte a été mentionné dans les contributions des auteurs. De plus, son nom a été diffusé pour la collecte de virus dans les journaux et sites web nationaux en 2017 et 2019. Il explique qu’il a été une fois attaqué par des chauves-souris et il a reçu le sang d’une chauve-souris sur la peau. Il connaissait le danger extrême d’une infection, il s’est donc mis en quarantaine pendant 14 jours. Lors d’un autre accident, il s’est remis en quarantaine après que des chauves-souris lui ont uriné dessus. Il était cependant ravi d’avoir capturé une chauve-souris portant une tique vivante.

Les animaux en cage ont été opérés et des échantillons de tissus ont été prélevés pour extraction et séquençage de l’ADN et de l’ARN. Les échantillons de tissus et les déchets contaminés étaient source d’agents pathogènes. Ils se trouvaient à seulement ~280 mètres du marché des fruits de mer. Le site du WHCDC était également adjacent à l’Union Hospital où le premier groupe de médecins a été infecté au cours de cette épidémie. Il est plausible que le virus se soit répandu autour et certains d’entre eux ont contaminé les premiers patients de cette épidémie, bien que des preuves solides sont nécessaires pour les études futures.

Le deuxième laboratoire était situé à environ 12 kilomètres du marché des fruits de mer et appartenait à Institut de virologie de Wuhan, Académie chinoise des sciences. Ce laboratoire a indiqué que les chauves-souris en fer à cheval chinoises étaient des réservoirs naturels pour les maladies aiguës coronavirus du syndrome respiratoire (SRAS-CoV) qui a causé la pandémie de 2002-2003.

Le chercheur principal a participé à un projet qui a généré un virus chimérique en utilisant le système de génétique inverse du SRAS-CoV, et a signalé le potentiel de émergence. Une spéculation directe était que le SRAS-CoV ou son dérivé pourrait s’échapper de le laboratoire.

En résumé, quelqu’un a été mêlé à l’évolution du coronavirus 2019-nCoV.

En plus des origines de la recombinaison naturelle et de l’hôte intermédiaire, le coronavirus tueur provenait probablement d’un laboratoire de Wuhan. Le niveau de sécurité pourrait devoir être renforcé dans les laboratoires à haut risque biologique. Des réglementations peuvent être prises pour déplacer ces des laboratoires éloignés du centre ville et d’autres lieux densément peuplés.

Le gouvernement chinois ne révélera jamais l’origine du virus. Nous en sommes donc réduits à des hypothèses.

Parmi elles, des personnels d’un de ces deux laboratoires ont pu revendre sous le manteau les cobayes morts à des marchands de ce marché aux animaux exotiques.

Ou bien des personnels infectés ont visité ce marché et contaminé des passants.

Ou alors, un virus mutant d’un programme militaire bactériologique s’est échappé du laboratoire.

A moins que la CIA n’ait infecté ce marché pour semer le chaos en Chine. Voire des organisations transnationales ou terroristes dont nous ignorons tout.

Où, plus logiquement, c’est une création du docteur juif Yves Lévy qui a activement participé à la création de l’Institut de virologie de Wuhan.

Le Monde :

Un laboratoire P4 est un établissement de haut confinement consacré à l’étude des micro-organismes « pathogènes de classe 4 », c’est-à-dire très dangereux. En Chine, ce centre de recherche, sis à Wuhan, a été conçu en coopération avec la France, au lendemain de l’épidémie de syndrome respiratoire aigu sévère de 2003.

Un accord entre les deux pays a été signé en 2004, afin de développer la prévention et la lutte contre les maladies infectieuses émergentes. Le projet a été mené en collaboration avec le laboratoire P4 Inserm Jean-Mérieux à Lyon. L’inauguration s’est déroulée le 23 février 2017 en présence du premier ministre d’alors, Bernard Cazeneuve, et d’Yves Lévy, qui faisait partie de la délégation française.

Or, c’est précisément l’un des deux laboratoires qui est soupçonné par les deux chercheurs chinois d’être à l’origine du virus :

Le deuxième laboratoire était situé à environ 12 kilomètres du marché des fruits de mer et appartenait à Institut de virologie de Wuhan, Académie chinoise des sciences. Ce laboratoire a indiqué que les chauves-souris en fer à cheval chinoises étaient des réservoirs naturels pour les maladies aiguës coronavirus du syndrome respiratoire (SRAS-CoV) qui a causé la pandémie de 2002-2003.

Le ghetto est petit.

Les juifs ne veulent pas que nous sachions

Quoi qu’il en soit, ce virus est très probablement issu d’un laboratoire de Wuhan et les médias juifs ne veulent pas que l’on évoque cette probabilité.

Ils ont lancé une campagne frénétique de désinformation sur le sujet.

Maintenant, je vous pose la question : pourquoi les juifs voudraient cacher l’origine réelle de ce virus chinois ?

Les juifs ne font rien gratuitement.

Il s’agit clairement de protéger les opérations du juif Lévy et de sa femme Agnès Buzyn.

Dens une démocratie hébraïque, un goy ne doit pas penser. Il doit accepter le fait accompli, se soumettre aux autorités juives et prendre pour argent comptant les mensonges des médias juifs.

Si les goyim commencent à remettre en question l’origine du virus, ils remettront rapidement en cause tout ce qu’ont déclaré à son sujet les « experts » de l’OMS, les médias juifs et le gouvernement auquel appartiennent les Buzyn, Salomon, Lévy, Hirsch, etc..

Les goyim ne tarderont pas à découvrir que cette pandémie a été artificiellement gonflée médiatiquement tandis que la finance juive s’empare du contrôle de tous les marchés et édicte des lois d’exception dans tous les états occidentaux.

Et que le tandem juif Lévy/Buzyn est au coeur du processus.

Il est important de parler du rapport de ces deux scientifiques chinois autour de vous.

Parce que les juifs affirment que ce virus n’a qu’une origine naturelle et que c’est à l’évidence faux selon les scientifiques chinois chargés d’enquêter.