La rédaction
Démocratie Participative
05 août 2022
Encore une théorie conspirationniste qui est confirmée.
Les mercenaires du juif Zelensky maximalisent sciemment les pertes civiles en provoquant les Russes depuis des zones d’habitation, écoles et hôpitaux compris.
Le Point :
« Nous avons documenté une tendance des forces ukrainiennes à mettre en danger les civils et à violer les lois de la guerre lorsqu’elles opèrent dans des zones peuplées », a déclaré Agnès Callamard, secrétaire générale d’Amnesty International, dans un communiqué paru jeudi 4 août. D’après Amnesty, l’armée ukrainienne a mis des civils en danger en établissant des bases militaires dans des écoles et des hôpitaux et en lançant des attaques depuis des zones peuplées pour repousser l’invasion russe. De telles tactiques violent le droit international humanitaire, avertit l’ONG dans un communiqué.
C’est un usage classique de la guerre révolutionnaire telle que théorisée par le juif Trotsky.
Il faut d’abord provoquer l’ennemi pour qu’il inflige le plus de pertes à la population. Ensuite, il faut intensivement la travailler par la propagande pour recruter. Enfin, recommencer un nouveau cycle.
« Le fait de se trouver dans une position de défense ne dispense pas l’armée ukrainienne de respecter le droit international humanitaire », a-t-elle ajouté. Entre avril et juillet, des chercheurs d’Amnesty International ont enquêté sur les frappes russes dans les régions de Kharkiv (est), du Donbass et de Mykolaïv (sud-est), inspectant les sites touchés par des frappes et interrogeant des rescapés, des témoins et des proches de victimes.
Le chef de la diplomatie ukrainienne, Dmytro Kouleba, s’est dit jeudi « indigné » par les accusations « injustes » de l’ONG Amnesty International, qui a reproché à Kiev de mettre en danger des civils dans le cadre de la guerre avec Moscou. « Je suis indigné tout comme vous par le rapport d’Amnesty International. Je le considère comme injuste », a dit Dmytro Kouleba dans un commentaire par vidéo publié sur Facebook.
Dmytro Kouleba a accusé en retour Amnesty International de « créer un faux équilibre entre l’oppresseur et la victime, entre le pays qui détruit des centaines et des milliers de civils, de villes, de territoires et le pays qui se défend désespérément ».
« Cessez de créer cette fausse réalité, où tout le monde est un peu coupable de quelque chose et commencez à rapporter systématiquement la vérité sur ce que la Russie représente réellement aujourd’hui », a-t-il ajouté.
Ce type déclare platement que le régime juif de Kiev a le droit de planifier des crimes de guerre, parce que ce régime est une démocratie.
Peu auparavant, le conseiller de la présidence ukrainienne, Mykhaïlo Podoliak, avait assuré que « les vies des gens » étaient « la priorité » et que les populations des villes proches du front étaient évacuées. Mykhaïlo Podoliak a accusé Amnesty de participer à une « campagne de désinformation et de propagande » au service des arguments du Kremlin.
Les démocraties juives n’essaient plus d’argumenter.
Elles se contentent d’accuser tous ceux qui formulent des critiques d’être des bots russes.
Les trolls russes accourent aussitôt pour mentir. Ils sont payés pour ça. Plus on en bloque, plus Poutine en crée. Mais leurs bobards font rire autant qu’ils font gerber…
— Brice Couturier (@briceculturier) May 25, 2022
Selon l’ONG, ces chercheurs ont trouvé des preuves que les forces ukrainiennes lançaient des frappes à partir de zones résidentielles peuplées et avaient établi des bases dans des bâtiments civils dans 19 villes et villages de ces régions. La plupart des zones résidentielles où se trouvaient les soldats étaient situées à des kilomètres des lignes de front, note Amnesty, soulignant que d’autres options qui n’auraient pas mis en danger les civils – comme des bases militaires ou des zones densément boisées à proximité – étaient possibles.
L’ONG indique qu’à sa connaissance les soldats qui se sont installés dans ces zones d’habitation n’ont pas demandé aux civils d’évacuer. Elle affirme que les forces ukrainiennes ont établi des bases militaires dans des écoles et des hôpitaux.
Si l’ONG dénonce ces tactiques ukrainiennes, elle insiste sur le fait qu’elles ne « justifient en aucun cas les attaques russes aveugles » qui ont frappé les populations civiles. Amnesty International dit avoir contacté le ministère ukrainien de la Défense à propos des conclusions de ses recherches le 29 juillet mais n’avoir pas reçu de réponse au moment de la publication du communiqué.
Les démocraties juives ne peuvent pas commettre de crimes de guerre.
C’est une impossibilité métaphysique.
Accuser l’#Ukraine d’opérer depuis des zones civiles? C’est comme reprocher aux résistants français de se battre dans les rues de Paris en août 1944.
Mélange de stupidité et de cynisme. Renvoyer dos à dos agresseurs et agressés. Jouer le jeu de #Poutine. On en est là. Immonde.— Bernard-Henri Lévy (@BHL) August 4, 2022
L’activité des bandes terroristes rouges durant la présence allemande en France relevait précisément de ce mécanisme : assassiner des soldats allemands pour pousser la Wehrmacht à des représailles sanglantes, agiter la population pour recruter ensuite, recommencer.
Les juifs de l’internationale communiste étaient parfaitement formés à cette méthodologie terroriste.
Les Epstein sont partout
Empêcher les juifs de faire tuer des civils dans une guerre, c’est priver un poisson d’eau.
Sans le sang des goyim, ils ne peuvent progresser.