Captain Harlock
Démocratie Participative
05 Mai 2020
Torcher le cul des nègres sous la direction de la République est décidément un loisir aussi coûteux qu’insensé.
Avant ce jeune homme de 21 ans, un brigadier du même régiment avait lui même succombé vendredi à des blessures liées à l’explosion d’un engin explosif.
Un légionnaire français a été « tué au combat » lundi lors d’une opération de lutte contre les groupes armés djihadistes au Mali, a indiqué la présidence française, confirmant ainsi le deuxième décès en quatre jours dans les rangs de la force française Barkhane au Sahel.
Le soldat appartenait au 1er régiment étranger de cavalerie de Carpiagne (Bouches-du-Rhône). Son décès porte à 43 le nombre de militaires français tués au Sahel depuis le début de l’intervention française en 2013, selon un comptage effectué à partir de chiffres publiés par l’état-major.
Il était engagé « dans une action de harcèlement zonal et « de ratissage contre les groupes armés terroristes », selon un communiqué de l’état-major des armées. « Prise à partie à courte distance, l’unité de tête a riposté et a mis hors de combat deux djihadistes. Au cours de cette action de feu, le 1ère classe Kévin Clément, embarqué à bord d’un véhicule blindé léger, a été grièvement blessé par un tir ennemi« , a-t-il précisé.
Touché à la tête, « il a été évacué par hélicoptère vers l’antenne chirurgicale de Gao (nord), où son décès a été constaté« . L’état-major a précisé que l’intervention d’un drone Reaper avait ensuite « permis de constater que le sous-groupement tactique avait été engagé dans un combat de rencontre avec des éléments terroristes isolés ».
Kévin Clément, âgé de 21 ans, était au Mali depuis février. Il était célibataire et sans enfant. Vendredi, le brigadier Dmytro Martynyouk, légionnaire du même régiment, avait lui même succombé à des blessures infligées le 23 avril au Mali par l’explosion d’un engin explosif improvisé.
Encore une fois, comme dans le cas du Légionnaire Martynyouk, le jeune homme meurt sans enfant, entraînant une perte de sang nette pour la race blanche.
D’autant plus qu’elle a lieu dans une de ces contrées nègres travaillées par le fanatisme mahométan où, dans le meilleur des cas, cette opération ne servira strictement à rien sur le moyen et le long terme. Car, aussi surprenant que cela puisse paraître à des dirigeants français – civils ou militaires -, des nègres restent des nègres et des musulmans des musulmans et aucun constructivisme démocratique ne changera le purin en vin.
Aussi évident que cela paraisse, le concevoir, pour un de ces décideurs français, relève de la révolution copernicienne. Nous sommes dirigés par des gens qui croient fermement en l’égalité des races. En fait, ils croient à la supériorité de la race nègre et estiment que nous devons nous saigner aux quatres veines pour la servir.
Ces dernières semaines, l’armée française a multiplié les offensives au Sahel, en particulier dans la zone dite des « trois frontières » entre Mali, Niger et Burkina Faso, revendiquant la « neutralisation » de plusieurs dizaines de djihadistes au total depuis le début de l’année.
Les effectifs de Barkhane sont récemment passés de 4500 à 5100 militaires. Paris espère que ce renfort permettra d’inverser le rapport de force sur le terrain, où les groupes djihadistes ont multiplié les attaques ces derniers mois.
Le président Emmanuel Macron « s’incline avec un profond respect devant le sacrifice du soldat », a indiqué le communiqué du palais présidentiel de l’Elysée. « Il tient à exprimer à nouveau son entière confiance aux militaires français déployés au Sahel » ainsi que le « soutien de la France aux pays du G5 Sahel » (Mali, Niger, Tchad, Mauritanie, Burkina Faso).
« Ce lourd tribut payé par la Légion étrangère n’entame ni sa détermination ni son efficacité. Elle poursuit sa mission, à la manière de ses Anciens », a indiqué pour sa part la ministre des Armées Florence Parly. « Aux côtés de leurs frères d’armes français, européens et sahéliens, la lutte contre le terrorisme continue », a-t-elle ajouté dans un communiqué distinct, en adressant ses « condoléances » à la famille et aux proches du légionnaire.
En novembre, la France a perdu treize soldats dans un accident entre deux hélicoptères en opération au Mali. Paris s’était par la suite ouvertement agacé d’un soutien jugé trop timide à la force Barkhane de la part notamment des autorités sahéliennes, dont celles de Bamako.
Il est de notoriété publique que ces sales nègres, en plus d’être lâches, haineux et fainéants sont également ingrats.
J’ai déjà montré ici ces nuées de cafres manifestant contre la présence militaire française sur place.
Il est pourtant connu que ce sont ces sales nègres du Mali qui ont appelé la France à leur secours pour les sauver des esclavagistes arabo-musulmans du nord du pays qui menaçaient de prendre Bamako.
Vous vous rappelez peut-être des reportages enfiévrés de Radio France Internationale ou de France Culture sur la « menace existentielle » pour l’humanité que représentait l’occupation de Tombouctou par les djihadistes au motif qu’ils brûlaient des feuilles d’arbre sur lesquelles des marabouts avaient griffonné au fil des siècles leurs malédictions et autres invocations d’esprits. Plus quelques tas de bouse séchée que ces arabes avaient eu le bon goût de foutre en l’air.
J’aurais volontiers félicité ces mahométans pour ce travail de salubrité culturelle
Inutile de dire que la France contemporaine, tenaillée par une irrépressible soif de maternage négrophile, a volé au secours de sa chère négraille sans y réfléchir à deux fois. Sept ans plus tard, ce cinéma continue.
Certains viendront me parler de peuls, de berbères, d’arabes, de dogons ou allez savoir de quelle autre ethnie ou tribu qu’il faudrait ajuster dans X ou Y configuration pour que ce salmigondis racial devienne un paradis terrestre. C’est de l’alchimisme. Tout ça n’a aucun sens. Gendarmer des nègres pour les sauver de leur négritude n’a aucun sens.
Il faut laisser la nature procéder à sa propre purge. Que ces terres maudites soient laissées au plus génocideur d’entre tous. Nous avons autre chose à faire. Plus précisément, nous avons des nègres à expulser par millions du pays pour qu’ils retournent s’entretuer dans leurs bleds maudits.