Un maire rouge et sa fille métisse se disent victimes d’une agression par des « nationalistes »

La rédaction
Démocratie Participative
25 décembre 2023

 

Depuis hier, les médias font tout un boucan à propos d’un maire communiste qui aurait été corrigé par des jeunes « identitaires » blancs.

Le type a l’air louche et son récit est bizarre.

Avec les communistes, c’est très simple depuis un siècle : ce sont des menteurs pathologiques.

Il ne faut donc jamais rien croire de ce qu’ils disent.

Le Parisien :

Encore une agression d’élus. Quelques jours après le passage à tabac d’une adjointe au maire de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), le maire communiste du Péage-de-Roussillon (Isère) André Mondange a porté plainte après que lui et sa famille ont été attaqués à Avignon (Vaucluse) dans la nuit de jeudi à vendredi par un groupe de jeunes « qui se sont identifiés comme nationalistes », a précisé l’édile, visage tuméfié, sur BFMTV.

« Il m’a appelé hier (samedi) pour m’en parler. Quand André appelle, ce n’est pas parce qu’il a une ampoule grillée », témoigne auprès du Parisien le député (LR) de l’Isère Yannick Neuder, un « ami » du maire qui a médiatisé le premier cette affaire. C’est pour célébrer la soutenance de thèse en histoire de son neveu qu’André Mondange se trouvait en famille dans la cité des papes.

C’est ça qui est choquant : un député LR est cul et chemise avec un maire rouge.

Ça sent la fraternelle maçonnique à plein nez.

Ceci dit, les gaullistes et les communistes sont alliés depuis 1940, rien de surprenant.

Devant un pub, un groupe de jeunes interpellent le maire après avoir vu sa cocarde tricolore à sa veste et lui demandent sa signification. Il leur répond qu’il est maire d’une petite commune située entre Lyon et Valence. Une vingtaine de minutes plus tard, le même groupe de jeunes lui demande son orientation politique. Ce à quoi le maire refuse de répondre, estimant que ce n’est pas le lieu pour parler de politique. « Il a dû sentir quelque chose… » glisse Yannick Neuder.

C’est alors que le groupe s’en prend à sa nièce, une jeune femme « métisse », avec « des propos racistes sans ambiguïté », selon son récit. Ce à quoi lui et sa femme répliquent verbalement. « Ces gens-là, quand ils ont été battus par les mots, sont passés à la violence », développe l’élu qui raconte qu’un coup « avec une bouteille de bière à la main » a été porté contre sa nièce.

Imaginez un coco battre qui que ce soit avec « des mots ».

S’ensuit une bagarre. « Ils m’ont tapé en sachant très bien que j’étais maire. Ils ont tenu des propos racistes. Le racisme n’est pas une opinion, mais un délit. Ils ont porté des coups à main armée », liste le maire dans les circonstances aggravantes. Après le dépôt de plainte, « le sous-préfet de permanence a pris contact » avec le maire, précise la préfecture de l’Isère selon laquelle un « accompagnement a été mis en place ».

Le racisme est absolument une opinion.

Pour le reste, s’il y a bien eu une rixe, c’est que ce communiste a dû se livrer à des provocations dont les bandits de la NUPES ont le secret. À l’évidence, les jeunes Blancs assemblés ne l’ont pas agressé physiquement sans prévenir.

Il est aussi possible qu’il soit tombé sur le parking après s’être excité tout seul.

L’agression a suscité de nombreuses réactions. Outre le préfet de l’Isère Louis Laugier qui apporte sur X (ex-Twitter) « tout son soutien au maire et à ses proches devant cette épreuve », le président de l’association des maires de France (AMF) David Lisnard évoque un « déchaînement de violence ». « Les agresseurs doivent comprendre que de tels actes ne seront plus jamais impunis. Vite, un sursaut régalien et civique ! » ajoute le responsable qui avait déjà choisi le thème des violences contre les élus pour le congrès de l’Association des maires de France (AMF), fin novembre.

« J’ai habité 20 ans au Péage-de-Roussillon. J’apporte tout mon soutien au maire André Mondange, agressé par des nazillons, semble-t-il », a tweeté également le député RN de l’Ain, Jérôme Buisson.

Ah oui, les marinistes n’ont pas pu s’empêcher de se porter au secours d’un provocateur rouge.

Ils parlent d’ailleurs comme les antifas du Parti communiste.

Ces gens du RN pensent à s’engraisser à l’ombre du régime républicain grâce à leur rente de situation électorale.

Sur son compte Facebook, André Mondange ne fait pas directement référence à son agression. Il a publié dans la nuit de samedi à dimanche un visuel du musée de l’Immigration qui rappelle qu’ « un Français sur quatre est issu de l’immigration ». Sur franceinfo ce dimanche en milieu de journée, le maire s’est dit « très surpris » et « dépassé (…) par l’ampleur des réactions ». « Cette solidarité me rassure, ajoute-t-il. Que tout le monde prenne conscience que l’extrême droite (…) est dangereuse ! »

C’est uniquement la caste politique qui tremble, pas la population.

Ils se serrent les coudes car ils sont tous unis derrière cette république purulente.

Sur ce, CNews se mobilise à son tour. Un de ses spécialistes, le juif Frank Tapiro, essaie d’y amadouer les basanés et les boomers pour détourner les regards des crimes commis par sa race à Gaza.

Son intention est d’exciter l’opinion contre les Blancs.

Fort heureusement, tout le monde se fout énormément du fait qu’un politicien de gauche se fasse remettre à sa place après s’être livré à des provocations et des menaces.

En fait, ils sont certainement très contents.

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