Capitaine Harlock
Démocratie Participative
12 avril 2017
L’impudence de ces juifs est vraiment sidérante. Il faut le voir pour le croire.
Dreuz :
Je suis juif, et le soutien au FN, j’y mets un véto moral non négociable.
Si au moins Marine Len Pen avait refondé le Front national, changé son nom, rompu avec la filiation établie par son père.
Mais elle est prise dans une loyauté vis-à-vis de Jean Marie Le Pen, au fond d’elle-même très ambivalente.
Je lui envoie de temps à autre des tweets qu’affichent des néo-nazis se réclamant du FN pour lui demander ce qu’elle en pense. Bien-sûr, elle ne répond pas.
Elle ne peut se séparer de ses propres racailles qui constituent l’ossature du mouvement.
C’est proprement fascinant. Ces mêmes juifs qui ne se sont jamais désolidarisés publiquement des exactions commises par leurs propres coreligionnaires en Russie communiste et qui font preuve d’un tribalisme systématique face aux goyim, dénoncent « la loyauté » de Marine Le Pen à l’égard de son père. Une loyauté parfaitement inexistante au demeurant.
Ces juifs pensent que tout sur cette terre leur est du. Que nous devrions être à genoux devant eux et répondre à leur moindre désir. Chez les juifs, tout ne tourne qu’autour d’une seule et unique chose : les juifs.
Cette crise d’hystérie fait suite aux propos parfaitement banals de Marine Le Pen sur Vichy, à savoir la ligne résistantialiste de De Gaulle. Mais même cela, c’est désormais trop.
Peu importe ce que dit Marine Le Pen, ce ne sera jamais assez pour ces sémites.