Captain Harlock
Démocratie Participative
27 juillet 2019
Des citoyens polonais inquiets pour leurs enfants ont discipliné un journaliste antifa connu pour son goût du fichage des honnêtes gens et du sexe entre hommes.
Przemysław Witkowski avait importuné deux gentilhommes alors qu’ils inscrivaient des slogans à caractère sanitaire au sujet du péril pédo-LGBT à Wroclaw.
Mal lui en a pris.
Kilka dni po wydarzeniach w Białymstoku, w przededniu zapl akcji solidarnosciowych we Wro pobity został Przemek @Witkowski1982 . Bo zwrócił uwagę jakimś osłom, kreślącym homofob hasła na murach. Niestety, sytuacja zaczyna przypominać to, z czym mieliśmy do czynienia w l. 90-tych. pic.twitter.com/f0lRrR9jPN
— Jacek Harłukowicz ? (@JHarlukowicz) July 25, 2019
Witkowski résume assez clairement ses idées politiques sur son profil Facebook.
Faucille communiste et ménorah aux couleurs LGBT
Lol.
Le type a pris une sérieuse dégelée.
Il sera plus prudent la prochaine fois qu’il essaiera de promouvoir l’injection de sperme séropositif dans l’anus auprès du public local.
En Pologne, en ce moment, la lutte contre le péril sodomite gagne en intensité. D’ignobles pédales ont été savatées à Bialystok par de courageux patriotes polonais.
Si le pouvoir en place est très docile vis-à-vis des juifs, on doit rendre à César ce qui est à César dès lors que l’on parle du virus LGBT.
Les pédales sont interdites dans un nombre croissant de villes du pays.
Têtu :
Une importante campagne contre « l’idéologie LGBT » se déroule dans ce pays catholique. Le journal conservateur Gazeta Polska a annoncé offrir avec son prochain numéro, en kiosques le 24 juillet prochain, des autocollants d’une grande croix noire barrant un arc-en-ciel avec l’inscription « ceci est une zone sans LGBT ». Diffusé à près de 22.000 exemplaires, le magazine de droite est un fervent soutient du parti conservateur actuellement au pouvoir, le PiS (Droit et Justice).
Je veux les mêmes mais avec une étoile de David en plus.
VISIT WEBSITE Poland court bans ‘LGBT-free zone’ sticker from sale https://t.co/kd6t9kd31v AMERISLAMUNDERWAY pic.twitter.com/RHKVkhLCTW
— jim@njslea (@njslea) July 26, 2019
Fatalement, la juiverie devait montrer le bout de son nez.
« Je suis déçue et inquiète de voir certains groupes utiliser des autocollants pour promouvoir la haine et l’intolérance », avait réagi jeudi l’ambassadrice américaine Georgette Mosbacher sur Twitter.
Trump nomme vraiment n’importe qui ambassadeur, c’en est ridicule.
Ceci dit, les Polonais ne veulent rien entendre.
Début juillet, une trentaine d’entités territoriales polonaises, dont des villages et des assemblées régionales, se sont déclarées « zones libres de l’idéologie LGBT ». Situées au sud-est du pays, une région réputée pour son conservatisme. Une décision récente de la Cour constitutionnelle a également autorisé les commerçants à refuser de servir les clients LGBT+, invoquant la « liberté de conscience ».
Pour compléter le tableau, vous avez ces dégénérés de Rammstein qui sont venus se mêler de ce qui ne le regarde pas en volant au secours de ces saloperies de fiottes.
Têtu :
Pendant un concert en Pologne, le batteur du groupe de métal Rammstein a traversé la foule un drapeau LGBT à la main. Un joli pied de nez à l’homophobie, qui gagne du terrain dans le pays.
Il y a des alliés sur lesquels on peut compter. C’est probablement le message qu’a voulu faire passer Christoph « Doom » Schneider, le batteur du groupe de métal emblématique Rammstein. Alors qu’ils se produisaient mercredi 24 juillet au Stade Slaski, dans la ville de Chorzow, au sud de la Pologne, ce dernier a traversé la foule sur un bateau pneumatique, un drapeau arc-en-ciel à la main.
L’invasion allemande de la Pologne, ça avait tout de même meilleure allure en 1939.
Quelle époque invraisemblable.