Captain Harlock
Démocratie Participative
21 Janvier 2021
Mamadou est déjà une star
Comme je le disais hier à propos des nègres boulangers, ce truc ne s’arrêtera plus.
Les médias exploitent férocement l’effet d’aubaine.
Une nouvelle mobilisation prend de l’ampleur à Besançon autour d’un migrant guinéen, apprenti, et menacé d’expulsion à sa majorité. Après le cas de Laye Traoré en boulangerie, une pétition est lancée pour Yaya, qui suit une formation d’électricien.
Son cas est identique à celui de Laye Traoré, cet apprenti boulanger guinéen régularisé après une grève de la faim de son patron, à Besançon : Yaya est un jeune migrant venu de Guinée, qui suit une formation à Besançon et se retrouve menacé d’expulsion parce qu’il est devenu majeur. Pour éviter un renvoi dans son pays, une pétition est lancée sur Internet par un de ses formateurs, soutenu par les enseignants du CFA du Bâtiment de Besançon et le patron de l’apprenti. Cette pétition s’intitule : « Pour que Yaya reste en France afin de finir son CAP » et demande à ce que le jeune puisse au moins finir et valider sa formation en France.
Adressé au préfet du Doubs Joël Mathurin et à la présidente du conseil régional Marie-Guite Dufay, le texte fait part « du savoir être et des compétences » de Yaya. Ce jeune migrant a saisi le tribunal administratif de Besançon contre son expulsion. Son premier recours a été rejeté, le second a été examiné le 8 janvier et le délibéré doit être rendu mardi prochain, le 26 janvier.
Ce jeune migrant a pris la parole aux côtés de Laye Traoré ce mardi, au moment du retour au travail de l’apprenti boulanger. Il espère lui aussi obtenir des papiers pour rester en France.
Spoiler Alert : ce nouveau négro magique peut considérer qu’il a ses papiers en mains.
Il y a zéro suspens ici.
La notion de légalité n’a plus aucun sens en France. C’est terminé.
Cette opération médiatique vise à préparer l’opinion à l’abolition de l’immigration clandestine. N’importe quel clandestin pourra bientôt obtenir automatiquement sa régularisation dès qu’un patron l’emploiera illégalement pour 3 mois en stage.
Le système veut recourir ainsi à une nouvelle forme de traite négrière à grande échelle sous un vernis d’humanitarisme.
Il suffit de dire aux mères isolées de Facebook que Mamadou veut s’installer pour « travailler ».
En puisant autant de coolies que nécessaire depuis l’Afrique, le patronat peut « délocaliser » sans délocaliser. Les patrons et ces sous-hommes nouent ainsi un partenariat gagnant-gagnant sur le dos du salariat blanc : Mamadou obtient ses papiers et fait venir sa famille entière tandis que le patronat recrute en CDD des nègres dociles en quantités illimitées.
Pendant ce temps-là, la classe moyenne blanche ravagée par le chômage et la précarité voit son niveau de vie divisé par 50% en quelques années. Pour empêcher toute révolte, elle est tenue en respect par les médias qui agitent les allogènes quotidiennement contre eux.
Le dispositif est en place.
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