Un instructeur de l’armée britannique menacé de cour martiale pour avoir fait pleurer une gonzesse à l’entraînement

Captain Harlock
Démocratie Participative
07 mai 2018

 

L’armée britannique a fait le bon choix en recrutant des femmes pour ses troupes de choc.

Et comme cet instructeur a été méchant en demandant à cette gonzesse pourquoi elle avait un piercing dans la langue, il va être jugé par une cour martiale et très probablement viré.

The Daily Mail :

Un instructeur de l’armée est menacé d’être jugé en cour martiale après avoir filmé une recrue féminine et de l’avoir fait pleurer dans une vidéo qui a été vue 250,000 fois en ligne.

Le ministère de la Défense a déclaré que les instructeurs ne devraient pas filmer la recrue durant son entraînement, avec ou sans son consentement.

Le comportement de l’instructeur a été décrit comme « totalement inacceptable » par Lord Dannatt, l’ancien chef de l’armée.

La vidéo est particulièrement embarrassante pour les chefs de la Défense puisqu’elle a été diffusée quelques semaines après une campagne de recrutement pour les femmes.

Elle pleure de façon incontrôlable… avant que l’instructeur ne l’attaque à nouveau verbalement.

Les femmes sont censées commencer leur entraînement en régiment d’ici la fin de l’année.

Vous avez donc l’armée britannique qui va envoyer des greluches ramper dans la boue, en période de règles, pour affronter des Talibans ou allez savoir quoi d’autre. Il semble assez évident qu’une femelle qui pleure à l’entraînement sera vraiment au top niveau face à de vrais ennemis.

En gros, l’efficacité d’un régiment devient totalement anecdotique : ce qui compte, c’est que l’infériorité des femmes soit dissimulée à tout prix pour que les femmes se sentent mieux en société.

C’est ce que l’on va expliquer à cet instructeur qui a été méchant avec cette recrue féminine. Autant dire que face à des insurgés musulmans, le résultat sera assez édifiant.

Si vous faites entrer des femmes dans n’importe quelle institution fondamentale d’un état, à un niveau de décision quelconque, le chaos s’en suit inévitablement en raison de leur faiblesse physique et de leur instabilité émotionnelle. Si vous devez réaliser un truc en état de stress intense et qu’il faille le faire dans des conditions de danger permanent, vous évitez de le faire faire à une femme.

Enfin, dans une société saine. Mais on en est plus là.

La pathologie égalitariste a atteint un tel degré en Occident que tous les éléments ratés ou faibles sont désormais en position de réduire chaque fonction associée à de l’autorité ou de la force à une sorte de « privilège » qu’il faut abattre. Et donc ces femmes veulent le pouvoir symbolique des hommes sans devoir effectivement assurer la fonction qui conditionne ce pouvoir.

L’égalitarisme sexuel est au moins aussi destructeur que l’égalitarisme racial ou, plus exactement, permet à ce dernier de tout détruire faute de résistance masculine blanche.

C’est pourquoi vous retrouverez toujours les vaginocrates hystériques aux côtés des métèques pour abattre le mâle blanc.