Captain Harlock
Démocratie Participative
18 Décembre 2020
Dans la vie, Laure et Sylviane font semblant d’être des mecs, et vous ?
Certes la France est désormais une gigantesque poudrière ethnique où les émeutes raciales, les razzias et les viols de Blanches sont monnaie courante, mais rassurez-vous : la Gendarmerie républicaine veille.
Aucun Gaulois de la France périphérique ne doit pouvoir dormir sur ses deux oreilles s’il émet quelques doutes sur les priorités des miliçants du régime.
Est-ce que « pingouins », « volailles » ou « décos de noël » pour nommer les forces de l’ordre constituent des outrages ? Ce sera à la justice d’en décider.
L’affaire est relayée directement par le compte Facebook de la gendarmerie de la Loire. Suite à un contrôle de vitesse, les militaires repèrent un commentaire sur la page Info Contrôles routiers 42.
Poursuivant leurs investigations sur le réseau social, les gendarmes notent ici et là d’autres commentaires de l’intéressé, parlant des forces de l’ordre en utilisant les termes « nouvelle déco de Noël » ou de « volailles ».
Résultat, voilà notre internaute convoqué illico à la brigade de gendarmerie locale, reconnaissant les faits tout en précisant qu’il ne voit pas d’outrage ou de diffamation dans les mots utilisés.
Comme son commentaire sur la décoration de Noël était destiné à expliquer qu’il s’était garé pour remplir une attestation de déplacement, l’homme recevra déjà une amende de 135€.
Surtout, il devra s’expliquer devant la justice et comparaîtra le 22 mars devant le tribunal de Roanne.
Outrage ou simple langage familier ? Plaisanterie ou volonté de porter atteinte à la dignité des gendarmes ? L’homme risque un an d’emprisonnement et 15000€ d’amende.
Quelle engeance pathétique.
Le mème est devenu réalité.
Ce n’était déjà pas l’élite à l’origine mais ça devient un véritable sketch. Ce truc est progressivement composé de femmes fortes et indépendantes et de décorations diversitaires.
Trois barettes sur l’épaule, des mecs qui rampent du matin au soir à la moindre crise d’ovaires, j’aime autant vous dire que ça ne se sent plus pisser.
Et dire que ces gens-là osent encore mendier de l’estime.
Ces flics me rappellent les juifs : ils sont si détestables qu’ils sont obligés de recourir à la répression pour obliger les gens à les aimer.
La Gendarmerie véhicule depuis longtemps le mythe de la « proximité » avec le peuple, en raison de cette histoire de « ruralité ». En réalité, elle n’a de proximité qu’avec les mouchards, très nombreux, qui peuplent les communes et surtout les conseils communaux. Tout ce qui est élu quelque part, dans une commune rurale, est un agent des flics du régime.
Le peuple, lui, hait la Gendarmerie. Tout le monde le sait. Jamais je n’ai croisé quelqu’un, nulle part, qui m’a dit aimé les bleus. Jamais. Tout le monde se passe le mot quand on les voit quelque part. Même les pompiers nous informaient quand ils projetaient une opération d’intimidation quelque part.
On ne les voit que pour une seule chose : harceler la population.
Aussi loin que je me souvienne, jamais je n’ai vu de situation où les bleus ont été authentiquement utiles à des gens. En revanche, je me souviens de dizaines de situations où ces gens avec leur mine patibulaire ont monté des stratagèmes proprement diaboliques pour terroriser la population. Tous les prétextes étaient bons.
J’ai même le souvenir d’une fois où un petit pépé de près de 80 ans avait été férocement attaqué par des gendarmes, non loin de chez moi, parce qu’il rentrait du bistro du village à vélo où il avait l’habitude de siroter quelques canons de rouge. Il l’avait traité comme un meurtrier.
Il m’est arrivé de leur parler, à ces bleus, lorsqu’ils se livraient à ce genre de numéro. C’était toujours la même chose : le sous-officier était d’abord déstabilisé de voir quelqu’un lui parler d’autorité, face à face. C’est un exercice qu’ils abhorrent. En temps normal, tout le monde rase les murs ou alors, à l’inverse, un poivrot vocifère quelques vagues insultes. Mais jamais personne ne leur parle avec autorité pour leur demander des comptes de manière calme et argumentée. Les bleus ont horreur de la politesse et encore plus de l’intellect. Quand vous les questionnez dans un français correct, ils sont pris de vertige. Ils ne connaissent que le rapport de force. Quand vous déplacez la confrontation vers le domaine intellectuel, c’est un supplice pour eux. Ils ont toujours le même air stupide dans ce genre de situation, ils n’ont rien à dire, se sentent affreusement mal devant des civils défiants qui n’ont que foutre de leur uniforme. Ils deviennent encore plus mauvais qu’ils ne le sont habituellement parce qu’ils n’ont aucune prise.
Les bleus ne pensent plus qu’à une chose : se tirer après avoir fait leur besogne.
Et puis il y a les officiers. Il faut savoir que les officiers de la Gendarmerie sont par définition des officiers ratés. Ces types auraient voulu briller dans le corps des officiers de l’armée de terre mais n’en ont pas le niveau et se rabattent sur la Gendarmerie. Ce qui en fait des frustrés particulièrement haineux, envers tout le monde et d’abord leurs subordonnés. On reconnaît les plus tocards de ces officiers ratés au badge de parachutiste qu’ils étalent sur leur poitrine, pour compenser. Mais c’est simplement un BPM qu’ils ont obtenu au bout de six sauts.
Tout ça pour dire que même au sein de l’armée, ces officiers sont tenus pour des officiers au rabais.
Historiquement, il faut dire qu’il y a de quoi raconter, sur ces gens-là. En 14-18, le rôle des gendarmes étaient de tirer dans le dos des poilus qui manquaient d’allant face aux mitrailleuses allemandes. Si les balles allemandes vous manquaient, la République s’assurait que les balles des bleus ne vous louperaient pas. Les pandores y mettaient beaucoup d’application. Dans ma propre famille, un officier vétéran de Verdun et du Chemin des Dames rapportait comment les vaches se postaient derrière les fantassins, bien en retrait, pour les aligner au moindre recul. Même si vous êtes tout ce qu’il y a de plus courageux au front, ça vous laisse infailliblement un arrière-goût de pisse dans la bouche. Parce que quelque part, même avec des médailles, on pense quand même un peu à vous buter, au cas où.
Rien n’a changé, sauf les méthodes. Et aussi un peu les tronches. Vous aurez toujours un gendarme dans le dos pour vous tirer dessus pour le compte de la Cinquième Putain. Mais c’est vrai que les faciès négroïdes et les gueules ravagées par la ménopause et le tabac se multiplient dans les rangs de cette fameuse institution républicaine.