Nord : un gang maghrébin manque de peu de buter un juge devant chez lui

La Rédaction
Démocratie Participative
06 novembre 2024

Frédéric Fèvre

Les juges rouges commencent à goûter aux joies de la diversité.

Le Midi Libre :

« Je vous remercie chaleureusement pour vos messages de soutien »: Frédéric Fortoy, le procureur de la République de Douai (Nord) tient à rassurer ce dimanche 3 novembre dans une série de posts publiés sur X, ex-Twitter après une semaine de tension et d’inquiétude, qui lui a valu d’être placé pendant plusieurs jours sous surveillance policière renforcée, dans une enquête suivie en direct par le garde des Sceaux Didier Migaud.

« J’ai certes été placé sous protection suite à des menaces – comme d’autres collègues dans cette affaire mais n’ai nullement été agressé dans la rue. In fine, je n’étais pas visé en tant que personne. L’affaire est aujourd’hui terminée suite à un remarquable travail de la police et les malfaiteurs interpellés » souligne le magistrat qui a tenu à apporter ces précisions.

Jeudi 31 octobre, nos confrères de La Voix du Nord avaient annoncé que le magistrat aurait été menacé deux jours plus tôt, dans la rue, ce qui avait déclenché l’ouverture d’une enquête et la mise en place d’un dispositif de protection. Selon nos informations, le magistrat, particulièrement actif sur le terrain judiciaire, notamment dans la lutte contre le narcotrafic, avait en fait déjà été la cible de menaces écrites il y a plusieurs mois.

Très récemment, la police a eu vent d’une nouvelle menace, portant « contre un magistrat de Douai prénommé Frédéric » indique à Midi Libre une source judiciaire. Problème : à Douai, deux magistrats de premier plan portent ce prénom, Frédéric Fortoy, le procureur de la République, et Frédéric Fevre, le procureur général, puisque Douai abrite la cour d’appel.

Mardi soir, c’est à proximité du domicile de ce dernier que les policiers ont remarqué deux voitures stationnées dans lesquels se trouvaient des individus suspects. Lorsqu’ils ont voulu effectuer un contrôle, l’une des voitures a pris la fuite, avant d’être finalement stoppée quelques kilomètres plus loin. Les quatre occupants des deux véhicules ont alors été placés en garde à vue.

C’est cet événement qui a déclenché le placement sous protection des deux magistrats, le temps que l’enquête évolue. Une réplique d’arme à feu a bien été saisie lors d’une perquisition, mais les garde à vue se sont achevées sans éléments pour confirmer que les magistrats étaient visés. Les suspects, eux, ont expliqué qu’ils étaient en surveillance ce soir-là, dans le but de commettre un cambriolage au domicile d’un riche particulier, qui n’était pas magistrat.

Dans l’intervalle, le déroulement des investigations a été suivi en direct par Didier Migaud, le garde des Sceaux, qui a selon un communiqué relayé par L’Observateur « pris la pleine mesure des menaces qui pèsent sur ce magistrat et son environnement. Le garde des Sceaux dénonce avec la plus grande fermeté les menaces qui pèsent de plus en plus fréquemment sur les magistrats et agents du ministère dans l’exercice de leurs fonctions. La Justice doit pouvoir être rendue en toute indépendance, sérénité et sécurité. »

De nombreux magistrats ont alors fait part de leur soutien au procureur de Douai, comme le Conseil d’administration de la conférence nationale des procureurs, très largement représentatif dans la magistrature.

« Dans ces moments compliqués votre soutien, mais plus encore l’indignation collective à voir l’autorité judiciaire malmenée, m’ont beaucoup touché » a conclu le procureur Frédéric Fortoy sur X, mettant semble-t-il ainsi un terme aux inquiétudes soulevées par cette enquête sensible.

Les Afro-musulmans sont si nombreux et si indifférents à la répression mollassonne du régime, que liquider ces magistrats les tente de plus en plus.

Entre leur rage naturelle, leur consanguinité et leur consommation intense de stupéfiants, les Algériens vont inévitablement atteindre leur forme finale d’ici les années à venir.

Ces types veulent vivre dans un film.

Mourir est le dernier de leurs problèmes.

Et même en taule, ils peuvent organiser au moins aussi efficacement, sinon mieux leurs opérations criminelles.

Le Monde :

Dans la soirée du mercredi 30 octobre, un tuyau parvient aux services de police de Douai : une « action violente » est envisagée contre Frédéric Fèvre, procureur général près la cour d’appel de la ville. Des véhicules suspects sont même signalés aux abords du domicile du haut magistrat. Plusieurs équipages de police sont expédiés sur place et détectent le manège étrange d’au moins deux véhicules.

Pour les policiers, aucun doute : les individus circulant à bord effectuent des repérages, avant, peut-être, de passer à l’action. Ils décident d’intervenir et interceptent un premier véhicule, à bord duquel ils interpellent Hussein H., 41 ans, inconnu au fichier du traitement d’antécédents judiciaires. Mais le second véhicule leur échappe, avant d’être repéré à plusieurs dizaines de kilomètres de là, sur le territoire de la commune de Roubaix, où il est finalement bloqué. Samir A., 28 ans, Abdelkader F., 36 ans, et Yacine D., 25 ans, sont appréhendés à leur tour.

A eux trois, ils totalisent plusieurs mentions au fichier du traitement d’antécédents judiciaires, de la conduite d’automobile sans permis au vol à main armée, en passant par l’usage d’armes à feu et la détention de produits stupéfiants. Mais, si le quatuor se déclare sans domicile fixe, les enquêteurs du service interrégional de police judiciaire du département du Nord identifient plusieurs de ses points de chute. Les perquisitions qui y sont menées, ainsi que la fouille des deux véhicules, ne révèlent d’autre arme qu’un couteau, mais aussi un jeu de faux papiers et une réplique de pistolet automatique du même modèle que l’arme réglementaire en dotation dans la police et la gendarmerie. En revanche, une trentaine de cartouches et autant de téléphones mobiles, ainsi que près de 14 000 euros en liquide, saisis par les enquêteurs, n’ont rien de factice.

Placés en garde à vue, les quatre hommes n’ont rien dit de leurs motivations ni des raisons de leur présence nocturne à proximité du domicile de M. Fèvre, mais les faits sont jugés suffisamment graves pour que la juridiction nationale de lutte conte le crime organisé se saisisse de la procédure, confiée à la police judiciaire locale et à l’Office central de lutte contre le crime organisé. Après une garde à vue de quatre-vingt-seize heures, les quatre individus soupçonnés d’avoir préparé une action contre M. Fèvre ont été mis en examen pour association de malfaiteurs et acquisition de munitions de catégorie B, et incarcérés, a confirmé au Monde le parquet de Paris.

Ce coup-ci, une balance a permis de sauver la tête du juge in extremis.

La prochaine fois qu’elle voudra liquider un magistrat, la pègre islamique parviendra à ses fins.

Le commando sera beaucoup plus professionnel.

Naturellement, entre les juges rouges d’une part et la pègre musulmane d’autre part, je suis résolument neutre et souhaite beaucoup de plaisir aux uns et aux autres.

Ils se méritent mutuellement.

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