Un gang de maghrébins discipline un nègre lubrique qui voulait baiser une de leurs soeurs de race

Captain Harlock
Démocratie Participative
17 Mai 2020

 

Cette série de vidéos est une pépite Twitter 24 carats.

Les Ferrero rochers de Monsieur l’Ambassadeur.

Avec les compliments du 93 Madame

Dans la vidéo ci-dessus, nous voyons un nègre ayant visiblement été passé à tabac par ce qui est, selon toute vraisemblance, un groupe de maghrébins. D’après ce que l’on comprend, ce nègre a dûment été discipliné par les mâles de l’Atlas du secteur au motif qu’il chauffait une beurette X ou Y sur les réseaux sociaux. Ce nègre s’est ensuite pointé à un rendez-vous organisé avec la beurette précitée pour tomber nez à nez avec les frangins de la maghrébine qu’il convoitait.

Les mâles arabo-musulmans n’ont pas apprécié l’idée qu’un kouffar, nègre qui plus est, tente de sauter une de leurs soeurs en plein Ramadan.

Les bougnoules sont enthousiastes par cet éclat de fierté raciale maghrébique.

Mais tout le monde n’est pas enthousiaste.

La droite boloss blanche a pleuré (la droite boloss blanche considère qu’une vie passée à pleurer est une vie digne d’intérêt).

Apparemment, parce que ce serait « raciste ».

« Oh mon Dieu mais de quel droit empêche-t-on un nègre de sauter des beurettes à la chaîne en 2020 en France ?! Vite, la police !!! »

Qui voudrait vivre dans l’univers mental de la droite boloss ?

Certainement pas moi.

Pour en venir au fond, ces arabes ont raison.

Si les Blancs imposaient la même discipline à leurs propres soeurs, nous ne subirions pas les bordées de mulâtres à l’air demeuré qui prolifèrent dans les rues comme c’est le cas actuellement.

Ces traînées sont si choyées par la presse juive que l’on a le droit, régulièrement, à une de ces grosses Blanches avec une chiée de têtes crêpues en train de baffrer autour d’elle.

Pour le bien de tout le monde, il aurait été préférable qu’un frangin et ses potes disciplinent l’ignoble traînée qui a commis ça

Ces maghrébins démontrent qu’ils veulent vivre. Ce n’est certes pas une vie très sophistiquée mais du moins veulent-ils continuer à marcher sur cette terre pour les prochains siècles. Ce qui sera toujours une façon plus évoluée de vivre que de disparaître en tolérant que des Blanches se fassent sauter par des nègres à 75 de QI pour donner naissance à ces êtres défigurés pour l’éternité que sont les mulâtres.

Les réactions affolées de cette droite shootée aux oestrogènes démontrent que ce qui les obsèdent, ce sont les bonnes manières bourgeoises. Oui Mamadou peut sauter Sophie, mais à la condition qu’il le demande poliment.

Les arabes ne perçoivent pas du tout le problème sous l’angle de la bienséance mais sous celui instinctif de la survie biologique. Notez que les maghrébins ont jusqu’à 20% de sang nègre dans les veines, un legs glorieux de l’islamisation de l’Afrique du Nord par les baiseurs de chèvres venus de la péninsule arabique au 7ème siècle. Ces maghrébins savent d’instinct que leur part de sang nègre leur a barré l’accès à toute forme de culture digne de ce nom. C’est le sang nègre qui coule dans les veines des arabes qui a fait de l’Egypte une friche.

Et du RN un endroit aussi malfamé qu’un PMU de Vennissieux.

Ils le savent et en conçoivent inconsciemment un sentiment de danger au contact du nègre.

Les arabes haïssent cette part d’eux mêmes qui leur donne ces cheveux crépus et le teint orangé. Dans le même temps, l’arabe éprouve les plus grandes difficultés à ne pas orbiter autour de la négraille. Comme l’homme blanc aime à avoir un chien, l’arabe aime avoir un nègre comme esclave. C’est une sorte de faire-valoir qui de par son infériorité flatte son orgueil racial.

C’est en raison de cette part de sang nègre que l’arabe est le meilleur des négriers : pour lui, il s’agit d’une affaire de famille.

Dans cette embrouille précise comme dans toutes les autres, l’islam se dévoile pour ce qu’il est et sera toujours : la loi coutumière de la domination arabe. Pour comprendre l’islam, il suffit simplement d’interpréter correctement son véritable postulat, à savoir le droit que s’arrogent les bougnoules de sauter tout ce qui ressemble de près ou de loin à une femme sur cette terre.

Certains me diront que ce sont là des subtilités et que toutes ces races de boue devraient dégager. Certes mais beaucoup de choses devraient avoir lieu et ne se produisent pas. En attendant, ici et maintenant, cette anecdote offre une véritable leçon de chose aux mâles blancs qui ont laissé de manière coupable le féminisme apparaître sur terre : s’ils ne veulent pas crever dans un taudis submergé de métèques, qu’ils commencent par tenir leurs femmes.

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