Le Libre Panzer
Démocratie Participative
25 août 2018
Ce n’est certainement pas une surprise, mais cela a le mérite de dresser l’acte d’accusation formel de la juiverie dans la vaste répression des voix patriotiques en Occident.
Le «shadow banning» des pages conservatrices sur les plus grands réseaux sociaux est directement lié à la stratégie visant à renverser Trump. Telle est la conclusion des médias américains qui ont pu consulter un document secret décrivant la coopération entre Facebook, Twitter et les forces politiques de gauche.
Le complot contre Trump est dirigé par le milliardaire George Soros, qui a déclaré la guerre au dirigeant américain immédiatement après la présidentielle de 2016, écrit jeudi le site d’information Gazeta.ru.
Récemment, les plus grands réseaux sociaux comme Facebook, Twitter et YouTube ont connu une vague de blocages des utilisateurs affichant des opinions politiques de droite. Les compagnies nient publiquement tout parti pris et affirment que les pages supprimées transgressaient les règles de conduite de leurs plateformes.
Néanmoins, le blocage a été confirmé par les statistiques. Donald Trump s’en est plaint, et a accusé les réseaux sociaux de «shadow banning» (action d’empêcher un utilisateur d’accéder à un contenu sans qu’il ne s’en rende compte). Selon lui, «Twitter bloque les comptes des membres du parti républicain».
Le «shadow banning» est différent de la suppression d’un compte: l’utilisateur reste sur le réseau social comme si de rien n’était, mais toute son interaction avec la plateforme est cachée aux abonnés. Personne ne voit ses likes, partages et commentaires, ce qui conduit à un isolement de sa page.
En vérité, il n’y avait pas besoin de ce document pour savoir que c’était une conspiration juive contre le peuple américain et son président élu. Et en fait, contre l’Occident.
Le seul caractère sournois du shadow banning permettait de deviner qu’il s’agissait d’une manoeuvre sémitique.
Il s’avère que le «shadow banning» sur les réseaux sociaux correspond étrangement aux plans de la coalition financée par le milliardaire George Soros.
Cette dernière regroupe les groupes politiques qui ont l’intention de priver Donald Trump du pouvoir à Washington. Le premier à en parler a été le site The Gateway Pundit.
Un document confidentiel de 49 pages sur la stratégie de «victoire contre Trump» a vu officiellement le jour en janvier 2017. Une copie de ce plan intitulé «Democracy Matters» (La démocratie compte) a été obtenue par un journaliste de Washington Free Beacon, qui l’a postée en ligne.
Le document parle d’une coopération étroite avec les grandes plateformes médiatiques afin d’éliminer la propagande de droite et les fake news sur internet.
En effet, dans le camp de concentration juif qu’est la démocratie, seule la propagande hébraïque a droit de cité.
Et derrière, le masque de Soros.
L’un des participants au complot contre Donald Trump est l’ONG Media Matters for America (MMfA), qui surveille, analyse et corrige la désinformation conservatrice dans les médias américains. La MMfA est notamment sponsorisée par le milliardaire George Soros, ainsi que les fondations qui lui appartiennent. Ce dernier est considéré comme l’un des plus fervents critiques de Donald Trump: il a investi près de 20 millions de dollars dans la campagne électorale d’Hillary Clinton, et a également subi de grandes pertes financières après la victoire de Trump à l’élection.
Le document rendu public souligne que MMfA et d’autres organisations de gauche ont accès aux données-source de Facebook, de Twitter et d’autres réseaux sociaux, ce qui leur permet de surveiller et d’analyser le contenu sur d’autres plateformes.
«Avec la nouvelle technologie dont nous disposons, nous pourrons suivre l’actualité en temps réel et identifier les publications mensongères avec une précision mathématique en créant un système de notification anticipée de fakes et de désinformation», indique la stratégie.
De plus, Media Matters aurait déjà rencontré la direction de Facebook pour présenter la nouvelle technologie et évoquer la lutte contre les fake news.
Trump continue de défendre le droit des Nazis à s’exprimer.
« Les géants des réseaux sociaux réduisent au silence des millions de gens. On ne peut pas faire ça même si ça veut dire que l’on doive continuer à entendre les fakes news de CNN, dont les chiffres d’audience ont gravement souffert. Les gens doivent trouver par eux-mêmes ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas, sans censure !
Social Media Giants are silencing millions of people. Can’t do this even if it means we must continue to hear Fake News like CNN, whose ratings have suffered gravely. People have to figure out what is real, and what is not, without censorship!
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 24 août 2018
C’est une véritable conspiration juive mondiale contre Trump. Ou plus exactement contre le peuple qui l’a placé à la tête des USA, c’est-à-dire les plus de 60 millions de patriotes américains écoeurés par la prédation juive qui a progressivement transformé les Etats-Unis en pays du tiers-monde, financièrement saigné dans des guerres pour le compte du chancre juif de Palestine.
L’impudence de ces sales juifs atteint probablement là un niveau jamais atteint dans l’histoire.
Vous avez ces Zuckerberg et ces Soros se coordonnant pratiquement sur la place publique pour renverser un président américain.
Trump aurait probablement déjà pris des mesures contre ces terroristes s’il n’était pas circonvenu par ses proches.
Ces juifs ont réussi à coller leurs agents au plus près de Trump en utilisant, comme de juste, la stupidité d’une femme blanche pour y arriver : celle de la fille de Trump.
On aura rarement vu une incarnation aussi parfaite de la connerie féminine mise au service des juifs.