Captain Harlock
Démocratie Participative
26 juin 2019
Un flic antiterro se retrouve au milieu d’une histoire louche.
Un commandant de police, responsable départemental de la sécurité intérieure (DGSI) des Ardennes, a été mis en examen samedi pour viol et détention d’images pédopornographiques et incarcéré, a annoncé mercredi le procureur de la République de Reims, Matthieu Bourrette.
Le 5 avril, une jeune femme, âgée d’une vingtaine d’années, avait déposé plainte à Reims contre ce commandant de police « pour des faits de viols et agressions sexuelles subis lorsqu’elle avait 17 ans, dans les Ardennes », a indiqué le procureur lors d’une conférence de presse au palais de justice.
Selon la plaignante, « elle est entrée en contact en décembre 2015 » avec ce policier « pour des motifs strictement professionnels », mais courant 2016 il aurait « abusé d’elle à trois reprises », « dans son bureau », mais « aussi à l’occasion d’une virée en forêt », dans les Ardennes, a-t-il ajouté, confirmant des informations révélées par L’Ardennais.
En outre, des « investigations techniques » sur ses ordinateurs et téléphones ont mis en évidence « de très nombreuses connexions sur des sites internet pédopornographiques » et un « téléchargement massif d’images à caractère pédopornographique parfaitement explicites ».
Placé en garde à vue jeudi, l’homme « a reconnu avoir réalisé des attouchements de nature sexuelle sur la plaignante, à plusieurs reprises », mais « toujours de manière consentie ». Il a été mis en examen samedi pour « viols par personne abusant de l’autorité conférée par ses fonctions », « agressions sexuelles », « consultation habituelle de sites pédopornographiques » et « détention d’images pédopornographiques », et a été placé en détention provisoire conformément aux réquisitions du parquet.
Ce type était apparemment spécialisé dans la lutte anti-djihadiste.
C’était accessoirement un amateur de beurettes.
Selon le quotidien régional, alors qu’elle a 17 ans et est identifiée comme musulmane en voie de radicalisation, peut-être même fichée S, la jeune fille est surveillée par la DGSI, notamment parce que son petit ami de l’époque souhaite se rendre en Syrie pour faire le djihad. Selon le procureur de la République de Reims, Matthieu Bourette, ce mercredi, c’est elle qui serait entrée en contact, en décembre 2015, avec le policier, expert en déradicalisation et parlant l’arabe. Aujourd’hui elle l’accuse de l’avoir agressée sexuellement à trois reprises, dans son bureau et dans une forêt, courant 2016.
D’abord entendu librement, le commandant a été placé en garde à vue vendredi au siège de la DGSI, à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine). Il a reconnu des gestes de nature sexuelle, toujours consentis, affirme-t-il, avec la victime présumée, s’accusant d’une relation « incestueuse » avec la jeune femme qu’il considérerait « comme sa fille ».
Cette histoire est vraiment bizarre.
Déjà parce que la parole d’une beurette, dans ce genre d’affaires, 3 ans après les faits, ça n’a aucune valeur. Il ne suffit pas de vouloir déposer plainte, il faut encore que le procureur veuille suivre.
Un procureur fait ce que le gouvernement veut qu’il fasse. Là, il aurait pu dire, « cette arabe est mythomane, c’est une pute djihadiste qui veut nuire à un flic de l’antiterrorisme ». L’affaire était classée dans la semaine.
Au pire, si le type est vraiment impliqué, on étouffe l’affaire et ensuite on le met au placard. Parce qu’un flic des services de renseignement ne peut pas être traité comme n’importe quel flic. Il en sait trop long pour être exposé en public.
Sauf s’il tue sa mère à la tronçonneuse en plein Leclerc, évidemment.
Mais il n’a pas tué sa mère à la tronçonneuse en plein Leclerc. Il a touché le cul d’une beurette dans une forêt.
Apparemment, le parquet a reçu le fer vert pour le lâcher.
La question, c’est de savoir si le ministère de l’Intérieur était au courant de ses penchants pédophiles ou non. Je pense que oui. Parce que ce truc est tellement répandu dans les hautes sphères que ce n’est pas vraiment un secret et encore moins un obstacle dans une carrière.
C’est même comme ça qu’ils tiennent habituellement les membres du système. En plus du blanchiment d’argent, de la drogue, etc..
Rappelez vous de Christian Jambert. Ce gendarme avait voulu faire du zèle en cherchant à démanteler le réseau pédophile dont Emile Louis n’était que l’anecdotique rabatteur.
Il a littéralement fini suicidé de deux balles dans la tête. Ses collègues gendarmes ont trouvé que se coller deux balles dans la tête était la procédure standard en cas de suicide.
Ce qui paraît certain, c’est que la gonzesse devait être chargée par les barbus de le piéger. Probablement dans le but d’en savoir un maximum voire de le faire chanter.
Une fois la main dans la culotte, c’est facile.
Qu’une beurette sorte cette affaire trois ans après, c’est très suspect.
En tout cas, ce flic se retrouve en taule avec ce profil :
- Flic
- spécialiste de l’anti-djihadisme
- Pointeur de musulmanes
- Amateur de gamins
Seul au milieu de lions affamés, il aurait plus de chances.
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