Captain Harlock
Démocratie Participative
25 juin 2019
Livraison d’hectolitres de SIDA (injection anale)
Le secret du Boomisme homo-migratoire enfin révélé.
Quels garde-fous existent au sein des ONG pour éviter des dérapages avec des individus en situation de détresse? Lors d’un récent procès à Lausanne, un jeune migrantsur le banc des accusés a détaillé les relations qu’il a eues avec le sexagénaire bénévole qui l’a assisté à son arrivée en Suisse, il y a 11 ans, pour le compte d’Amnesty International.
Un procès-verbal présenté lors de l’audience recense les aveux signés du bénévole d’Amnesty. L’homme y admet avoir eu une relation avec le demandeur d’asile alors âgé de 18 ans en 2008. S’il conteste des relations sexuelles complètes avec le requérant qu’il assistait pour lui éviter un renvoi dans son pays, il reconnaît l’avoir accueilli dans son lit plusieurs fois pour partager des attouchements à caractère sexuel. La justice vaudoise avait classé l’affaire en 2017 car les faits s’étaient produits à Zurich.
Le sujet embarrasse visiblement l’organisation humanitaire. Sa porte-parole et sa directrice ont finalement demandé à ne pas être citées. Elles assurent ne pas être au courant de cette affaire ancienne. Si la directrice considère que ce type de comportement correspond à un abus de pouvoir, elle insiste sur le fait que cet homme n’était pas salarié par Amnesty International. Des règles existent, y compris pour les bénévoles, et les relations sexuelles y sont proscrites.
Au sein de l’Établissement vaudois d’accueil des migrants (Evam), le règlement indique que «le collaborateur entretenant des liens privés avec un tiers pouvant manifestement aboutir à un conflit d’intérêts dans le cadre du travail est tenu de le signaler à son supérieur». Et ce afin que l’employeur prenne des mesures adéquates pour écarter tout risque. L’Evam ne fournit toutefois aucun chiffre à ce sujet.
Quant au Comité international de la Croix-Rouge, qui a dû faire face à des abus dans le passé, tout «acte contrevenant au Code de conduite interne» doit être dénoncé et des sanctions sont prévues. «Aucune forme de harcèlement ou d’abus n’a sa place, déclarait l’an passé son directeur général, Yves Daccord. Nous sommes déterminés à renforcer nos mécanismes de répression des violations du Code de conduite du CICR.»
Faites désormais attention à la tête des volontaires pro-migrants.
Pour les hommes, ce sont à 90% des homosexuels. C’est pour ça que la thématique des « migrants persécutés dans leurs pays en raison de leur orientation sexuelle » a émergé dans les médias à partir de 2016-2017.
Pour recruter prioritairement des mignons à se répartir entre fiottes.
Même les fiottes de l’ambassade de France au Liban ont été gaulées en train de recruter des pédales marron pour leur consommation personnelle en France.
Tout est implicitement sexuel dans l’activisme pro-invasion.
La principale excuse qu’utilisent les traînées pro-métèques pour se faire sauter par des nègres clandestins, surtout quand elles sont ménopausées, sont les « cours de français ».
C’est une vraie cohue de Boomeuses.
Oui, c’est avec nos impôts qu’elles baisent avec Mamadou.
Nous sommes toujours perdants à ce jeu-là.
Pour une fois, je serais demandeur auprès des juifs d’une guerre quelconque en Europe de l’Est.
En Biélorussie par exemple.
Les mecs pour le coup feraient vraiment leur service militaire au lieu de se tirer tandis que leurs petites soeurs arriveraient par bus entiers à la frontière française.
« Je veux des papiers, s’il vous plaît »
« Jamais de la vie, salope, crève sous les bombes » Laura, féministe
Les frontières seraient bouclées à une telle vitesse que vous en auriez le vertige au point de ne plus savoir dans quel pays vous vivez.
Pendant que ces traînées aidées des pédés importent du migrant clandestin par bateaux entiers, elles observent qu’un nombre croissant d’hommes blancs adoptent des contre-mesures tactiques.
Comme aller en Thaïlande sauter des putes.
Et là, rien ne va plus.
Un groupe d’activistes pour la défense des droits des femmes a posté des photos de la dernière campagne publicitaire d’Air Asia en Australie pour des vols vers Bangkok avec pour slogan : « Descendez en Thaïlande » (« Get off in Thailand »). Une phrase qui les a scandalisés car l’expression « descendre « (« Get off ») a un double sens qui signifie également « recevoir une satisfaction sexuelle ».
À la mi-février, une publicité suggestive de la compagnie aérienne low-cost Air Asia pour de nouveaux vols directs de Brisbane à Bangkok est apparue sur des bus et dans les aéroports de la ville de la côte est australienne. « Descendez en Thaïlande » pouvait-on lire sur les affiches, plaquées sur l’image d’une rue bondée de Bangkok la nuit.
Melinda Liszewski, membre du mouvement australien Collective Shout qui lutte contre la « chosification des femmes », c’est-à-dire la tendance à réduire la femme à un objet, notamment sexuel, a vu la publicité lourde de sous-entendus collée sur un bus de Brisbane le 22 mars et a posté une photo sur Twitter pour dénoncer ce que qu’elle perçoit comme un clin d’œil aux voyageurs en quête de tourisme sexuel en Thaïlande.
« Bangkok est un haut-lieu de l’exploitation sexuelle des femmes et des enfants et 250 000 touristes sexuels, des hommes occidentaux, visitent la Thaïlande chaque année », écrit Melinda Liszewski.
Les tweets ont rapidement attiré l’attention des autorités locales. La conseillère municipale de Brisbane, Kara Cook, a qualifié les publicités de « complètement inappropriées « et a déclaré avoir demandé à l’agence municipale de transports de les retirer des bus.
Air Asia a présenté des excuses suite au tollé. « Nous prenons les retours des collectivités très au sérieux et nous présentons sincèrement nos excuses pour les problèmes soulevés « a déclaré la compagnie dans un communiqué. Contacté par la rédaction des Observateurs, un porte-parole indique que la campagne publicitaire avait déjà pris fin et qu’elle était « en train d’être retirée « quand les photos ont commencé à circuler sur Twitter.
« L’utilisation du corps de femmes et d’enfants pour des services sexuels ne devrait jamais être un slogan »
Coralie Alison, directrice de Collective Shout, considère que ce type de publicités perpétue la sexualisation et l’objectivation des femmes.
Qui aurait cru ça ?
Des pétasses castratrices, infoutues de faire la cuisine, qui écartent les cuisses devant le premier métèque venu – tout en utilisant le boycott sexuel comme moyen de chantage – auraient donc fini par écoeurer leurs mecs ?
Au point de prendre un billet d’avion pour la Thaïlande afin d’y baiser des putes ?
Il n’y a aucune forme d’honnêteté dans l’activisme féministe.
C’est une stratégie pour réduire les mâles blancs en esclavage économique par le rationnement sexuel tout en important des animaux en rut du tiers-monde pour se faire sauter.
L’esclave blanc fournit le pognon, l’esclave marron fournit le sexe.
C’est ce qui se passe quand vous sombrer dans le matriarcat.
Vous savez ce que j’envisage ? De faire la même chose. Mais en version techno-raciste.
Je parle de la légalisation du clonage humain chez mon ami Loukachenko avec développement accéléré en laboratoire pour fournir aux mecs blancs des Aryennes entièrement éduquées pour les servir.
Elles seront génétiquement modifiées pour toujours répondre « oui ».
Il est temps de recourir aux biotechnologies à grande échelle.
Que ces traînées meurent du SIDA et de la lèpre.
Une fois que nous pourrons produire des femmes parfaites en quantités industrielles, la question même des putes à métèques n’aura plus aucun sens. Elles seront devenues totalement obsolètes et nous nous intéresserons autant à ces trucs usagés qu’à la dernière rongeuse d’ongles de pieds d’un bidonville de New Delhi.
Il nous faut nos usines à femmes génétiquement modifiées.