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La rédaction
Démocratie Participative
13 février 2024
Elon Musk a remis les clefs de Twitter aux juifs, ce qui ramène cette plateforme au point de départ.
Lors de sa reprise, en 2022, Musk avait dissous l’unité de surveillance politique interne que contrôlaient les juifs.
NPR :
Twitter, propriété d’Elon Musk, a dissous son Conseil de Confiance et de Sécurité, le groupe consultatif d’une centaine d’organisations indépendantes civiles, de défense des droits de l’homme et d’autres organisations que l’entreprise avait formé en 2016 pour lutter contre les discours haineux, l’exploitation des enfants, le suicide, l’automutilation et d’autres problèmes sur la plateforme.
Cette décision avait suscité l’hystérie des rabbins qui la composaient.
Cher Monsieur Musk,
Nous vous écrivons en tant qu’organisations juives préoccupées par la prolifération des discours de haine sur Twitter, y compris l’antisémitisme, et nous vous demandons instamment d’agir rapidement pour y remédier. Les rapports et nos propres expériences démontrent une augmentation des messages et des images antisémites et suprémacistes sur la plateforme.
La récente dissolution du groupe consultatif sur la confiance et la sécurité ne fait qu’aggraver notre inquiétude.
Twitter a montré qu’il pouvait être une force pour le bien dans le monde. Pour qu’il continue à l’être, il faut que vous preniez l’initiative et que vous rejetiez sans équivoque l’antisémitisme et toutes les formes de haine. Comme l’a dit le rabbin Abraham Joshua Heschel, « Le contraire du bien n’est pas le mal ; le contraire du bien est l’indifférence ». Ne soyez pas indifférent à l’antisémitisme qui se propage sur la plateforme dont vous êtes le propriétaire. Nous vous demandons instamment de prendre immédiatement des mesures significatives et quantifiables pour réduire la haine sur Twitter.
Cela a pris un an, mais nous y sommes.
Ce conseil existe à nouveau et il est placé sous la direction de deux officiers des services d’espionnage israéliens.
Les juifs Zach Schapira et Michal Totchani.
Nous continuons à dénoncer #IDFatX
Michal Totchani, actuellement directrice du Conseil de Confiance et Sécurité chez Twitter/X, a non seulement été commandant des services de renseignement dans Tsahal, mais a également travaillé au sein du Conseil de sécurité nationale pour Netanyahou en 2015.
Elle est aujourd’hui modératrice de contenu chez Twitter.
We are continuing to expose #IDFatX
Michal Totchani, currently the Senior Policy Trust & Safety at Twitter/X, was not only an Intelligence Commander in the IDF but also worked in the National Security Council for Netanyahu in 2015.
She is now a content moderator at Twitter. pic.twitter.com/GT9V4TCktw
— Charles Johnson’s Thoughts & Adventures (@JohnsonThought1) January 28, 2024
Zach Schapira a une idée très claire de ce que doivent faire les réseaux sociaux.
Comme propagandiste juif, il l’avait détaillé à Reuters en 2018.
Reuters :
Ce n’est pas seulement l’affaire de sites web marginaux et extrémistes. Selon une étude approfondie de l’Anti-Defamation League, environ trois millions d’utilisateurs ont publié au total au moins 4,2 millions d’articles antisémites en anglais sur Twitter entre le 29 janvier 2017 et le 28 janvier 2018. Trois MILLIONS, crachant de la haine spécifiquement dirigée contre les juifs. Dans au moins un cas important, le chef de la Nation of Islam, Louis Farrakhan, a imputé la décadence morale de la société au « Juif satanique et à la synagogue de Satan », avant de plaisanter : « Je ne suis pas un antisémite. Je suis anti-Termite ». Si Twitter a retiré son badge de vérification bleu après le premier tweet, il n’a apparemment pas jugé le second contraire à la politique en vigueur. Suite à un tollé, Twitter a déclaré à BuzzFeed qu’il ne suspendrait pas Farrakhan et qu’il ne supprimerait pas les tweets incriminés parce qu’ils n’enfreignaient pas les politiques de Twitter en vigueur à l’époque.
Le sectarisme est contagieux et les entreprises de réseaux sociaux manquent à leur obligation de l’endiguer.
S’il y a une leçon à tirer de la fusillade de Pittsburgh, c’est bien celle-ci : dans toutes les sociétés, les discours de haine engendrent la violence. Il suit un schéma prévisible, qui commence par la déshumanisation et la diabolisation d’un groupe ciblé. L’injustice, réelle ou perçue, est ensuite attribuée à ce groupe. Enfin, des fanatiques fous entreprennent de rétablir ce qu’ils perçoivent comme une justice, avec des conséquences tragiques.
… la vénération de l’Amérique pour le premier amendement rend la nation aveugle aux dangers de laisser les discours de haine s’envenimer.
Rappelons que le système de vérification d’identité est déjà assuré par les services d’espionnage israéliens.
Memo :
X, anciennement connu sous le nom de Twitter, fera appel à une entreprise technologique basée en Israël dans le cadre du processus de vérification des nouveaux utilisateurs, selon un rapport de PC Magazine.
Les utilisateurs devront télécharger une photo de leur carte d’identité et prendre un selfie pour être vérifiés, les données étant traitées par Au10tix, une société tierce de renseignement sur l’identité basée en Israël.
La plateforme stockera les images de la carte d’identité de l’utilisateur et ses données biométriques pendant 30 jours, affirmant utiliser les informations « à des fins de sûreté et de sécurité, y compris pour empêcher l’usurpation d’identité ».
Si Twitter ne garde ces données que 30 jours, les juifs les conservent indéfiniment pour produire des faux papiers et monter des opérations secrètes en faisant porter le chapeau à des goyim choisis plus ou moins au hasard.
Comme organisation, « Israël » dispose des moyens techniques pour créer des faux passeports biométriques une fois les données collectées.
Elon Musk a appris sur le tard comment fonctionne la liberté d’expression en démocratie. Il a également appris la définition du droit de propriété.
Contre la censure
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