Captain Harlock
Démocratie Participative
26 avril 2022
Si Musk veut sauver sa nouvelle entreprise, il va devoir se dépêcher car actuellement, ce n’est plus qu’un safe space pour les partisans du Great Reset du Forum Economique Mondial.
À l’occasion du « jour de la Terre », vendredi, Twitter a annoncé que les publicités trompeuses sur le changement climatique seraient désormais interdites, afin de ne pas saper les efforts en faveur de la protection de l’environnement. Cette décision survient alors que la modération des contenus de la plateforme est vertement critiquée à gauche et à droite, par ceux qui l’accusent de censure comme par ceux qui lui reprochent son laxisme.
« Nous pensons que le climato-scepticisme ne devrait pas servir à générer des revenus sur Twitter, et que les pubs trompeuses ne devraient pas distraire des conversations importantes sur la crise climatique », a expliqué le réseau social dans un communiqué.
Pas de questions ici, c’est du « climato-scepticisme » et le doute est interdit en religion.
Les annonces qui « contredisent le consensus scientifique » sur le sujet ne passeront plus. Pour arbitrer, Twitter se servira des données du Giec, les experts climat de l’ONU.
Comme Twitter utilise déjà les données de l’OMS pour la vaccination contre le Rhume19.
C’est la SSIENSSE, fin du débat.
Le discours officiel du système se résume à décréter quelque chose sur un sujet et à interdire d’en parler au motif qu’il a été décrété par le système. Il n’y a pas d’explication ou de justification supplémentaire.
C’est du pur rapport de force.
Début avril, cet organe (le giec) qui fait autorité a publié de nouveaux rapports montrant que les humains étaient « indiscutablement » responsables du réchauffement de la planète, qui a gagné environ +1,1 °C depuis l’ère préindustrielle. Il devrait atteindre +1,5 °C ou +1,6 °C autour de 2030, soit dix ans plus tôt qu’estimé précédemment, avec des conséquences dévastatrices. Les grandes plateformes sont régulièrement accusées de ne pas lutter suffisamment contre la désinformation, notamment sur des sujets sensibles, de la politique au climat, où les implications dans la vie réelle peuvent être dramatiques.
Le GIEC est une structure corrompue qui a été régulièrement prise sur le fait en train de falsifier ses chiffres pour imposer le mythe du réchauffement climatique d’origine humaine.
Bill Gates est bien entendu partie prenante de cette imposture.
« Nous reconnaissons que les informations trompeuses sur le changement climatique peuvent saper les efforts pour protéger la planète », a ajouté Twitter. YouTube (Google) a pris des mesures similaires fin 2021, tandis que Facebook (Meta) privilégie la mise en avant des faits scientifiques indiscutables via une section consacrée à l’environnement.
Jeudi, l’ancien président américain Barack Obama a appelé à plus de régulation des réseaux sociaux, pour qu’ils soient plus responsables et plus transparents, expliquant que le problème au cœur de la désinformation était moins « ce que les gens publient » que « les contenus que ces plateformes promeuvent ».
Le roi nègre est de la partie pour sauver le Great Reset.
Tu parles d’un scoop.
« Des gens meurent à cause de la désinformation »: Barack Obama appelle à réguler les réseaux sociauxhttps://t.co/oUoFRb87Ik pic.twitter.com/cW7oqSuzDQ
— BFMTV (@BFMTV) April 22, 2022