Turc buté à Tours pour une place de parking : Bassem Braiki annonce les représailles contre les nègres

Captain Harlock
Démocratie Participative
23 septembre 2018

 

Si certains d’entre vous l’ignorent, un turc a été lynché pour une place de parking par des nègres à Tours, ville en voie de tiers-mondisation raciale rapide.

Une nouvelle fois, laissons parler Bassem Braiki qui nous annonce des représailles racistes contre la négraille de Tours.

Voilà qui est pédagogique pour le Français de souche lambda qui se coud volontairement les paupières : l’avènement du paradis que nous promettaient les partisans de la société diversitaire est une illusion. En lieu et place, c’est la guerre raciale tous azimuts et de basse intensité qui prend forme. Et elle n’implique pas les Blancs.

Nous devons prendre un soin particulier à mettre dans la merde multiculturelle le nez du dernier des Blancs qui bave sur l’utopie diversitaire promue par les juifs.

L’argument central de l’idéologie juive qu’est l’antiracisme est celui-ci : après avoir éradiqué les sociétés aryennes en les bâtardisant racialement, la paix et l’harmonie adviendront, l’oppression – compris comme ontologiquement blanche – ayant été éliminée.

Chaque vidéo de violences raciales impliquant des non-Blancs permet de détruire l’idéologie antiblanche juive à son épicentre. Elles démontrent que non seulement les sociétés multiraciales ne sont pas stables ou pacifiques, mais encore que les confrontations raciales ne sont pas le fait des Blancs mais des autres groupes raciaux.

Le privilège allogène

Il est absolument clair que le peu d’énergie qui anime encore l’Etat Français est exclusivement réservée à la répression sauvage des populations blanches qui se défendent. Cela a été démontré par le cas récent du Procès Méric, tout comme l’affaire de la pseudo ratonnade de Dijon, présentée par les juifs comme le fait de neon-nazis avant que l’origine gitane des protagonistes n’aboutisse à l’étouffement médiatique de l’affaire.

Et bien sûr, le cirque autour du nègre Théo Luhaka devant lequel s’est agenouillé le chef d’un état nucléaire.

Le message, adressé aux flics, est assez simple : vous serez bolossés comme les autres jusqu’à ne plus savoir qui vous êtes ou ce que vous devez faire.

Vous avez récemment un ahuri qui geignait sur les réseaux sociaux, largement relayé par la presse juive, sur le fait que les Blancs passent leur chemin quand une agression survient.

Les Blancs ont parfaitement intégré la nouvelle donne et réagissent en conséquence.

Les allogènes ont carte blanche pour mettre en coupe réglée le pays, à tous les niveaux, grâce à la protection de l’établissement maçonnique et des juifs qui contrôlent cette république en voie de bolchevisation avancée.

Ils bénéficient d’un droit coutumier qui leur permet de régler leurs comptes de la façon qui leur plaît.

C’est la réserve d’appoint de la clique parasitaire qui exploite férocement le prolétariat blanc en France. Les lois ne s’appliquent pas à elle, privilège allogène oblige.

Le mensonge judéo-démocratique de la valeur ajoutée propre à la société multiraciale ne tient plus. Plus il y a de métèques, plus l’anarchie progresse. Pour y faire face, la presse juive devient chaque jour plus outrageusement mensongère et fanatique, recherchant avec avidité un Blanc à désigner à la vindicte des masses zombifiées par le sémitisme antiblanc.

Cette contradiction interne du système d’exploitation juif est notre plus grand atout.