Captain Harlock
Démocratie Participative
12 mars 2019
HYDRA renaît toujours
Les derniers tenants du bolchevisme de la région de Tulle enragent suite à notre article à propos de la charogne rouge puante de Jean Viacroze, finalement crevé comme le chien communiste qu’il était.
A peine Tulle venait d’apprendre le décès du dernier survivant du massacre du 9 juin, Jean Viacroze, que le site Démocratie participative salissait sa mémoire. Un site qui devrait pourtant être inaccessible en France depuis le 27 novembre dernier.
Nous n’avons rien sali.
On ne peut pas salir une ordure marxiste, elle est souillée de nature.
Le peuple ne peut que se réjouir lorsqu’un de ses bourreaux finit par crever.
Il devrait être impossible à trouver, et pourtant : le site raciste, antisémite et ouvertement néonazi « Démocratie participative » est toujours en ligne. Il a même publié fin février un violent article sur Jean Viacroze, qui était le dernier survivant des pendaisons du 9 juin à Tulle.
Vous pouvez lire ici notre article, parfaitement équilibré et mesuré.
Jean Viacroze, 104 ans, est décédé le 27 février. Dès le 28 février, sous la plume brune de Libre Panzer, le site y voit là « une bonne nouvelle », insultant de manière répétée Jean Viacroze et félicitant la division Das Reich pour avoir à Tulle « liquidé 99 de ces terroristes rouges à la solde de Staline ».
C’est exactement cela.
Nous nous sommes réjouis du fait que la charogne de Viacroze puait déjà tandis que son âme était livrée aux tourments perpétuels de l’Enfer.
Nous avons dans la foulée félicité la justice nationale-socialiste pour avoir mis hors d’état de nuire 99 terroristes rouges assoiffés de sang qui semaient la terreur dans la région à l’été 1944.
Les soldats de la Waffen SS auraient pu laisser le chaos prévaloir et passer leur chemin. Par abnégation, ils ont fait le choix moral de risquer leurs vies pour rétablir l’ordre en liquidant les égorgeurs de Staline actifs dans le secteur.
Cet acte d’héroïsme, conforme aux lois de la guerre pour ce qui touche aux bandes de brigands irréguliers, fait honneur à la tradition militaire allemande.
A Tulle, la bête rouge démoniaque a expié
Il est difficile d’évaluer le nombre de vies françaises sauvées par cette action en plus des conséquences de long terme.
Ces 99 terroristes rouges auraient inévitablement engendré des incendiaires qui, aujourd’hui, se déchaîneraient en faveur de l’envahisseur islamique, internationalisme oblige.
Scandaleuse occupation par des sans-papiers de la basilique de Saint Denis avec la complicité honteuse de militants et d’élus d’extrême gauche.
Je demande l’expulsion immédiate de ces clandestins qui, en plus d’être hors-la-loi, piétinent nos racines et notre Histoire ! pic.twitter.com/Hz20v09sNP— N. Dupont-Aignan (@dupontaignan) 19 mars 2018
Ce n’est pas peu dire que nous devons une fière chandelle à la Division Das Reich.
Démocratie participative est censé ne plus être accessible en France depuis le 27 novembre 2018. Le tribunal de grande instance de Paris avait alors ordonné à neuf fournisseurs d’accès internet français de bloquer l’accès à ces pages d’une rare violence. Les opérateurs avaient quinze jours pour s’exécuter, puis passé ce délai, ils pouvaient être condamnés à une astreinte de 10.000 € par jour de retard si le blocage n’était pas effectif.
Il y a un an, Tulle se mobilisait contre l’ouverture du local d’un groupuscule extrémiste
« Ce blocage est une décision importante, car elle va faire précédent : cette victoire en appelle d’autres » avait alors expliqué Frédéric Potier, préfet et délégué interministériel à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme.
Sauf que le blocage n’a pas duré. Quant à la fermeture du site, elle est quasi impossible car Démocratie participative est basé aux Etats-Unis, et se place sous la protection du premier amendement de la constitution américaine qui protège, dans une certaine mesure, la liberté d’expression.
« Blablabla, ces gens osent parler, blablabla… »
Ces communistes le disent eux-mêmes : les Etats-Unis garantissent la liberté d’expression.
Les communistes n’aiment pas la liberté d’expression.
Le gouvernement d’occupation juif pas davantage.
Le préfet de la Corrèze, Frédéric Veau, a saisi ce mardi le procureur de la République suite aux propos tenus, par le site raciste et antisémite Démocratie participative, à l’encontre de Jean Viacroze, le dernier survivant des pendus de Tulle.
A la suite de la parution dans nos colonnes de l’information selon laquelle le site raciste et antisémite Démocratie participative sévit toujours, le préfet Frédéric Veau a déclenché ce mardi l’article 40 du code de procédure pénale, qui lui permet de saisir directement le procureur de la République.
Cet article dit que » toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l’exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d’un crime ou d’un délit est tenu d’en donner avis sans délai au procureur de la République et de transmettre à ce magistrat tous les renseignements, procès-verbaux et actes qui y sont relatifs ».
Ces couillons « déclenchent ».
Qu’ils déclenchent.
A Tulle, les réactions consternées se multiplient : « Nous sommes dégoûtés par les propos proférés et nous devons être dans la capacité de réagir, a indiqué le maire Bernard Combes. Nous avons un arsenal possible pour lutter contre ce genre de site, des sites qui sont hébergés à l’étranger. Nous allons donc ressaisir la justice. » Bernard Combes a saisi ce mardi matin le préfet de la Corrèze en urgence. « Il faut arrêter tout cela, c’est gravissime. Je suis sous le choc. Quand on sait l’homme qu’a été Jean Viacroze. Ce site injure la victime qu’il a été. »
Ce politicien surjoue évidemment en servant une louche de pathos.
Cela doit plaire à son électorat de retraités rouges cirrhosés.
Michel Trésallet, président de l’antenne tulliste de l’Association nationale des anciens combattants et amis de la Résistance (Anacr), reste abassourdi. « Jean Viacroze était mon ami. Là, je n’ai plus envie de discuter. Quand j’ai voulu déposer une plainte contre la Division nationaliste révolutionnaire (DNR) l’année dernière, il a fallu que je passe quatre fois au commissariat avant que soit prise une plainte. Elle a été classée sans suite, faute de preuves. Je ne sais plus quoi faire. Ce site a un informateur sur la région, il y a des moyens de le trouver, via les adresses des ordinateurs. Il est donc possible de l’identifier. Mais je reste dubitatif sur la démarche du préfet parce que la plainte déposée l’année dernière est restée sans suite… »
L’ANACR !
Cette excroissance puante tenue par les assassins du Parti Communiste !
Ces nostalgiques de l’ogre Staline trônant sur une montagne de dizaines de millions de cadavres se disent même « choqués ». Ces cafards marxistes adeptes de la terreur rouge sont soudainement atteints de sensiblerie à la lecture d’un article récusant en bloc les bobards gigantesques du Parti.
Ces brigands osent tout.
Quant à notre « informateur », en vérité – et c’est connu – nous en avons bien davantage dans la région et jusqu’en des endroits qui stupéfieraient cette canaille sanguinaire.
Ils peuvent toujours les chercher, ce n’est pas demain la veille qu’ils les identifieront.