Captain Harlock
Démocratie Participative
27 août 2019
Il est au moins sorti quelque chose d’intéressant de ce G7 inutile par ailleurs : le rapprochement avec la Russie.
Grâce à Trump.
Clap de fin à Biarritz. Ce lundi 26 août, au terme d’une série de conférences de presse bilans, le G7 français s’est refermé sur la côte basque. L’occasion pour Emmanuel Macron, le président français, de transmettre le témoin à son successeur au niveau de l’organisation du rendez-vous international: l’Américain Donald Trump.
Et ce dernier n’a pas attendu pour faire parler de la réunion qui aura lieu en 2020 aux États-Unis: il a annoncé à la presse américaine qu’il pourrait y convier Vladimir Poutine, le président russe.
Depuis 2014 et l’annexion de la Crimée -une péninsule située dans l’Est de l’Ukraine-, la Russie ne fait plus partie du Groupe des Huit, qui a par conséquent été renommé en G7. Mais pour Donald Trump, cette exclusion n’est pas forcément justifiée, et il pourrait bien y mettre fin dès l’an prochain.
À l’entendre, et il l’a répété à plusieurs reprises au cours du point presse de ce lundi, si la Russie a été boutée hors du G8, c’est parce qu’elle avait mis Barack Obama dans l’embarras. “Le président Obama n’était pas content de l’annexion de la Crimée parce qu’elle l’a mis en difficulté. Ça l’a gêné alors il a voulu que la Russie soit maintenue en dehors de ce que l’on appelait à l’époque le G8.” Et d’ajouter: “Vladimir Poutine a été plus malin que le président Obama. Et du coup, je peux comprendre comment s’est senti le président Obama…”
“Le président Obama aidait l’Ukraine, et la Crimée a été annexée pendant son mandat”, a-t-il ajouté. “La Russie s’est simplement montrée plus maline que le président Obama. Elle aurait pu être empêchée si les bonnes décisions avaient été prises. Mais le président Obama n’y est pas arrivé, et c’est bien dommage.”
C’est bien tourné. Je n’aurais probablement pas réussi à formuler les choses aussi adroitement.
Il est pratiquement impossible de dire que ce mulâtre idiot d’Obama est un nègre stupide sans s’attirer les foudres de la presse juive. Surtout sur un dossier aussi miné par les juifs que celui des relations avec la Russie.
C’est une excellente chose qu’un président américain dégonfle cette boursoufflure négroïde.
Toutefois, Donald Trump n’a pas osé trop fanfaronner, reconnaissant qu’en tant qu’homme “fier”, Vladimir Poutine pourrait refuser son invitation. Et lorsqu’un journaliste lui a précisé que la recomposition du G8 n’intéressait pas forcément la Russie, le président américain a rétorqué qu’elle serait tout de même “un atout” au sein du groupe de dirigeants. “Si la Russie était avec nous dans la pièce, nous aurions pu régler certains dossiers..”
“Je n’agis pas dans un but politique”, a poursuivi Donald Trump, quand on lui demandait s’il craignait qu’une invitation de la Russie fragilise une éventuelle réélection. “Je me suis présenté à une élection, et je l’ai gagnée. Et je vais me représenter. Que je gagne ou pas, je dois faire ce qu’il faut, prendre les bonnes décisions. Est-ce que j’ai raison d’inviter la Russie? Je ne sais pas. Mais beaucoup de gens sont d’accord avec moi pour dire que c’est mieux de les avoir avec nous dans la pièce.”
C’est juste.
Aucun dossier majeur ne peut être traité sans intégrer la Russie dans les négociations. Hélas, ces maudits financiers juifs ont tout fait pour fomenter des tensions avec les Russes depuis 20 ans.
Ce ne sont pas les Russes qu’il faut écarter des forums de discussion internationaux mais bien les juifs. Il suffit de leur appliquer ce que nous avons été forcés d’appliquer à la Russie : sanctions économiques et campagnes médiatiques de grande ampleur pour alerter l’opinion sur le péril représenté par cette race de démons.
Et guerre, bien sûr, si ces singes tentent un coup fourré.
J’ai bon espoir que Trump invite effectivement Vladimir Poutine aux USA l’année prochaine. Ce serait la plus terrible défaite de la finance juive depuis l’avènement du président russe. Après avoir tout fait pour le détruire, Poutine arriverait en vainqueur en Amérique.
La chose reste à réaliser mais si Trump y parvient, il faudra l’en remercier.
Ceci dit, les Russes sont nécessairement circonspects car l’Amérique reste un royaume juif. Il suffit qu’un des agents de la juiverie revienne à la Maison Blanche pour que le fanatisme hébraïque reprenne le dessus.
Mais enfin, je ne vais pas cracher dans la soupe.