Captain Harlock
Démocratie Participative
04 juin 2019
Trump a finalement l’air de bouger face aux monopoles de la Silicon Valley qui mènent une guerre sans merci à tous ceux qui s’opposent à l’agenda judéo-globaliste.
Rien n’est officiel, mais l’étau de l’administration Trump se resserre dangereusement autour des géants de la tech. Alors que le ministère de la Justice américain se prépare à ouvrir une enquête antitrust sur le moteur de recherche Google , il se serait entendu avec l’autre régulateur de la concurrence, la Federal Trade Commission (FTC), pour se répartir la supervision des entreprises de tech.
Google n’est pas un simple « moteur de recherche ». C’est un monopole juif entre les mains de Larry Page et Sergey Brin qui vise explicitement à utiliser l’intelligence artificielle pour contrôler l’humanité.
Cet objectif passe par la mise en place d’une censure automatisée globale à l’encontre des populations blanches qui tenteraient de s’opposer à leur programme d’ingénierie sociale et raciale.
Google accumule autant d’informations en temps réel que possible, dans tous les domaines, puis les analyse grâce à l’intelligence artificielle dans le but de pouvoir tout prédire globalement au plan social, économique et politique.
Avec la concentration de ses moyens entre les mains de quelques multinationales américaines contrôlées par une poignée d’oligarques juifs, tous les opposants pourront instantanément détruit dès qu’ils seront repérés.
En fait, à terme, ce cartel de multinationales veut pouvoir déterminer qui va devenir un opposant, une tendance sociale hostile ou un concurrent gênant dans un domaine donné.
Selon la presse américaine, le ministère aurait ainsi la responsabilité de déclencher une éventuelle enquête contre Apple et Google, tandis que la FTC aurait sécurisé son pouvoir d’enquête sur Facebook et Amazon. Les deux régulateurs, qui se partagent le contrôle de la concurrence, auraient discuté de la répartition de leurs rôles respectifs ces dernières semaines.
Des travaux sont déjà en cours à la FTC, qui a créé en février dernier une équipe dédiée, chargée de se pencher sur l’état de la concurrence dans la tech, de mener « d’éventuelles enquêtes sur des pratiques anticoncurrentiellessur ces marchés et de prendre les mesures nécessaires ». Elle travaille aussi depuis plus d’un an sur le sujet de la protection de la vie privée chez Facebook, et c’est elle qui avait donné son feu vert au rachat des supermarchés Whole Foods par Amazon en 2017.
Aucune enquête n’est à ce stade officiellement ouverte, mais le fait que les deux régulateurs aient discuté de leurs prérogatives dans la perspective d’éventuelles investigations est interprété comme un signal. « S’il y a une discussion active sur la répartition des compétences, c’est qu’il y a une raison, qu’il s’agisse d’un regain d’intérêt, d’une éventuelle étude ou d’une enquête », a estimé Maureen Ohlhausen, avocate associée chez Baker Botts et ancienne présidente de la FTC, citée par le « Washington Post ».
Lundi, le titre Alphabet perdait jusqu’à 7 % en Bourse, après que la presse a dévoilé vendredi l’imminence d’une enquête antitrust par le ministère de la Justice contre son moteur de recherche Google. Il s’agit de la plus forte baisse subie par l’entreprise depuis 2011, hors période de résultats. Elle a fait fondre sa capitalisation de 54 milliards de dollars. Certains analystes, comme ceux de Bank of America-Merrill Lynch, n’excluent pas un démantèlement. « Il est très rare de démanteler une entreprise, mais il y a des précédents », écrivent-ils dans une note. Dans la soirée, Facebook cédait pour sa part près de 7% tandis qu’Amazon perdait plus de 5% et Apple un peu plus de 1,3%.
L’annonce a fait perdre 145 milliards de dollars en une journée au cartel.
Shares of Google owner Alphabet, Amazon, Facebook and Apple have collectively lost nearly $145 billion in market value as of midday afternoon https://t.co/oOPwiyS4v8
— CNN Business (@CNNBusiness) 3 juin 2019
Amazon a déjà commencé à faire disparaître les ouvrages des auteurs jugés politiquement déviants comme le masculiniste Roosh.
Google efface des recherches les contenus que les juifs veulent voir disparaître tout comme sa filiale YouTube, dirigée par la juive Susan Wojcicki.
Facebook est une caricature de tribunal soviétique avec ses ramifications que sont Instagram et Whatsapp.
Ce qui leur permet d’agir ainsi est l’absence de concurrence en raison du monopole que ces multinationales se sont constituées dans les années 2000. Il n’y a pas d’alternative réelle à Facebook, Instagram, YouTube, etc.. Ils peuvent acheter toute entreprise novatrice qui peut menacer leur monopole.
Leur radicalisation repose surtout sur le fait que dans les années 2000, ces multinationales n’avaient pas encore les moyens technologiques et les capitaux pour créer, collecter et analyser les métadonnées qu’elles brassent aujourd’hui et mettre en place l’ingénierie sociale que nous connaissons.
Depuis 2016, avec l’élection de Trump et la victoire du Brexit, ils sont passés d’une censure artisanale et erratique à une politique d’ensemble s’étendant à toutes les plateformes, simultanément. Compte des progrès très rapides de l’Intelligence Artificielle, la censure devient de plus en plus facile à appliquer.
Ceci dit, ce n’est que l’annonce d’une enquête. Une sorte d’épée de Damoclès mais qui ne résout rien en elle-même. Le problème de la censure reste entier.
Disons qu’a minima, pour Trump, c’est un moyen de faire sentir à ce cartel techno-terroriste qu’il peut les faire saigner financièrement avec très peu de moyens.
C’est un début. Insuffisant, mais un début.
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