Trump lance la purge de la juiverie antiblanche active au sein du gouvernement US

Le Libre Panzer
Démocratie Participative
12 août 2018

 

Les choses avancent aux USA.

The New Observer :

S’exprimant lors du sommet annuel pour la liberté religieuse de l’Alliance pour la Défense de la Liberté, le ministre de la justice américain Jeff Sessions a indiqué que le Département de la Justice ne s’associerait pas avec des groupes qui discriminent ou diffament les autres, pointant du doigt le Southern Poverty Law Center pour ses campagnes de haine.

Sessions a accusé le SPLC d’utiliser l’accusation de « haine » comme une « arme contre les organisations conservatrices qui refuse d’accepter leur orthodoxie et choisissent à la place de dire ce qu’elles pensent en conscience. »

« J’ai donné l’ordre au Département de la Justice une révision afin de m’assurer que nous ne nous associons pas avec aucun groupe qui discrimine » a déclaré Sessions.

« Nous ne nous associerons pas avec des groupes qui diffament injustement des Américains qui s’engagent pour défendre la constitution ou leur foi. »

Le SPLC, sous la direction de son président, Richard Cohen, a été, aux côtés d’autres organisations juives extrémistes comme l’ADL, un des plus violents critiques de l’administration Trump et a utilisé le visage de Trump pour la couverture de sa revue « Année de la Haine ».

« Le SPLC utilise le mot « haine » pour brutaliser et intimider des groupes comme le votre qui combattent pour les libertés religieux, les droits civiques et les droits constitutionnels d’autrui, » a déclaré Sessions à l’Alliance pour la Défense de la Liberté.

Cette décision d’expulser le SPLC aura notamment un impact sur le FBI qui est actuellement « partenaire » du SPLC pour ce qui concerne « les crimes de haine ».

Un rapide debriefing sur les terroristes juifs du SPLC.

Pour que chacun puisse mesurer de quoi il s’agit, cela reviendrait, en France, à abolir la DILCRAH actuellement intégrée au sein de l’Etat Français et qui aux mains de l’organisation terroriste juive « LICRA ».

Trump est bien sûr entouré de juifs, à commencer par sa fille. Il est outrageusement pro-israélien au point de se lancer dans des actions extrêmement désastreuses contre l’Iran. Mais sa politique économique pose un problème majeur aux juifs et rien, même une guerre contre l’Iran, ne compense la destruction du système de pillage international qu’ils ont créé.

Le fait est que 99% des juifs sont contre Trump en raison de sa politique migratoire qui est, implicitement, pro-blanche. Et pour les juifs, cela suffit pour justifier l’anéantissement de n’importe quel homme politique, surtout s’il est le président des USA.

Cette haine juive se traduit par des campagnes de haine et de désinformation permanentes contre Trump de la part de la presse sémitique. Ce à quoi s’ajoute, depuis quelques jours, la destruction systématique par les juifs de la Silicon Valley des médias alternatifs qui l’ont soutenu en 2016, notamment Alex Jones.

Jones a été viré, en 48 heures, de YouTube, Facebook, Itunes et Spotify. Ils s’attaquent maintenant à ses serveurs, car son site fonctionne toujours.

Peu importe de ce qu’on pense de Jones, il a ces deux dernières années évolué vers un positionnement anti-immigration. Il a couvert la situation migratoire en Europe et a soutenu Trump.

Si vous l’ignorez, la CIA est intégralement contrôlée par les juifs, de même que le FBI. Les mêmes qui tentent d’abattre Trump de l’intérieur.

La purge du SPLC par Jeff Sessions dont nous parlions en début d’article est la conséquence directe de ces attaques permanentes.

Pour eux, Alex Jones et les médias alternatifs actifs sur le net représentent un très dangereux contre-pouvoir. Ils ne cherchent plus à feindre de ne pas savoir ce qu’il se passe et ce qu’on leur reproche. Maintenant, les juifs censurent absolument tout et l’assument.

Microsoft a par exemple exigé que le réseau social GAB censure des messages antisémites faute de quoi il ne pourrait plus recourir à ses services techniques. GAB s’est exécuté.

Ils le font maintenant car les élections de mi-mandat auront lieu en automne et les juifs veulent prendre le contrôle de la Chambre des Représentants (Assemblée Nationale) pour bloquer l’agenda de Trump, notamment au plan économique et migratoire.

En réalité, cette campagne a commencé contre le Daily Stormer il y a un an et s’étend, sans surprise, à tout ce qui peut opposer une résistance aux globalistes juifs. A l’époque, ces sites passablement populistes n’avaient pas osé défendre le Daily Stormer de peur de froisser les juifs qu’ils courtisent assidûment.

Une nouvelle fois, cet appel du pied a été sans effet sur la juiverie, bien au contraire.

Démocratie Participative a connu des problèmes identiques, mais de moindre importance en raison du fait que la langue utilisée est le français. Les USA demeurent au centre de l’internet global, ce qui fait que tout acteur américain de l’internet s’expose, s’il lutte contre les juifs, à des mesures de rétorsion d’ampleur globale.

Nous demandons à nos lecteurs de suivre notre guide pratique pour surfer sur le net consulter DP. Pendant longtemps les gens ont cru que les juifs allaient les laisser utiliser leurs plateformes pour défendre les droits des populations blanches. Aucune chance.

La seule façon pour Trump de gagner en 2020 est de mettre en place une législation interdisant à ces plateformes juives de censurer quiconque s’y exprime. Sinon ses soutiens seront purgés d’ici là.

Pour nous, c’est extrêmement important car les USA seront dès lors notre principale base arrière pour mener la lutte digitale contre la juiverie internationale.