Captain Harlock
Démocratie Participative
15 juillet 2019
Enfin Trump remet des pièces dans la machine pour le divertissement des petits Blancs.
Les médias de gauche fondent un plomb.
RTBF :
Le président américain a provoqué un tollé aux Etats-Unis, après avoir publié des messages à relent raciste et xénophobe contre plusieurs élues démocrates. Il les a appelées à retourner dans leur pays, alors que la plupart sont nées aux Etats-Unis. Ce n’est pas la première fois que Donald Trump est accusé de xénophobie et de proximité avec l’idéologie des suprémacistes blancs.
« Tellement intéressant de voir les élues ‘progressistes’ démocrates du Congrès, originaires de pays dont les gouvernements sont dans une situation totalement catastrophique, les pires, plus corrompus et ineptes au monde (si même ils possèdent un gouvernement qui fonctionne), désormais dire haut et fort et de manière perfide à la population des Etats-Unis, la plus grande et la plus puissante nation de la Terre, comment notre gouvernement doit être dirigé », a tweeté Donald Trump.
Il poursuit en s’interrogeant : « Pourquoi ne retournent-elles pas dans ces endroits totalement défaillants et infestés par la criminalité dont elles viennent pour aider à les réparer ? »
« Ces endroits ont vraiment besoin de votre aide, il faut y aller vite. Je suis sûr que Nancy Pelosi sera très contente de trouver rapidement des voyages gratuits », a-t-il relevé.
Looool
So interesting to see “Progressive” Democrat Congresswomen, who originally came from countries whose governments are a complete and total catastrophe, the worst, most corrupt and inept anywhere in the world (if they even have a functioning government at all), now loudly……
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 14 juillet 2019
….and viciously telling the people of the United States, the greatest and most powerful Nation on earth, how our government is to be run. Why don’t they go back and help fix the totally broken and crime infested places from which they came. Then come back and show us how….
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 14 juillet 2019
Génial.
C’est exactement ce qu’un nombre incalculable de petits Blancs a toujours voulu dire à tous ces métèques venus squatter en Occident et qui arrivent toujours à cracher dans la soupe le ventre plein tout en vous parlant avec émotion de leurs magnifiques trous à merde qu’ils ont fui en courant.
Cela marche aussi bien pour les algériens, que les somaliens ou les pak-paks ou les nègres en général.
Et Trump vient précisément de leur dire ça.
« Ok, si vos trous à rats sont si géniaux, allez-y. »
La présidente démocrate de la Chambre Nancy Pelosi avait eu il y a quelques jours un désaccord public avec quatre élues de son parti, ce qui permet d’identifier les cibles non nommées par Donald Trump. Il faisait très vraisemblablement référence à quatre jeunes élues du Congrès : Alexandria Ocasio-Cortez de New York, Ilhan Omar du Minnesota, Ayanna Pressley du Massachusetts et Rashida Tlaib du Michigan.
Ocasio-Cortez vient de Puerto Rico qui bien que techniquement sous administration US est bel et bien un trou à rats en raison de l’immonde populace mulâtre qui y vit.
Ilhan Omar est une djihadiste somalienne totalement consumée par la haine des Blancs et qui va jusqu’à estimer publiquement que les membres d’Al Qaeda sont « des gens qui font des trucs ».
Elle hait aussi les juifs mais tout de même moins que les Blancs.
Rashida Tlaib est une moukère palestinienne qui pense sans cesse à sa patrie d’origine où elle ne pourrait jamais être élue à rien puisque les bougnoules de son bled cantonnent leurs traînées à la cuisine.
Et enfin Pressley, simplement parce que c’est une négresse tout ce qu’il y a de plus afro-américain. Ce qui ajoute évidemment à la dimension raciste de l’attaque de Trump.
Tous les médias antiblancs sont frénétiques.
#Postscriptum (II) #Miseàjour… et en désignant cette fois @AOC, Tlaib, Pressley et Omar comme des « personnes qui parlent si mal de NOTRE (NDR: je souligne) pays », #Trump suggère encore 1 fois qu’elles ne font pas partie de cette communauté nationale.
— Corentin Sellin (@CorentinSellin) 15 juillet 2019
#Postscriptum (III) L’absence de « repentir » de #Trump– sa signature politique contre le politiquement correct- et le silence total des républicains démontrent qu’on est là dans 1 stratégie politique soigneusement délibérée pour 2020 de défense de l’identité nationale blanche.
— Corentin Sellin (@CorentinSellin) 15 juillet 2019
#Postscriptum (IV) #Trump veut transformer la présidentielle de 2020 en referendum sur la défense de la nation US dont les républicains seraient seuls dépositaires, appuyés sur l’identité blanche et la foi chrétienne face à des démocrates dépeints en « parti de l’étranger »…
— Corentin Sellin (@CorentinSellin) 15 juillet 2019
#Postscriptum (V)… le but électoral de #Trump étant, en clivant sans cesse le discours contre l’#immigration et pour le protectionnisme, dans les Etats pivots du Midwest et des Lacs, à majorité blanche non hispanique, de déclencher 1 vote identitaire blanc de défense patriotique
— Corentin Sellin (@CorentinSellin) 15 juillet 2019
Aujourd’hui, Trump en a remis une couche.
Il a longuement expliqué, devant des gonzesses journalistes au bord de la crise nerveuse, qu’il pensait exactement ce qu’il a dit.
Trump savourait visiblement chaque minute de sa conférence de presse où il a répété encore et encore ce que tout le monde lui demandait de retirer.
Quand ces femelles surexcitées lui ont dit que les « nationalistes blancs » soutenaient à fond ce qu’ils disaient sur Twitter et ailleurs, il a tranquillement dit que « plein de gens » aimaient ce qu’il avait dit.
Ce qui revient donc à dire, « ouais ».
En France, les médias sont déchaînés.
Le Monde :
Le président américain Donald Trump s’en est une nouvelle fois pris avec virulence à des femmes parlementaires démocrates, estimant qu’elles devraient « demander pardon à leur pays ». « Quand les élues de la gauche radicale demanderont-elles pardon à notre pays, au peuple d’Israël, et même au président pour (…) les choses terribles qu’elles ont dites », a tweeté le président américain lundi 15 juillet au matin. « Tant de gens sont en colère contre elles et leurs propos horribles et répugnants », a-t-il ajouté.
Lol.
« Oh regardez ces femmes marrons extrémistes, elles veulent gazer les juifs d’Israël ! »
Mêlez les juifs à ce truc est excellent parce qu’après, les juifs doivent s’expliquer avec les métèques sur le pourquoi du comment.
Et les juifs n’aiment pas devoir s’expliquer. Surtout quand il y a des musulmans dans l’équation.
La veille, les tweets du locataire de la Maison Blanche appelant certaines parlementaires démocrates à « retourner » d’où elles venaient ont suscité un tollé dans le camp démocrate, qui a dénoncé dimanche des propos « racistes » et « xénophobes ». Ses déclarations ont également fait réagir lundi la première ministre britannique Theresa May – habituellement très mesurée dans ses critiques à l’endroit du président américain –, qui les a jugées « totalement inacceptables ».
Wah, Theresa May ?
Mon Dieu, Trump est foutu.
Le désespoir de la presse pour citer cette vieille bourrique à quelques jours du licenciement.
Même le djihadiste qui sert de maire à la ville marron de Londres est intervenu pour dire à quel point Trump était un raciste.
Sadiq Khan on Donald Trump’s tweets: « The sort of language – ‘go back to where you came from’ – it’s the sort of language I’ve heard in my lifetime from racists and fascists. Never from a mainstream politician. »@mrjamesob | @SadiqKhanhttps://t.co/WFdGBKtA8q
— LBC (@LBC) 15 juillet 2019
Évidemment, c’est tactique. Trump est en campagne électorale pour 2020 et veut déstabiliser le Parti Démocrate en donnant le plus de poids médiatique possible à l’aile extrémiste du parti, celle qui est favorable au communisme marron et au génocide des Blancs incarnée par AOC ou Omar.
Les vieux gérontes modérés comme Joe Biden se retrouve isolés, faute d’enthousiasme dans la base. S’ils veulent exister, ils doivent céder à la pression et emboîter le pas aux femelles islamo-communistes du tiers-monde qui ragent dans les médias.
Sauf que c’est un vieux mâle blanc hétérosexuel et qu’à ce titre, il sera toujours suspect auprès des métèques et des gouines qui sert de base au Parti Démocrate. Il ne bénéficiera pas du même soutien passionné que ces femelles du bougnoulistan.
En tout cas, tant que Trump déverse sciemment de la haine raciale pour alimenter sa campagne, moi ça me va. C’est mieux qu’une campagne électorale ennuyeuse sur le thème du chômage.
D’autant que la presse rouge en Europe ne peut pas s’empêcher de rager au moindre propos sur ces fabuleux métèques multicolores sans lesquels nous serions toujours à l’âge de pierre.
Accessoirement, quelqu’un au RN pourrait commencer à étudier comment on fait de la politique.