Capitaine Harlock
Démocratie Participative
25 février 2018
Malgré des faiblesses bien connue sur la (((question))), Trump demeure, à mon sens, la meilleure chose qui nous soit arriver en Occident depuis très longtemps.
Le Monde :
Le président américain Donald Trump s’est lancé vendredi 23 février dans la récitation d’une chanson devant le gratin des conservateurs américains réunis près de Washington, utilisant l’image du serpent pour dénoncer l’immigration.
Sortant de sa poche une feuille, M. Trump a lu les paroles de la chanson de soul The Snake d’Al Wilson, qui narre l’histoire d’une femme recueillant un serpent affaibli avant de se faire piquer mortellement par l’animal ingrat. « Tu savais très bien que j’étais un serpent avant de me ramener chez toi », a ainsi déclamé le chef d’Etat devant les participants de la Conservative Political Action Conference (CPAC), à National Harbor, dans le Maryland, grand rendez-vous annuel des conservateurs.
« Pensez à cela en termes d’immigration », a poursuivi M. Trump pour ne laisser aucun doute sur les raisons de son envolée lyrique. Lors de la campagne présidentielle de 2016, le milliardaire avait déjà lu des passages de cette chanson en meeting.
Citez-moi un seul chef d’état occidental actuel qui a le courage de dénoncer l’invasion des hordes de sauvages du tiers-monde en termes de menace existentielle, en l’associant aussi justement au symbole même de la perfidie : le serpent.
Tout le système veut la tête de cet homme. Qu’il s’agisse de la CIA, du FBI, de la finance et des médias juifs, des marxistes ou des musulmans.