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Capitaine Harlock
Démocratie Participative
03 avril 2018
Trump écoute la droite raciste.
Quand les communistes, les juifs et les affairistes décident d’entrer en guerre ouverte avec le peuple, la seule option est de faire entrer l’armée dans le jeu sous la direction d’un leader populaire.
C’est exactement ce que Trump a décidé de faire.
Donald Trump a dit mardi vouloir déployer l’armée américaine à la frontière avec le Mexique, ce qui constituerait selon lui « un grand pas ».
Le président des États-Unis a dit envisager cette mesure afin de défendre la frontière jusqu’à ce que soit construit un mur et que soit assurée « une véritable sécurité ».
« On va faire les choses militairement », a-t-il déclaré devant la presse à la Maison-Blanche, ajoutant avoir discuté de cette idée avec le secrétaire à la Défense, James Mattis.
M. Trump a fait cette déclaration lors d’une rencontre avec des dirigeants des pays baltes, cultivant son image de fermeté sur l’immigration avec une nouvelle diatribe contre son prédécesseur Barack Obama, « qui a fait des changements ayant tout simplement conduit à une absence de frontière ».
Le président a vivement reproché ces derniers jours au Mexique de laisser plus de 1000 migrants d’Amérique centrale progresser vers les États-Unis, où beaucoup espèrent demander l’asile.
Il a estimé que cette « caravane » légitimait la construction du mur qu’il réclame à la frontière entre le Mexique et les États-Unis.
Nous aussi, nous aurions du depuis longtemps déployer l’armée et la marine afin de tirer à vue sur l’envahisseur.
Mais au lieu de ça, nous avons un régime judéo-communiste antimilitariste qui persécute les patriotes, organise l’invasion islamique et harcèle l’armée et la police en permanence.
Trump s’approche enfin de la conclusion qui s’impose : dans ces républiques juives rongées par l’invasion du tiers-monde et le marxisme, seules l’armée et la police fonctionnent encore.
« Nous ne pouvons pas permettre à des gens d’entrer en nombre illégalement dans notre pays, disparaître et, au passage, ne jamais se présenter devant la justice », a-t-il poursuivi.
Plus tôt dans la journée, Donald Trump avait annoncé que l’aide américaine au Honduras et à d’autres pays pourrait être remise en cause s’ils n’arrêtaient pas cette « caravane » de migrants.
« Nous avons besoin d’un mur qui mesure 1100-1300 kilomètres » le long de la frontière, a-t-il ajouté.
Le Pentagone a indiqué qu’il n’était pas au courant d’un déploiement militaire à la frontière, mais que ce type d’opération avait déjà eu lieu par le passé.
Parce que vous avez ces pépitos communistes payés par la finance juive, comme en Europe, pour se jeter à la frontière US.
A ce stade, en France, la question qui se pose vraiment est celle de la militarisation de l’état après la neutralisation du gouvernement d’occupation.
Il nous faut quelqu’un pour lancer ce que tout le monde attend : l’abolition du chaos républicain et abolir la tyrannie juive que l’on appelle la démocratie.
Plus personne ne veut d’élections truquées où le candidat des juifs est désigné vainqueur à l’avance par la presse juive. Le peuple veut un homme fort, doté de la volonté et de la vision nécessaire pour purger les traîtres, détruire l’ennemi et rétablir l’ordre social.
Tout ce qui renforce l’armée et la police devrait être perçu comme des étapes transitoires vers ce but.
