Captain Harlock
Démocratie Participative
08 Janvier 2021
Maintenant que la pitoyable trahison de Trump est consommée, nous pouvons jeter un œil sur le prochain gouvernement américain.
Pour être exact, il s’agira d’un gouvernement juif, stricto sensu. Le gouvernement le plus juif de toute l’histoire américaine – et de loin.
Il n’est plus question de faire semblant à un moment aussi critique, tous les ministères stratégiques seront donc directement contrôlés par des juifs.
Le ministre de la Justice (Attorney General) restera entre les mains des juifs. C’est le juif de Chicago Merrick Garland (Horwitz) qui succédera au juif William Barr. C’est lui qui mènera la plus grande purge antiblanche de l’histoire américaine dans les mois à venir.
Le ministère des Finances sera aux mains de la juive polonaise Janet Yellen. C’est elle qui va succéder au banquier juif Steven Mnuchin que Trump avait nommé à ce poste.
Elle sera en charge de la destruction finale de l’économie réelle au profit des giga-monopoles digitaux et financiers contrôlés par les juifs. Cette destruction sera réalisée grâce au prochain confinement total qui sera décrété par la Maison Blanche, une fois le traître Trump évincé le 20 janvier.
Le ministère des Affaires Etrangères (Secretary of State) sera contrôlé par le néo-conservateur juif Anthony Blinken.
Partisan d’une politique impérialiste radicale, il veut utiliser l’armée américaine pour imposer la dictature juive à l’échelle du monde. Il veut notamment organiser une invasion armée de la Syrie pour y installer un régime djihadiste à la solde d’Israël.
Le ministère de l’Intérieur (Secretary of Homeland Security) sera aux mains d’Alejandro Mayorkas, un juif cubain. Contrôlant toutes les forces de sécurité, il aura la charge d’anéantir toutes les organisations patriotiques blanches encore susceptibles d’opposer une résistance au gouvernement juif central.
La Direction du Renseignement Intérieur (Director of National Intelligence) sera occupée par la juive Avril Haines. Elle aura la mission d’espionner toutes les organisations patriotiques blanches en vue de leur destruction sous la supervision du ministre de l’Intérieur, le juif Alejandro Mayorkas.
Joe Biden étant au bord de la sénilité, les opérations de la Maison Blanche seront contrôlées au quotidien par son directeur de cabinet, le juif Ron Klain. C’est lui qui prendra les véritables décisions, Biden se contentant de signer les documents officiels.
Comme nos lecteurs le savent, la révolution marxiste en cours sous couvert d’état d’urgence sanitaire est associé à l’imposture climatique pour mettre en place le collectivisme « vert ». C’est ce qui permettra aux juifs de réaliser le plus grand transfert de richesse de toute l’histoire. C’est le juif John Kerry qui a été désigné pour servir de coordinateur de cette politique économique sous couverture « écologique ».
Pour que personne ne dise qu’il s’agit d’un « délire conspirationniste », il suffit de citer la presse de gauche américaine la plus autorisée sur la question. C’est une politique revendiquée qui est qualifiée par cette presse de « radicale » – ce qui est vrai.
Voici le contenu de cet article résumant la chose.
The Hill :
En juin, les élites d’importantes institutions internationales telles que le Forum économique mondial et les Nations unies ont lancé une vaste campagne de « réinitialisation » de l’économie mondiale.
Le plan consiste à augmenter considérablement le pouvoir du gouvernement par le biais de nouveaux programmes sociaux de grande envergure comme le Green New Deal et à utiliser de vastes programmes réglementaires et gouvernementauxpour contraindre les entreprises à soutenir des causes de gauche.
Les deux justifications pour ce projet, qui a été judicieusement nommée par ses partisans « Great Reset », sont la pandémie COVID-19 (la justification à court terme) et la soi-disant « crise climatique » causée par le réchauffement de la planète (la justification à long terme).
Selon les partisans de la Great Reset, le plan transformerait fondamentalement une grande partie de la société. Comme l’a écrit Klaus Schwab, directeur du Forum économique mondial (WEF), en juin dernier, « le monde doit agir conjointement et rapidement pour réorganiser tous les aspects de nos sociétés et de nos économies, de l’éducation aux contrats sociaux et aux conditions de travail ». Tous les pays, des États-Unis à la Chine, doivent y participer, et toutes les industries, du pétrole et du gaz à la technologie, doivent être transformées. En bref, nous avons besoin d’une « Grande Réinitialisation du capitalisme ».
Au niveau international, le Great Reset a déjà été soutenue par des dirigeants, des militants, des universitaires et des institutions influents. Outre le Forum économique mondial et les Nations unies, le mouvement Great Reset compte parmi ses membres le Fonds monétaire international, des chefs d’État, Greenpeace et des PDG et présidents de grandes entreprises et institutions financières telles que Microsoft et MasterCard.
Mais en Amérique, la plupart des décideurs politiques – y compris le président élu Joe Biden – ont été relativement discrets au sujet de la Great Reset, laissant beaucoup à spéculer sur ce qu’une administration Biden ferait pour soutenir ou s’opposer à ce plan radical.
Certains éléments indiquent que Biden et certains de ses principaux alliés soutiennent le Great Reset et tenteraient de l’imposer aux États-Unis. Mais Biden et son équipe n’ont jamais explicitement déclaré que l’Amérique serait impliquée – c’est-à-dire jusqu’à présent.
Lors d’une table ronde sur la Great Reset organisée par le Forum économique mondial à la mi-novembre, l’ancien secrétaire d’État John Kerry – le futur envoyé spécial de M. Biden pour le climat – a fermement déclaré que l’administration Biden soutiendrait la Great Reset et que celui-ci « se déroulerait plus rapidement et plus intensément que beaucoup de gens ne l’imaginent ».
Lorsque l’animateur Borge Brende a demandé au Forum économique mondial et aux autres partisans de la Grande Réinitialisation s’ils « attendaient trop de choses, trop vite du nouveau président ou s’il allait remplir ses promesses dès le premier jour », Kerry a répondu : « La réponse à votre question est : non, vous n’attendez pas trop ».
« Et oui, cela [la grande réinitialisation] aura lieu », a poursuivi Kerry. « Et je pense qu’elle se fera plus rapidement et plus intensément que beaucoup de gens ne l’imaginent ». En effet, les citoyens des États-Unis viennent de faire un Great Reset. Nous avons déjà fait un Great Reset. Et c’était un niveau de participation électorale record ».
Kerry a ensuite affirmé que la Grande Réinitialisation est nécessaire pour ralentir la « crise climatique » et que « je sais que Joe Biden pense que … il ne suffit pas de rejoindre Paris [les Accords de Paris sur le climat] pour les États-Unis. Il ne nous suffit pas de faire le minimum de ce que Paris exige ».
Kerry a également déclaré qu’en raison du mouvement Great Reset, il pense que « nous sommes à l’aube d’une période extrêmement excitante » et que « la plus grande opportunité que nous ayons » pour résoudre les problèmes sociaux et économiques est « de faire face à la crise climatique ».
Les preuves de la connexion entre Biden et la Grande Réinitialisation sont maintenant limpides. Lui, John Kerry et le reste de l’administration Biden ont l’intention de mettre en place le Great Reset aux États-Unis. Et s’ils réussissent, le pays ne sera plus jamais le même.
C’est ce que j’explique ici depuis des mois et des mois, c’est-à-dire depuis que la pandémie artificielle de Covid19 a été fabriquée par les médias sur ordre de l’oligarchie : l’état d’urgence sanitaire n’est que l’élément déclencheur d’une révolution marxiste qui sera progressivement justifiée par « l’urgence climatique » et qui verra une petite nomenklatura d’oligarques juifs s’emparer de tout l’appareil productif occidental.
C’est-à-dire le communisme réel, tel qu’il est et sera toujours appliqué : les richesses pour les juifs, le communisme pour les pauvres.
Si vous voulez savoir ce qui nous attend, relisez la ferme des animaux de George Orwell et remplacer les porcs du roman par des Goldberg, des Rubinstein et des Kagan.
Tout comme en Russie en 1918, c’est pour cette raison que les juifs ne peuvent pas déléguer à des goyim les basses œuvres à un moment aussi fatidique.
L’histoire retiendra que c’est grâce à la lâche trahison de Trump – du fait de son enjuivement paroxystique – que la juiverie aura plongé dans l’enfer du bolchevisme les Etats-Unis et le reste du monde occidental avec eux.
Il n’y a plus qu’une seule option pour les peuples blancs désormais acculés, le dos au mur : la révolution. Oubliez les « élections », elles seront réalisées dans les mêmes conditions qu’en URSS ou dans tout autre « paradis marxiste » du même genre qu’ont inventé les juifs.
Il n’y a plus de retour en arrière possible.