Capitaine Harlock
Démocratie Participative
26 janvier 2018
Si des gens ont encore des doutes sur le caractère musulman de la France, ceci devrait leur donner matière à réflexion.
«Les nôtres avant les autres». Ce slogan de la toute jeune association Cercle souveraineté et identité toulousaine (CSIT), créée il y a quatre mois est entré en application lundi 22 janvier dans les rues de Toulouse. À la nuit tombée, six militants identitaires ont arpenté les trottoirs des sacs de nourriture à la main. Officiellement il s’agissait de la première maraude organisée par l’association en réaction à l’intervention du gouvernement auprès des migrants de Calais. «Macron s’occupe des repas à Calais alors qu’il ne le fait pas pour nos SDF. Nous, nous essayons de compenser», explique Nicolas Grigner, secrétaire et fondateur du cercle Souveraineté et identité toulousain, et par ailleurs membre du Front national.
Pour cette première maraude appelée a se reproduire une fois par mois, les identitaires avaient opté pour un menu composé de bonbons, de dates, de compote, de crêpes au chocolat assorties de quelques pièces en chocolat mais dont le plat de résistance consistait en un solide sandwich aux rillettes. Du porc donc pour des SDF qui étaient tous censé aimer et consommer du cochon. Agacé d’être assailli par les journalistes qui lui demandent des comptes sur cette maraude à base de charcuterie organisée par un membre de son parti, Julien Leonardelli, secrétaire départemental du FN, feint de ne pas comprendre le lien entre la distribution de sandwichs aux rillettes et les principes identitaires revendiqués par le cercle : «C’est comme pendant la guerre les Français qui avaient faim ne réfléchissaient pas si c’était du lapin ou du chat. Et puis allez donc en parler aux éleveurs qui manifestent à Montauban. En France aujourd’hui il ne faut plus consommer de porc !»
Pour Nicolas Grigner, accuser le cercle d’avoir tenté de sélectionner par la nourriture les SDF qui bénéficient de sa générosité c’est lui faire un procès d’intention malhonnête. Car selon son fondateur le cercle est avant tout une plateforme qui rassemble de jeunes militants de droite, issus comme lui du Front national, mais également de Debout la France, de l’Union populaire et républicaine, de l’action Française et des Républicains. Mais qui refuse tout ce qui est à l’extrême-droite, «la vraie extrême-droite, celle qui tient des propos de haine et racistes tels que les néonazis ou le Parti de France». Une précaution qui ne suffit toutefois pas à rassurer Laurence Arribagé. La secrétaire départementale de la fédération Les Républicains de Haute-Garonne s’est fendu d’un tweet qui remet les pendules à l’heure : «Ignoble. Je condamne avec la plus grande fermeté ces agissements inhumains et cette instrumentalisation malsaine de la misère de nos concitoyens. Je demanderai l’exclusion immédiate de tout adhérent des Republicains appartenant à ce mouvement». Qu’on se le dise.
Voilà où nous en sommes.
Dans cette ville submergée par les races les plus hétéroclites et rongée par la canaille rouge espagnole – pour ne rien dire des 60,000 juifs qui trônent sur Toulouse – des militants « identitaires » s’engagent contre « les propos de haine », le « racisme » et bien sûr, « la vraie extrême-droite ».
Comprendre : les Blancs avec un semblant d’instinct de survie.
Soyons sérieux : on ne peut pas avoir le beurre – la lutte contre l’invasion afro-islamique – et l’argent du Beur – les médailles d’antiracisme décernées par la Licra et le Grand Orient. C’est l’un ou l’autre.
Dites-moi, hormis soulager quelques pauvres bougres blancs à la rue, quel peut être l’intérêt de ce type d’actions qui se conclut par un serment d’allégeance à l’idéologie antiblanche dominante, doublée une condamnation des « Néo-Nazis » et du « Parti de la France » ?
J’attendais légitimement une condamnation formelle des égorgeurs d’allah, de tous les pouilleux d’Afrique qui violent, pillent et tuent depuis si longtemps dans le quartier du Mirail et ailleurs. Mais non, je dois me contenter d’un énième crachat contre les Blancs.
En somme, tout le monde est antiraciste et ce fameux « cercle » est simplement « antiraciste à sa façon ». Un antiracisme identitaire, en somme.
L’intérêt de l’article réside dans le fait qu’il illustre parfaitement l’effet domino qu’engendre la soumission à la terreur antiblanche que poussent les propagandistes juifs et marxistes. La représentante locale du « parti gaulliste » se sent obligée de réagir publiquement contre un demi sandwich au porc, marque « d’irrespect flagrant » envers la secte d’allah.
C’est la démonstration par l’absurde que la France est devenue, par défaut, un état musulman. Toute cette bourgeoisie par du principe que la France est a priori islamique et se doit donc de placer les attentes de la vermine musulmane au dessus du reste.
Aussi surprenant que cela puisse paraître, je crois qu’on ne passera pas le racisme – c’est-à-dire la défense des Blancs – en contrebande, même en minaudant.
Surtout vu ce qui traîne dans cette région.
La lèpre rouge doit être extirpée, à commencer par les rangs de la droite communiste.