Toulouse : des féministes collent des caricatures de Mahomet dans la ville, la police de la charia les met en garde à vue pour éviter une insurrection islamique générale

Captain Harlock
Démocratie Participative
20 octobre 2020

J’adore cette mise en abîme de la République

Imaginez un peu des féministes blanches devenues si radicalement hostiles aux hommes qu’elles décident de provoquer les arabes dans la ville de Mohamed Merah.

Mais c’était sans compter sur la police islamique de la Ville Rose qui a rapidement arrêté les blasphématrices.

La Dépêche :

Trois militantes féministes, âgées de 19, 29 et 43 ans, ont été arrêtées lundi soir par la police municipale au cours d’une action de collage dans les rues de Toulouse d’une caricature de Charb représentant un postérieur nu à côté de l’inscription : « Et le cul de Mahomet, on a le droit ? »

C’est celle-là :

Ce truc serait probablement mieux passé au Caire qu’à Toulouse.

Armées de seaux remplis de colle et de brosses, les trois militantes avaient pour ambition de coller un millier d’affiches « pour inonder le centre-ville de Toulouse », et exercer leur « droit au blasphème », trois jours après la décapitation près de Paris d’un enseignant qui avait montré des caricatures du prophète Mahomet lors d’un cours sur la liberté d’expression.

Interpellées par des passants curieux de la finalité de leur démarche, ou même agressifs, les militantes ne répondent pas ou très peu. « Il faut aller vite car ça reste une action risquée, on n’est pas là pour donner une conférence de presse », affirme à l’AFP l’organisatrice de l’action qui préfère garder l’anonymat. « Un homme a été égorgé, en France, pour avoir montré des caricatures », lance-t-elle finalement auprès d’un badaud très insistant.

Coller quelques affiches, une action « risquée » ?

Pourquoi donc ? Ces trois féministes ne le disent pas. Ni les journalistes de la Dépêche d’ailleurs.

Serait-ce parce que la ville est totalement bougnoulisée ?

Vers 20h10, une demi-heure à peine après le début de leur action, elles ont été interpellées rue de Metz par des policiers municipaux et emmenées au commissariat pour « délit d’affichage sauvage », notamment sur des sites classés. Les gardes à vue sont toujours en cours ce matin.

Charb avait été assassiné avec plusieurs autres dessinateurs emblématiques de Charlie Hebdo lors de l’attentat contre l’hebdomadaire satirique le 7 janvier 2015.

Ha !

La police islamique municipale a réagi à la vitesse de l’éclair, arrêtant les trois Blanches enragées avant que des émeutes de musulmans fanatisés n’éclatent un peu partout dans Toulouse. Pas tant pour sauver la mise des derniers Français qui y survivent que pour éviter qu’une école juive ne reçoive la visite impromptue d’arabes passablement nerveux.

La dernière fois que c’est arrivé, Bibi est venu en personne mettre à l’amende les Français pour cette erreur.

En tout cas, vous avez la démonstration que la « laïcité » n’est plus qu’un objet de débat entre juifs sur des plateaux télévisés sécurisés ou de discours de Macron lors du dépôt de chrysanthèmes après l’exécution d’infidèles.

En pratique, toutes les rues des grandes villes de France sont désormais sous le contrôle des cellules de combattants de l’islam. Je me répète mais ce n’est là que le début au vu de la démographie fulgurante des musulmans.

Les politiciens continueront de jouer les faux-culs dans les médias pour rassurer les Boomeurs et les femmes qui les élisent mais sur le terrain la rage islamique a atteint de telles proportions qu’ils donnent ordre d’écraser la moindre action « laïque » susceptible de les faire exploser. Littéralement.

Commentez l’article sur EELB.su