Totalement has been, Rammstein touche le fond de la cuvette juive en promouvant le sexe anal entre hommes en Russie

Captain Harlock
Démocratie Participative
31 juillet 2019

 

Rammstein a renouvelé ses provocations en faveur de la transmission du SIDA par l’anus.

Après la Pologne, c’est en Russie que ce groupe a tenu à s’aligner sur le lobby international des travelos enculeurs de nourrissons.

 

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Россия, мы любим тебя! Photos: @jenskochphoto

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Je suppose que c’est le chemin qu’empruntent invariablement tous les groupes de musique célèbres à mesure qu’ils vieillissent et deviennent périmés, en 2019. Ils compensent l’absence de créativité par un appel au mimétisme social juif en diabolisant un ennemi désigné par le système.

En l’occurrence, ici, les deux derniers états blancs essayant d’endiguer plus ou moins le poison de la dégénérescence sociétale juive : la Pologne et la Russie.

C’est juste le 3,791ème groupe à le faire.

Cette dernière provocation relève bien de cette sous-culture punk dégueulasse consistant à tout saloper chez les autres pour attirer l’attention.

Dans le même genre, il y a aussi les provocations nihilistes contre leur propre public.

Le dernier clip de Rammstein, « Deutschland », est assez symptomatique.

C’est un crachat à la face du public allemand qui penche vers le patriotisme, en plus du public international qui aimait le caractère martial et germanique de leur style.

Est-ce que les héros de Rammstein tenteraient ce coup-là en Chine ?

Ils n’auraient pas fini de poser leurs guitares qu’ils seraient déjà en train de récolter du riz dans un laogaï du Sichuan.

Il y a encore quelques années, un groupe se contentait de se rabattre sur la publicité quand il ne parvenait plus à rester sur le devant de la scène grâce à son originalité. C’était une façon de rester visible.

Maintenant, l’alternative consiste à militer pour la transmission du HIV aux enfants de 7 ans.

En plus, la durée de vie de la plupart des groupes étant assez réduite, ce cycle est de plus en plus court.

En 2008, Taylor Swift faisait de la variété blanche.

Maintenant elle vend du pédo-traveloïsme en quantités industrielles.

Pour en revenir à Rammstein, je ne vois pas ce que des jeunes Blancs en quête de puissance musicale et spirituelle feront avec un groupe de sexagénaires reconvertis dans l’animation de char pour la Gay Pride.

Rien, en toute probabilité.

Rammstein aurait pu être quelque chose de plus qu’un groupe de rock usé. Mais c’est impossible dans la démocratie juive qui défigure l’Allemagne.

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