Captain Harlock
Démocratie Participative
10 novembre 2021
Depuis que les médias ont décidé d’exhiber ce crétin de Pesquet, je hais ce type.
Je n’ai pas spécialement théorisé quelque chose là dessus, c’est simplement instinctif : il a une tête de crétin.
Pourtant, pour être pilote, il faut un cerveau bien organisé et une excellente condition physique. Être une sorte de surhomme, en somme.
Mais il a quand même une tête de crétin.
Si je devais dessiner le portrait robot du goy beta fondamental grâce auquel la matrice juive a pu nous mener là où nous sommes, c’est la tête de Pesquet que je décrirais.
Il peut arrêter de se foutre ostensiblement de notre gueule une minute, juste une ?
Une fois que j’ai dit ça, il y a le matraquage médiatique autour de ce crétin qui, dans notre contexte bioterroriste et climato-millénariste, est par définition le résultat d’un plan de décérébration de masse. A mon réflexe de rejet s’ajoute donc la suspicion.
En tout cas, ce crétin est tombé du ciel cette nuit et les médias ne perdent pas une miette de ce qu’il fait, toujours avec son air d’ahuri congénital.
« Je pense surtout prendre un peu de repos »: les premiers mots de Thomas Pesquet après son retour sur Terre pic.twitter.com/cEDLxgXQFk
— BFMTV (@BFMTV) November 10, 2021
Il y a toujours eu des astronautes français.
Par toujours, je veux dire depuis des décennies. Ce n’est qu’avec ce type que c’est devenu un évènement médiatique. Vous comme moi savons que les médias ne font rien par hasard et que ce non-évènement présenté en évènement permanent remplit une fonction.
Cette fonction, c’est la bande de Macron qui l’a mise au point.
Pesquet et sa tête de goy à côté de ses pompes n’est rien d’autre qu’une interminable page de publicité macroniste.
Avec Thomas Pesquet, depuis la Station spatiale internationale.https://t.co/vW58sFd3of
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) November 4, 2021
Je me suis demandé si j’étais seul à réagir ainsi ou bien si d’autres avaient la même réaction de goy circonspect tournant autour d’un colis piégé.
La réponse c’est que tous les boomers attardés de Facebook adorent. En fait, ce sont surtout les boomeuses.
Typiquement :
« ah, il est vraiment gentil, il prend le temps de répondre après 6 MOIS DANS L’ESPACE »
Vous sentez que les boomers et les femmes blanches ont vraiment de très grosses questions existentielles à résoudre au quotidien quand vous les lisez réagir.
Vous sentez aussi monter en vous une très grosse pulsion génocidaire.
En tout cas, moi je la ressens.
Ces derniers temps tout ce qui touche à l’espace est devenu totalement cringe. Je me demande si c’est voulu ou non, mais cette espèce de show hollywoodien permanent depuis que les milliardaires comme Musk et Besos s’en sont mêlés a rendu tout ça grotesque.
Vous avez l’impression d’être invité dans une soirée où il faut faire semblant de s’amuser.
La vieille qui flotte est une youpine, Wally Funk. Même l’espace est censé accueillir des YOUPINES FLOTTANTES.
Jadis, les missions spatiales étaient sérieuses, sans commentaires, sans tenues spatiales qui ressemblent à des caricatures de tenues spatiales.
Personne ne s’y intéressait.
Le truc avec ces tenues volontairement caricaturales, c’est qu’on a l’impression qu’elles sont là pour nous signifier qu’on nous prend franchement pour des cons.
Les bottes, c’est la goutte d’eau.
En fait, on a même l’impression que ces types hilares se foutent de nous.
Maintenant, tout ça est scrypté et pédé.
C’est quand même fou d’avoir fait de l’astronaute la figure ultime du pédé.
D’ailleurs Thomas Pesquet a une tête de pédé et personne ne me fera dévoir Thomas Pesquet autrement que comme un pédé.
Bref
On a l’impression qu’on essaie de nous faire vivre dans un drama Netflix et en même temps de nous dire que c’est une remise des Oscars et que, comme toute remise des Oscars, nous ne sommes pas invités.
Nous sommes saturés de ces images au moment où notre réalité quotidienne est elle de plus en plus dystopique, merdique et archaïque. Quand on sort dans n’importe quelle ville occidentale, ce ne sont pas des prouesses de technologie que l’on voit, mais le Sahel en VTT.
Tiens, voilà ta conquête de l’espace, connard
Ou alors de nègres sous crack.
Le peu de technologie nouvelle sert à savoir si vous vous êtes fait piquer par l’entreprise juive Pfizer.
C’est factuel ce que je dis : en 2021, le pic technologique est une application pour savoir si vous pouvez commander une bière.
Et donc, les pieds dans ce cloaque, on allume sa télé et on tombe sur ça.
Ouais donc j’étais six mois dans l’espace et tout, j’ai pris ma capsule pour débarquer en Louisiane, ensuite je me suis posé en mer avant d’aller directement au Texas, pause café, avion direction Cologne et là voilà, j’ai un petit coup de barre je vais aller prendre une douche, demain je vois notre grand président Macron et je vais rappeler que la troisième dose dans l’espace c’est important. Mes photos sont authentiques btw et le réchauffement climatique, c’est super grave, roulez tous en bus collectivisé !
Au bout d’un moment, le village Potemkine, ça va cinq minutes.
Je me fous de sa station spatiale, même si ce type a probablement passé ses six derniers mois dans un studio américain à amuser la galerie.
Je ne dis pas qu’il n’y a pas de station spatiale dans l’absolu, je dis que ce type prétend avoir fait quelque chose ces six derniers mois alors qu’il n’a fait que poster des photos prises et reprises par des tas de satellites il y a 50 ans.
Mais avec une touche fronssaise en plus.
Bird’s eye view of Mecca, holy city of Islam
/
Non loin de l’aéroport de Djeddah: la Mecque bien sûr, ville sainte de l’Islam pic.twitter.com/1nY9qF4Rty— Thomas Pesquet (@Thom_astro) May 1, 2017
Donc en théorie, l’espace, c’est beau, en pratique, c’est devenu un truc d’homosexuels globalistes.
Et vous savez quoi ? Les homosexuels sont naturellement attirés par des trucs d’homosexuels.
Après la décolonisation, on partira à la conquête de ça : pic.twitter.com/P52rr0ghBI
— Damien Rieu (@DamienRieu) November 8, 2021
Pour aller sur Mars il faut théoriquement passer trois ans dans un genre de bus à bouffer des trucs sous plastique au point de chier mauve afin de constater que c’est le désert de Gobi, l’air en moins. Ensuite, il faut passer trois ans dans le même bus pour revenir.
Cool, ça sert à rien
Autrement dit, même Marseille est physiquement plus vivable que ce plan.