Captain Harlock
Démocratie Participative
06 Juillet 2020
La presse JV est devenue une poubelle SJW. Le dernier article de Game Kult sur le jeu juif « The Last of Us 2 » est une longue crise de rage gauchiste sur le thème de la présence obligatoire de travelos et de gouines dans les jeux d’aventure.
Ce n’est plus un secret à ce stade, The Last of Us Part 2 est à l’origine des débats les plus enflammés qu’un simple jeu ait pu provoquer depuis bien longtemps. Devant la nature de plus en plus inacceptable des messages proférés à l’encontre des développeurs de Naughty Dog et des comédiens impliqués dans le jeu, le studio californien n’a cependant pas pu rester silencieux.
« Bien que nous accueillons favorablement les discussions critiques, nous condamnons toute forme de harcèlement ou de menaces à l’encontre de notre équipe et de nos acteurs. Leur sécurité est notre priorité absolue, mais nous devons tous travailler ensemble pour éliminer ce type de comportement et maintenir un discours constructif et compatissant », a réagi Naughty Dog dans un tweet publié hier.
Le fait est que, plus de deux semaines après sa sortie, The Last of Part 2 continue de rassembler et d’exciter une bonne partie de ce que la toile compte d’homophobes, de transphobes, d’antisémites et de haineux de toutes espèces. Le phénomène avait d’ailleurs commencé avant même la sortie du jeu, quand une partie du scénario avait fuité sur internet, provoquant au passage la propagation d’informations complètement fausses sur la nature de certains personnages ou sur certaines des intentions de Naughty Dog.
Alors les haineux, vous avez un problème avec les travelos qui touchent les gosses dans les écoles ?
Toujours est-il que Laura Bailey, l’actrice qui campe le rôle du personnage cristallisant sans doute le plus de ressentiment, n’a pu s’empêcher de confier son désarroi samedi en publiant un extrait du type de messages haineux qu’elle reçoit depuis la sortie du jeu, des messages prenant la forme de menaces de mort contre elle ainsi que ses proches. « Mince. Le nombre de réponses d’encouragement… j’ai toujours pensé que les bonnes personnes l’emportaient largement sur les mauvaises. Merci de m’avoir rappelé ça aujourd’hui », a-t-elle réagi plus tard sur une note plus positive.
Tu joues une gouine blanche dans un jeu vidéo dont le but explicite est de bousiller la tête des gosses qui l’achètent et tu viens ensuite te plaindre de te faire insulter par tout le monde.
Lesbianisme et mélanine
Abby elle est même pas trans, c’est les haters qui se font des films (Jean Game Kult)
Mais comme d’habitude, ces gauchistes ne sont que les chiens obéissant du juif éternel qui, toujours, se cache dans l’ombre alors qu’il regarde en riant sa victime goye avaler le poison à pleine gorgée.
Principal visage de The Last of Us Part 2 et de tout ce que le jeu représente, le directeur créatif Neil Druckmann a lui aussi décidé d’exposer une partie des messages scandaleux dont il est le destinataire. Des propos insultants, diffamants, misogynes, homophobes, transphobes et antisémites, que leurs auteurs proclament parfois sous le prétexte délirant de ne pas avoir aimé le scénario du jeu. « Vous avez le droit d’aimer ou détester le jeu et partager vos réflexions à ce sujet. Malheureusement, trop de messages que j’ai reçus sont vils, haineux et violents. En voici quelques-uns parce que je pense qu’il est important de les exposer », a posté Neil Druckmann hier.
Pourquoi me persécutes-tu, goy, je veux juste transformer ta fille en gouine séropositive !
« Merci pour tous ces incroyables mots de soutien. Sachez juste que si, en dépit de tout ça, le seigneur me donnait une seconde chance de faire ce jeu, je referais exactement la même chose », a-t-il ajouté par la suite. Il y a deux semaines, Sony Interactive Entertainment annonçait que The Last Us Part 2 s’est vendu à plus de 4 millions de copies pendant son weekend de lancement. C’est le plus gros démarrage de l’histoire des studios PlayStation, en dépit des efforts exceptionnels déployés par certains « utilisateurs » pour ternir la réputation du jeu sur Metacritic.
Quand Druckmann parle du « seigneur », il fait bien évidemment allusion à Yahvé qui, selon la religion juive, doit permettre à la race hébraïque d’établir une tyrannie mondiale sur les ruines des nations détruites par l’activisme révolutionnaire sémitique.
Renseignez-vous sur ce qu’enseigne les versets de la Torah que les juifs répètent lors du shabbat – ce que les Chrétiens appellent pudiquement « l’Ancien Testament » -, tout particulièrement le Deutéronome 15:6.
L’Eternel, ton Dieu, te bénira comme il te l’a dit, tu prêteras à beaucoup de nations, et tu n’emprunteras point; tu domineras sur beaucoup de nations, et elles ne domineront point sur toi.
Yahvé est en effet un dieu porté sur l’argent des goyim, tout comme les juifs.
Vous pouvez prendre cela pour un tissu de stupidités mais ces juifs y croient dur comme fer depuis des millénaires et ont fait de la réduction des goyim en esclavage le but final de ce qui leur sert de culte. Végéter dans le désert de Palestine n’est certainement pas leur projet final.
Druckmann inscrit très clairement ses travaux dans le cadre de la révolution juive mondiale. A chaque fois qu’un de ces hébreux est pris en flagrant délit d’empoisonnement, il faut toujours le nommer en tant que tel !