Captain Harlock
Démocratie Participative
09 avril 2019
Une femme blanche émancipée a une nouvelle fois pu réaliser son rêve : se faire sauvagement violer avant d’être assassinée par une bête sauvage à fort taux de mélanine.
Une touriste allemande a été violée et assassinée tandis qu’elle voyageait sur une île idyllique thaïlandaise.
Miriam Beelte, 26 ans, originaire de Hildesheim en Allemagne, a été retrouvée morte dimanche sur l’île de Koh Sichang, au large de la côte orientale de la Thaïlande.
La police a déclaré qu’elle souffrait de blessures sévères à la tête ainsi que d’une jambe cassée et que ses restes avaient été cachés derrière des rochers et partiellement recouverts de feuilles.
Les enquêteurs ont arrêté un local, Ronnakorn Romruen, 24 ans, et ont indiqué qu’il avait avoué avoir commis le crime alors qu’il était sous l’emprise de méthamphétamine.
La Thaïlande est une destination internationale très prisée pour les touristes et particulièrement auprès des Britanniques en dépit des avertissements des autorités au sujet des dangers liés à des vacances dans ce pays.
En seulement deux ans, entre 2016 et 2018, 60 Britanniques sont morts dans des circonstances « inexpliquées » dans ce pays, laissant supposer que les touristes étaient ciblés.
Le corps de Beelte a été découvert dimanche vers 18:00 par une personne qui marchait à travers les bois. Elle a alerté les autorités.
La police a bouclé l’île et Romruen a été arrêté peu de temps après.
Les enquêteurs pensent que Miriam Beelte était morte depuis environ cinq heures quand son corps a été retrouvé.
La police a déclaré que Miriam Beelte était en vacances dans la ville voisine de Pattaya et voyageait seule quand elle a pris le bateau du district de Siracha pour rejoindre l’île.
Là, elle a loué une moto juste avant le déjeuner quand Romruen a commencé à lui parler. Il a déclaré à la police qu’il lui avait demandé une relation sexuelle mais elle a refusé.
Il l’a alors suivie tandis qu’elle essayait de le semer.
Romruen a déclaré à la police qu’il attaché Miriam au sol et l’a ensuite violée dans les bois alors qu’elle criait à l’aide.
Il l’a ensuite tué en la frappant à plusieurs reprises au visage avec une pierre afin qu’elle n’aille pas à la police.
Oubliez l’empathie, utilisez votre bon sens. Cette traînée mérite bien évidemment son sort : on ne s’expose pas impunément aux prédateurs de ces terres d’Asie.
D’après vous, que se serait-il passé si, au lieu de déambuler selon son bon vouloir sur une île peuplée de gens marrons située à 10,000 kilomètres de l’Europe, cette Allemande avait été encadrée, avec quelques autres femmes de son pays, par 5 ou 6 mâles blancs dans le cadre d’un voyage organisé ?
Exact : rien.
Cette bête sauvage sous méthamphétamine n’aurait même pas osé lui adresser la parole.
Cet ogre thaï ne voulait pas consommer une thaïlandaise, sinon il y a belle lurette qu’il serait passé à l’acte.
Non, cela faisait des années qu’il voyait ces Blondes aller et venir en bikinis, seules ou en petits groupes, sur son territoire. Cela faisait des années qu’il attendait l’opportunité de dévorer une de ces idiotes en manque d’exotisme.
Je n’ai aucune espèce de ressentiment contre ce violeur thaïlandais, pas plus que je n’en ai contre un crocodile ou un lion : il suit sa nature.
De la même façon qu’il ne viendra à l’idée de personne de pleurer la mort d’un type qui s’amuserait à jouer à la pétanque sur une voie ferrée, il ne doit venir à l’esprit d’aucun mec de pleurer une idiote qui s’aventure sur le terrain de chasse des mâles basanés d’Afrique, d’Asie ou d’Orient.
La nature est bien faite et ces stupides traînées s’y feront discipliner.
La seule coupable est cette traînée allemande qui s’est comportée en traînée occidentale typique.
Une femme n’a aucune idée de ce qu’elle fait. Aucune. L’idée que son environnement puisse être dynamique lui échappe totalement et pour de bonnes raisons.
C’est pour ça que nous, les hommes, sommes là : parce que nous savons ce que nous faisons.
Une femme n’est pas faite pour l’extérieur mais pour l’intérieur, c’est-à-dire un espace circonscrit, libéré de tout danger. Pour nous, l’extérieur est notre espace naturel parce que nous sommes des chasseurs itinérants : nous regardons tout ce qui bouge, cherchons une menace au coin de la rue, regardons au loin pour voir si quelque chose arrive, peu importe quoi.
C’est le résultat de millions d’années d’évolution.
Une femme, en quittant le foyer, avance sans se poser de questions.
Les femmes blanches ne doivent voyager que si leurs maris doivent voyager. Auquel cas, il leur incombe de prendre toutes les précautions nécessaires à la sécurité de leurs femmes.
Ceux qui prétendent l’inverse banalisent l’inconscience naturelle des femmes Blanches et les exposent aux pires conséquences.
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