Capitaine Harlock
Démocratie Participative
21 février 2017
A présent que le Front National est en passe de rallier des millions de nouveaux électeurs, au point de dépasser la barre des 40% au deuxième tour, la vermine politique au pouvoir depuis des décennies doit recourir à une certaine forme de vérité pour terroriser le peuple.
Cette vision de la laïcité assez libertaire se heurte frontalement à celle de Marine Le Pen, et Benoît Hamon veut capitaliser sur cette opposition. Le député de Trappes a donc vivement mis en garde la présidente du Front national qui selon lui « détourne la laïcité pour en faire un instrument antimusulman ». « Si elle arrive au pouvoir, c’est l’embrasement garanti des banlieues », a-t-il ajouté.
Hamon sait, comme tous les autres politiciens du système, que le paradis multiculturel dont il parle à longueur d’années n’est qu’une escroquerie, un mirage destiné à tromper les masses. Pourquoi, s’il existait, les « banlieues » – comprendre les quartiers bougnoulisés de France – deviendraient-elles le théâtre d’un « embrasement » quelconque ?
Pourquoi pas les villages de Bourgogne ? Pourquoi ?
La réponse est évidente.
Pour gagner, ils doivent désormais recourir à la terreur. Le propos de Bilal Hamon n’est rien d’autre qu’une menace adressée aux populations : si vous vous révoltez contre l’invasion, vous aurez la guerre. La guerre raciale, ethnique, religieuse.
Hamon s’est allié aux islamistes. Il sait non seulement de quoi il parle en tant que conseiller municipal de Trappes mais encore quel camp il soutient.
Benoit Hamon en plein léchage de babouche dans une mosquée : y a plus de socialistes alors on drague les salafistes.pic.twitter.com/vatulFXEZj
— Pont d’Arcole ن (@PtdArcole) 3 février 2017