Terrorisme rouge : Quelle solution finale au problème journalistique ?

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
20 septembre 2017

 

Chacun de nos lecteurs ou presque a compris les réels tenants et aboutissants de l’enfer dans lequel nous sommes poussés progressivement. Par dessus tout, nous voyons chaque jour le mensonge être déversé par tout ce qui existent de médias, peu importe leur format.

Le mensonge est absolument constant, la propagande est absolument constante, la radicalité des extrémistes qui contrôlent actuellement le système est absolument constante. Nous subissons un terrorisme quotidien. Pas une minute ne passe sans que le terrorisme d’état ne vise chacun d’entre nous.

Ce terrorisme consiste à faire de chaque Blanc, par défaut, un démon. Et pour échapper à cette malédiction décrétée par ce système, chaque Blanc doit abdiquer ce qu’il est. Pire encore, il doit entrer en guerre ouverte contre ce qu’il est. En somme, les seuls Blancs encore tolérés sont ceux qui acceptent, soutiennent et participent à leur propre destruction.

Et ce pour la création d’un monde paradisiaque que nos ennemis veulent édifier sur nos cadavres.

Cette terreur est notre lot quotidien car l’ennemi sait que pour nous anéantir, il ne peut le faire qu’en obtenant notre consentement. C’est l’objet même de cette guerre psychologique menée contre les Blancs, les enfants de souche européenne.

Mais toute la puissance de l’ennemi repose sur une illusion et cette illusion est le théâtre d’ombres qu’il a patiemment édifié de telle sorte que personne ne songe même à l’idée de le défier.

Cette illusion, c’est la bête médiatique représentée par 35,000 plumitifs décharnés qui paraîssent si fantastiques à des dizaines de millions de personnes. Cette bête qui vocifère si formidablement qu’elle soumet des masses d’individus.

Les masses n’ont pas de volonté propre et il est aisé pour ce monstre de les tenir en respect. Il lui suffit de terroriser ses opposants en les diabolisant, ce qui aboutit à l’isolement des foyers d’opposition.

Mais paradoxalement, l’essentiel de ces 35,000 propagandistes agit par conformisme et, pour certains, par peur. Seule, une minorité de ces 35,000 terroristes sont véritablement doués d’une volonté propre. Et ce sont eux qui édictent le standard or du dogme idéologique dominant.

De quoi résulte la réalité suivante : seule une minorité déterminée est en mesure de briser la volonté de cette bête en ciblant sa tête avec détermination, sans jamais faiblir. Répété inlassablement, cet assaut viendra à bout de la volonté de l’ensemble en instillant la terreur dans son cœur.

C’est pourquoi nous créons une SA numérique en charge de répondre à la terreur rouge.

Les gens ne comprennent pas ce que sont les médias ou les journalistes. Leur fonction est exclusivement religieuse et n’a rien à voir, ni de prêt ni de loin, avec une quelconque notion « d’information ». Leur tâche consiste à interpréter la réalité selon leur vision du monde et à en faire la vision dominante. Le rôle de ces journalistes est celui de prêtres : ils décrètent le bien et le mal, le pur et l’impur, le licite de l’illicite et s’assurent ensuite de détruire socialement les contrevenants.

C’est pourquoi j’ai dit que nos ennemis étaient, par ordre de priorité :

  1. Les journalistes
  2. Les magistrats
  3. Les professeurs

Les journalistes car c’est l’essentiel de cette prêtraille communiste. Les magistrats car c’est le bras séculier de ces terroristes. Les professeurs enfin car ils détruisent spirituellement le peuple à la racine et recrutent, pour le futur, de nouveaux terroristes.

Les politiciens, même les plus ignobles, sont absolument inoffensifs. Ils n’ont pas l’autorité. Ils ne peuvent agir que si leurs actions sont conformes à ce qu’édicte cette théocratie. Si d’aventure un membre éprouvé de la caste politique contrevient, même un instant, à la religion en place, il est vitrifié sur place.

Il n’y a aucun chèque en blanc délivré a priori.

A plus forte raison quand il s’agit de gens ordinaires. Ce que ces hyènes veulent alors, c’est la soumission la plus humiliante possible de telle sorte qu’elle dissuade les autres de contester leur autorité. L’affaire du bar de Lyon l’illustre par l’absurde.

Ce bar est fini et cette soumission va simplement ajouter l’humiliation à la terreur.

Contre le terrorisme, il n’y a que l’anti-terrorisme. Contre les hyènes, seuls des lions peuvent vaincre. Et ce que nous avons d’ailleurs démontré à cette occasion. Peu importe donc que ces deux gérants aient été menacés physiquement ainsi que leur bar, à aucun moment la vermine journalistique rouge n’a jugé utile de dénoncer ces agissements.

En revanche, une fois confrontée à une réponse, c’est un hurlement de douleur sans fin.

Ces chiens sont les mêmes anarchistes qui exigent, à tout instant, que la répression étatique écrase leurs opposants. Ils appellent à « abattre l’état policier » pour mieux exiger de lui, en guise de trêve, une chasse impitoyable aux opposants politiques.

Les ressorts utilisés par ces terroristes sont toujours les mêmes : la menace et le chantage. Quiconque y cède, doit s’attendre à voir de nouvelles exigences lui être soumises.

Pour y répondre, il suffit de briser la peur ambiante dont ils se nourrissent. Ils ne peuvent agir que contre des adversaires pris isolément, c’est pourquoi la masse critique de leurs opposants est ce qu’ils tentent de maîtriser. Pour briser l’isolement, il faut les isoler. Une volonté plus grande doit supprimer celle des quelques milliers d’agitateurs qui sévissent dans la presse.

Il n’y a pas d’autres méthodes.

Ces bêtes enragées n’ont pas la moindre notion de moralité. Ce sont des dépravés doublés de sociopathes. Ils sont à vomir.

Nous n’avons à faire qu’à 35,000 plumitifs néo-communistes de toutes les variations possibles dont seuls 10 à 20% sont de véritables activistes.

Leurs cris ne sont qu’un effet d’audition : bouchez-vous les oreilles et vous découvrirez que cette race plaintive peut être mise à terre sans effort, simplement par la démonstration que vous entendez leur faire face, les contre-attaquer et les vaincre.

Cette seule idée suffit à les briser psychologiquement. Ils ne comprennent même pas qu’une opposition soit possible. Cette vision les laisse comme paralysés.

Ces extrémistes sont engagés dans la destruction de notre culture, de tout ce que nous ont légué nos ancêtres. Quiconque redoute le cri d’une journaliste lesbienne et accepte d’hypothéquer une civilisation entière pour l’apaiser est déjà condamné à disparaître.

Ces terroristes précipitent notre génération et celles qui suivent dans un abîme infernal. Ils saccagent tout ce qui est encore beau et bon. Et nous, qui avons eu pour certains la chance d’avoir quelque chose pour nous inspirer dans notre jeunesse à tendre vers quelque chose de grand, en sommes privés aujourd’hui parce que des petites salopes bourgeoises veulent être bien sous tous rapports vis-à-vis des catins qui leur servent d’amies.

Certains se rappelleront que l’attaque contre notre génération a notamment commencé avec la censure de Saint Seiya et de Dragon Ball par le CSA.

Nous nous sommes retrouvés avec des épisodes brutalement coupés au point que cela en devenait grotesque. Il s’agissait déjà de faire de nous des dégénérés amorphes et non violents, rétifs à toute notion de tragique et de virilité.

C’était déjà l’assaut des femelles contre la nouvelle génération de jeunes mâles Blancs.

Leur nihilisme est un nihilisme qui repose sur un besoin de confort. Logiquement, cette pourriture se concentre dans les grandes villes où elle accumule du fric en ruinant la vie des autres, à l’instar de la prostituée dont avons parlé récemment.

Le seul archétype de virilité qui est désormais offerte aux Blancs est celui des hordes qui veulent le détruire, notamment la pseudo-virilité du criminel nègre. La seule façon pour le jeune Blanc de pouvoir être un homme consiste à singer, littéralement, les cafres.

Nous qui nous sommes tout faits voler ou presque par le fléau des Baby Boomers, des profs de gauche et de leurs gosses prenant la relève, le confort n’est pas même une idée qui nous est familière. Nous ne pouvons pas répondre à l’injustice actuelle par un accommodement. On ne peut tout simplement pas respirer le même air que ces rats.

Quand on a tout pris à quelqu’un, il ne lui reste que la révolte.

Pour gagner contre le terrorisme institutionnel, il faut ruiner la vie de ceux qui en vivent.

Ils doivent boire le calice qu’ils nous ont forcé et continuent de forcer à boire.

La destruction de l’ennemi doit devenir, pour toute notre génération et encore plus pour la nouvelle, celle des adolescents actuels, une véritable foi religieuse.

Nous sommes ceux qui venons les hanter.