Le Libre Panzer
Démocratie Participative
06 août 2018
Jour de joie ! La bête métèque Tchakarian au service de la terreur judéo-bolchevique a finalement crevé pour rejoindre les flammes de l’Enfer.
Arsène Tchakarian est mort samedi 4 août à l’âge de 101 ans. Il était le dernier survivant du groupe Manouchian, ces résistants connus notamment pour avoir été la cible de l’affiche rouge, une campagne de propagande nazie placardée dans toute la France.
Dans le Paris occupé de 1942, un ouvrier-poète, Missak Manouchian décide d’entrer en résistance. Il recrute alors des ouvriers communistes, étrangers pour la plupart, venus de Pologne, de Hongrie, d’Italie ou d’Arménie. Parmi eux, Arsène Tchakarian. A l’époque il est tailleur sur la rive gauche.
« C’était mai 1942, a raconté Arsène Tchakarian à François Busnel, le 28 mai 2012 sur France Inter. J’avais un atelier rue Malebranche dans le 5e [arrondissement de Paris]. Les tracts étaient un peu chez moi. Missak venait, prenait, s’en allait. Et il me dit un jour : ‘on distribue des tracts mais on nous demande si on veut combattre les armes à la main’. J’ai dit : ‘les armes à la main ? Y’a pas d’armes…’ Mais il dit : ‘s’il y a, si on a des armes, est-ce que tu seras prêt ?’ J’ai dit : ‘Oui ! Bien sûr ! ‘ »
Ce passage à la lutte armée surviendra quelques mois plus tard : attaques de trains, sabotages… Jusqu’à ce jour de février 1944 où le groupe est arrêté. 23 de ses membres sont fusillés. Arsène Tchakarian en réchappe. Caché par un policier, il se réfugie à Bordeaux et continue le combat jusqu’à la Libération, et bien au-delà. Il transformera son pavillon de Vitry-sur-Seine en centre d’archives et témoignera jusqu’à la fin de sa vie dans les écoles. Il est décédé samedi à l’âge de 101 ans.
Ce terroriste rouge incarnait parfaitement la haine de l’Occident, la soif de sang génocidaire au service du sémitisme bolchevique qui frappa la France de 1942 à 1944 avant d’infiltrer l’appareil d’état français.
La juiverie est bien sûr éplorée.
Avec la mort, à 102 ans, d’Arsène Tchakarian, disparaît le dernier survivant du groupe Manouchian dont 22 membres furent exécutés par les nazis, en 1944, au Mont-Valérien. « Il ne faut pas croire que nous n’avions pas peur», disait ce grand Français, rescapé du génocide arménien. pic.twitter.com/nP0dxJV9DS
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) 5 août 2018
Et sans surprise, la pire lie marxiste communie avec la « France Libre » de Goldnadel.
?Dernier survivant du célèbre « groupe #Manouchian » qui avait résisté à l’occupant nazi, Arsène Tchakarian est décédé samedi à l’âge de 101 ans. pic.twitter.com/aM53be0V7A
— La France Libre TV (@lafrancelibretv) 6 août 2018
Arsène Tchakarian vient de mourir. Une grande figure de la Résistance antifasciste. Le dernier survivant des Francs Tireurs Partisans.
Aujourd’hui, le gouvernement saccage les conquêtes sociales arrachées par la Résistance. Et organise le retour au pouvoir de l’extrême droite. pic.twitter.com/4quEC74D0A— Nantes Révoltée (@Nantes_Revoltee) 5 août 2018
Ce groupe « Manouchian » était en réalité un groupe essentiellement juif. Comme à Munich en 1919, les terroristes juifs attendaient l’effondrement complet de l’autorité en place pour mener la révolution bolchevique en France avec l’appui de Moscou, une fois la Wehrmacht repliée en Allemagne.
Les troupes allemandes d’occupation dans cette équation étaient la seule force qui faisait encore barrage à la conquête de l’Europe tant attendue par les juifs depuis 1918 et que le National-Socialisme avait si efficacement endigué.
Mais à aucun moment la Wehrmacht ne représentait la cible principale : la conquête de l’Etat Français était la seule priorité, la « libération » le moyen d’y parvenir.
Le terrorisme armé de ces bandes ne devait s’arrêter en 1944 que pour mieux muter en terrorisme d’état. Les FTP Main d’Oeuvre Immigrée, branche judéo-terroriste spécifiquement chargée de recruter chez les métèques, avaient organisé le Mouvement National Contre le Racisme dès 1942 afin de placer sous l’emprise juive le plus d’immigrés possible.
Ces masses, dûment encadrées par des commissaires politiques juifs, devaient être lancées dans la guerre civile consécutive au retrait allemand. Pour les juifs, déjà à l’époque, les métèques étaient les auxiliaires nécessaires à la guerre raciale qu’ils planifiaient en France.
Animé notamment par le juif polonais Charles Palant ou le juif polonais Charles Lederman, le MNCR accouchera finalement du MRAP en 1949, en étroite concertation avec les juifs de Moscou.
Objectif : organiser la révolution dans l’empire colonial français en alimentant la haine anti-occidentale au coeur même de la France et s’assurer que cette révolution raciale des peuples de couleur accouche d’un mouvement de décolonisation acquis aux forces judéo-communistes.
Le MRAP, aux mains des juifs, se déchaîna pendant des décennies pour mettre en place l’arsenal légal antiraciste permettant de faire de l’Etat Français l’instrument de la guerre contre la race blanche en France. Ce qui, avec la promulgation de la Charte antiraciste de l’ONU sur pression de l’Union Soviétique, devint réalité en 1972 avec la fameuse pseudo loi « Pleven », en réalité juive de bout en bout.