Captain Harlock
Démocratie Participative
22 mars 2019
La juiverie internationale pensait pouvoir capitaliser sur la haine du Blanc après ce qu’il s’est passé à Christchurch.
Elle a donc agressivement démarché les mahométans pour appeler à une réconciliation intersémitique qui serait rendue possible par un but commun : l’urgence de l’éradication des Blancs.
L’Anti-Defamation League, l’équivalent de la LICRA juive américaine, a indiqué aux musulmans qu’il fallait commencer « à discuter ».
« L’horreur que nous avons vu la semaine dernière en Nouvelle-Zélande peut être difficile à aborder avec des enfants, mais il est important de parler du racisme anti-musulmans et ce que cela veut dire d’être un allié. Notre équipe ADL Education a rassemblé des ressources pour aider à débuter la discussion. »
The horror we saw last week in New Zealand can be difficult to discuss with children, but it’s important to talk about anti-Muslim bigotry and what it means to be an ally. Our @ADL_Education team has compiled resources to help start the conversation: https://t.co/CdsQwXb463
— ADL (@ADL) 18 mars 2019
Les juifs, occupés à exciter la haine de l’homme blanc dans les pays blancs, croyaient que leurs amis sémites musulmans en oublieraient leurs congénères arabes en Palestine.
#Shocking Video, #Israeli soldiers invaded a #Palestinian school in #Hebron to arrest 10 years old child. pic.twitter.com/WYjnVL0T0u
— Shehab News (@ShehabAgencyEn) 21 mars 2019
Où les juifs les tirent comme des lapins.
Mais les mahométans, aussi désireux soient-ils de tuer les Blancs et de s’emparer de leur pays et de leurs femmes, n’en sont pas moins déterminés à rayer Israël de la carte.
Et à gazer les 6 millions de juifs qui y vivent.
En fait, par un mécanisme assez curieux, les événements Christchurch n’ont fait qu’exciter encore davantage l’antisionisme islamique.
Un rappel, une évidence : le #sionisme et son bras opérationnel le #Mossad, sont des soutiens indéfectible aux extrêmes droites islamophobes à travers le monde#christchurch
— malek touati (@malektouati) 15 mars 2019
Les bougnoules réagissent en disant, « Ok, merci pour tes condoléances juif, mais pas si vite, nous avons toujours un problème à régler ».
C’est-à-dire la colonie juive de Palestine.
Ilhan Omar, la représentante musulmane du Parti Démocrate, en a donc profité pour reprendre sa campagne antisioniste, première phase de l’épuration antijuive du parti par les gens marrons sous l’influence des djihadistes.
Après avoir récemment évoqué la seule existence du lobby sioniste aux USA, les attaques du système juif contre « l’antisémitisme » de cette muslima de Somalie ont eu pour effet l’exact inverse de celui escompté : une véritable mobilisation des gens colorés en sa faveur.
En quelques semaines, il est devenu virtuellement impossible pour les grandes dirigeants du Parti Démocrate de défendre ouvertement l’AIPAC, le lobby juif pro-israélien américain qui était jusque-là invincible.
Quand je dis invincible, c’est vraiment invincible.
C’en était au point où Nancy Pelosi, la Démocrate qui dirige la majorité de gauche à la Chambre des Représentants, affirmait encore en 2018 lors d’un congrès de l’AIPAC que si les USA disparaissaient, ce n’était pas très important dans la mesure où Israël existerait toujours.
En 2019, tout ça s’est évaporé comme neige au soleil.
Parce que les juifs ont clashé une femme marron de confession musulmane venant d’un pays attaqué par l’Armée US.
Elle coche toutes les cases de l’échelle victimaire juive. A ce titre, elle est totalement intouchable aux yeux de la moitié marron, gauchiste et féministe du pays.
Les juifs se retrouvent donc, une nouvelle fois, avec un golem hors de contrôle.
Ilhan Omar en a profité pour dire que, dorénavant, les gens marrons bosseraient pour leur propre compte.
D’innombrables figures du Parti Démocrate suspendent en urgence leur participation au prochain meeting de l’AIPAC, de peur de se faire lyncher par la base marron du parti.
& the list of 2020 presidential candidates who have made the decision to #SkipAIPAC continues to grow. Thank you for your leadership here @PeteButtigieg, @ewarren, @BernieSanders, @KamalaHarris, @JulianCastro, @BetoORourke, @JayInslee… who is next? pic.twitter.com/Bol61vv8Bc
— MoveOn (@MoveOn) 21 mars 2019
« Les Démocrates candidats à l’investiture de 2020 devant se rendre à la conférence pro-Israël de l’AIPAC tombent comme des mouches »
2020 Democrats are dropping like flies from pro-Israel AIPAC conference https://t.co/EOWsnlf8Cu
— Waleed Shahid (@_waleedshahid) 21 mars 2019
Trump, pendant ce temps-là, fait l’inverse.
Il soutient Netanyahou pour le faire réélire. Ne me demandez pas pourquoi, je n’en sais rien.
Peut-être parce que sa fille est une idiote mariée au juif Kushner.
Ou qu’il s’est secrètement converti. Je ne sais pas.
En tout cas, il fait tout pour aider Bibi.
Y compris aux frais des autres.
Il vient de donner le Golan aux juifs pour Pourim.
#Trump appelle à reconnaître la souveraineté d’#Israel sur le Golan, perdu par la #Syrie en 1967. Victoire diplomatique énorme pour #Israël, victoire politique pour #Netanyahu à 3 semaines des élections.
Le Golan est un lieu stratégique dans la région. https://t.co/fbbgy8j6TG— Julien Bahloul (@julienbahloul) 21 mars 2019
Pourim, au cas vous l’ignoreriez, est le jour où les juifs célèbrent la mise à mort de centaines de milliers de Perses lors de la première grande révolution bolchevique de l’histoire.
Pour lutter contre l’antisémisme, donc.
En tout cas, les choses s’accélèrent et les juifs ont une nouvelle fois réussi à faire l’unanimité contre eux.
Franchement, si même avec 50 mohammed explosés à l’arme automatique par un nationaliste blanc les bougnoules refusent catégoriquement de faire la paix avec les yids, c’est vraiment, vraiment foutu pour eux.