Captain Harlock
Démocratie Participative
20 novembre 2020
Cet homme veut vous empêcher de parler librement
Charlisme oblige, le gros Moretti – qui a décidé de transformer le ministère de la Justice en « ministère de l’Antiracisme » – est en passe de devenir face à l’histoire le fossoyeur de ce qu’il pouvait rester de la liberté d’expression en France.
Pour le compte de la juiverie organisée.
Le Monde :
Cinq mois après l’échec de la loi Avia sur la haine en ligne, sèchement retoquée par le Conseil constitutionnel, le garde des sceaux, Eric Dupond-Moretti, a soumis mercredi 18 novembre au Conseil d’Etat une nouvelle proposition destinée à réprimer plus efficacement ce fléau.
Ce texte a été élaboré à l’issue d’une trentaine de rencontres menées par le ministre de la justice notamment avec des magistrats, avocats, journalistes ou policiers à la demande du président de la République après l’assassinat de Samuel Paty, le 16 octobre.
Et du CRIF, ce qu’a curieusement oublié de préciser le journal juif Le Monde.
Les juifs n’ont toujours pas digéré l’échec du projet de loi terroriste « Taieb/Avia ».
L’idée est de pouvoir réprimer plus rapidement la diffusion dans l’espace public, notamment sur les réseaux sociaux, de messages de haine. Les auteurs des faits les plus graves devraient ainsi pouvoir être renvoyés en comparution immédiate devant un tribunal correctionnel.
Avec cette proposition, M. Dupond-Moretti cherche à éviter deux écueils dans ce domaine ultrasensible qui touche à la liberté d’expression. Laisser à des entreprises privées (les opérateurs de plate-forme) le pouvoir de décider quels sont les contenus licites ou non, ce qui était le risque de la loi Avia. Toucher à la loi de 1881 sur la liberté de la presse pour en sortir les infractions d’incitation à la haine, au racisme ou à l’antisémitisme, comme le recommandent Catherine Champrenault, procureure générale de Paris, ou certaines associations telle la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (Licra), risquait de déstabiliser un édifice protecteur de droits fondamentaux.
« Le garde des sceaux a souhaité préserver l’intégrité du travail des journalistes », explique-t-on Place Vendôme. Officiellement donc, on ne touche pas à la loi de 1881 et à son article 24 qui vise notamment à réprimer les personnes qui auront « provoqué à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ».
Techniquement, c’est par un ajout au code de procédure pénale, que les infractions listées à l’article 24 pourront faire l’objet d’une procédure de comparution immédiate sauf lorsque l’auteur dépend hiérarchiquement d’un « directeur de publication ». Autrement dit, les médias papiers ou en lignes, audiovisuels ou sur les réseaux sociaux, gratuits ou payants continuent de relever de la procédure pénale prévue par la loi de 1881.
L’objectif est de couper court au sentiment d’impunité que certains diffuseurs de haine peuvent avoir en raison des délais de procédure. Actuellement, les personnes poursuivies pour ce type de délit devant la 17e chambre correctionnelle de Paris sont convoquées pour des audiences fin 2021 ou début 2022. « Il s’agira, pour les faits plus graves, de recourir à la comparution immédiate pour mettre un coup d’arrêt sans pour autant alourdir les peines encourues », explique-t-on à la chancellerie. La peine maximale est d’un an de prison et 45 000 euros d’amende. Selon le ministère de la justice, 145 procédures ont été poursuivies devant les tribunaux correctionnels en 2019 pour des délits de l’article 24 de la loi de 1881.
Si le texte soumis au Conseil d’Etat dans le cadre d’une saisine rectificative obtient son aval, il sera intégré au projet de loi « confortant les principes républicains ». Parallèlement, le ministère de la justicie annonce que le parquet de Paris verra ses moyens renforcés début 2021 pour constituer une équipe spécialisée sur ces infractions en ligne, en relation avec la plate-forme de signalement Pharos.
En résumé, le pouvoir veut conforter l’impunité de la caste dominante à laquelle appartiennent les quelques 37,000 journalistes chargés de la propagande d’état en France dont un nombre considérable sont des juifs.
Si Moretti et le CRIF parviennent à leurs fins, ces journalistes bénéficieront toujours de la loi de 1881 comme aujourd’hui en bénéficient quelques 67 millions de citoyens français.
En revanche, sur simple accusation des juifs tous les autres citoyens pourront être traînés en urgence devant un tribunal révolutionnaire et jugés dans la journée pour délit d’opinion. Légalement, exprimer une opinion interdite par les juifs vaudra le même traitement que celui réservé aux trafiquants de drogue, aux proxénètes ou aux agresseurs sexuels. A ce détail près que les suspects de déviation idéologique seront beaucoup plus durement réprimés que les truands.
Le mythe de l’égalité devant la loi est en train de fondre comme neige au soleil. La caste qui contrôle la France revendique désormais haut et fort ses privilèges tout comme son droit d’exercer totalement sa tyrannie sur les masses en recourant au sabordage de toute forme de légalité.
Les juifs sont les ennemis de la liberté.
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