Captain Harlock
Démocratie Participative
13 décembre 2021
Toujours pas de groupe antifa dissout après 30 ans de violences de rue sur tout le territoire français.
Pourquoi donc, Moussa ?
Une décision qui serait amplement méritée pour l’ensemble de leur œuvre. Gérald Darmanin a annoncé ce dimanche avoir engagé une procédure de dissolution des Zouaves, sans toutefois avancer plus de justifications. Le ministre de l’Intérieur était questionné, dans l’émission le Grand Jury, codiffusée par RTL, LCI et Le Figaro, sur ce groupuscule d’extrême droite soupçonné d’être impliqué dans les violences commises le 5 décembre lors du meeting d’Eric Zemmour à Villepinte.
Des militants de SOS Racisme qui avaient exhibé des tee-shirts «Non au racisme» dans les travées du rassemblement avaient été violemment agressés par des soutiens du polémiste, frappés à coups de poing et de chaises.
Marc de Cacqueray-Valmenier, le leader présumé des Zouaves, avait notamment été filmé au moment de l’agression. Par la suite, une cinquantaine de personnes, identifiées par les forces de l’ordre comme appartenant aux Zouaves, ont pris la pose à la sortie du meeting pour une photo, en scandant «On est chez nous».
Le lendemain du meeting, le groupuscule avait d’ailleurs revendiqué l’attaque dans un clip diffusé sur Telegram. Une enquête avait en parallèle été ouverte par le parquet de Bobigny au sujet des violences qui ont été commises pendant le rassemblement.
Les Zouaves sont un petit groupe d’hommes, issus du Groupe union défense (GUD), mouvement d’étudiants d’extrême droite connu pour ses actions violentes dans les années 70 et d’une frange radicale de l’Action française. Ils s’étaient déjà démarqués par des actions violentes ces dernières années.
Le groupuscule a notamment été mis en cause dans des violences commises lors des manifestations des «gilets jaunes» le 1er décembre 2018 à Paris, ou encore dans l’attaque d’un bar de la mouvance antifasciste dans le quartier de Ménilmontant en juin 2020. Pour cette dernière action, cinq membres des Zouaves Paris ont été jugés en novembre. Le parquet avait requis six et dix mois de prison ferme contre deux d’entre eux et trois autres avaient été relaxés. La décision du tribunal est attendue en janvier.
Quand les antifas ne parviennent pas à détruire un groupe par la terreur, ils envoient une requête à leur ministère de tutelle via la presse juive.
Généralement, les demandes sont traitées en 48 heures.
Cependant, comme le rappelle Gérald Darmanin, la dissolution du groupuscule n’est pas encore actée. «Nous avons enclenché cette procédure, il y aura un contradictoire comme à chaque fois que j’ai fait cela, a expliqué le ministre de l’Intérieur. Si le contradictoire nous donne raison, en tout cas si nous pensons que nous avons raison, nous irons dissoudre ce groupement en Conseil des ministres et le Conseil d’Etat, une nouvelle fois je l’espère, nous donnera raison.» Au vu des nombreuses preuves de la violence du collectif, difficile d’imaginer une autre issue que la dissolution.
Comme souvent dit par le passé, le régime a mis un terme à la liberté d’association, tout comme à la liberté d’expression. Ce ne sont que des formules écrites dans la constitution, par usage. Un peu comme les calvaires ici et là, dans la campagne : c’est joli, mais personne ne s’en sert plus pour prier. Votre organisation peut être légale, respecter toutes les lois en vigueur, elle sera quand même dissoute quand les juifs l’auront décidé. C’est-à-dire, tout le temps, dès lors que vous ne leur plaisez pas.
Aucune organisation nationaliste ou identitaire ne sera plus tolérée sur le territoire français.
Le gouvernement d’occupation administre désormais le pays par la terreur, terreur justifiée par l’état de siège sanitaire. Cet état de siège ne sera jamais suspendu.
Il n’est plus nécessaire de créer des associations en préfecture, ni de déclarer quoi que ce soit. Dans ce système multiracial bolchevisé, c’est un mode d’organisation qui appartient au passé.