Captain Harlock
Démocratie Participative
18 juin 2019
Le dernier clip de Taylor Swift n’a vraiment rien à envier aux productions soviétiques de la grande époque, à cette exception près que l’URSS n’a jamais adopté l’homo-traveloïsme comme point programmatique cardinal, à la différence de l’Occident trotskiste.
Tout y est.
Sur ce Le Figaro, journal officiel de la droite, nous parle de ce clip.
Plus exactement, la traînée Léa Dubois a été invitée par Le Figaro à nous en parler.
En s’adressant aux «haters» qui pullulent sur le Net comme dans les rues, Taylor Swift enregistre là son morceau le plus politique. «Le soleil brille sur la parade qui défile, mais tu préfères rester bloqué au Moyen-Âge. Faire cette pancarte a dû te prendre toute la nuit», raille-t-elle avant de poursuivre, plus explicite: «Tu devrais juste t’asseoir un peu et ensuite tenter de restaurer la paix. Et contrôler tes pulsions pour ne plus crier sur toutes les personnes que tu détestes, car lancer des piques n’a jamais rendu personne moins gay». À la fin de la vidéo, l’audience est invitée à s’engager pour que «les lois traitent de manière égale tous les citoyens», en signant la pétition de Taylor Swift en faveur de l’Equality Act sur le site Change.org. Jusqu’ici, le texte a recueilli près de 200.000 signataires.
Manichéisme juif oblige, les esprits médiévaux – opposés au (((progrès))) donc – sont des rednecks blancs, consanguins et haineux.
Les électeurs de Trump, si vous préférez.
Et le camp du bien est composée de traînées, de fiottes et de travelos marron.
Si seulement la propagande juive pouvait être originale, pour changer.
Mais non.
Interrogée par Paris Match le 25 mai, Taylor Swift exprime son besoin récent de sensibiliser la jeunesse à la vie politique. En octobre dernier, la chanteuse avait déclaré soutenir deux Démocrates, l’un pour sa candidature au Sénat, l’autre à la Chambre des Représentants, inspirant près de 170.000 personnes à aller voter et s’attirant les foudres de nombreux Républicains, dont le Président Trump lui-même. Alors que l’Equality Act fait débat aux États-Unis, l’icône pop a partagé son soutien à ce projet de loi visant à protéger la population de toute discrimination basée sur la sexualité et l’identité de genre.
«J’ai décidé de lancer ce mois des Fiertés en écrivant une lettre à l’un de mes sénateurs pour lui expliquer à quel point je pense qu’il faut que l’Equality Act soit voté. Je vous encourage vivement à écrire à votre tour à vos sénateurs» a-t-elle partagé à ses millions de followers début juin. «Les politiciens ont besoin de votes pour garder leur travail. Les votes viennent du peuple. […] Le fait que, légalement, des gens puissent être complètement à la merci de la haine et de la bigoterie des autres est infect et inacceptable.» Le 14 juin, elle s’est produite sur la scène du Stonewall pour célébrer les 50 ans des émeutes qui ont entraîné la première Marche des Fiertés à New York, en 1970.
Bien loin de la noirceur de son précédent opus, Reputation, l’artiste a choisi l’amour comme «thème» pour Lover, dont la campagne de promotion a commencé à la fin du mois d’avril avec un premier single, ME!, dans lequel elle encourage son public à s’aimer tel qu’il est. Composé de dix-huit chansons, ce septième album sortira le 23 août prochain dans les bacs.
Le droit des anus à étaler leur VIH sur la place publique définit désormais le progrès aux USA comme dans leurs provinces d’Europe. Pas l’emploi, la sécurité ou la santé publique.
Ce clip s’inscrit dans l’orthodoxie idéologique judéo-hollywoodienne la plus dure, ce que masque partiellement l’esthétique « pop » avec ses couleurs primaires et son caractère onirique.
En quelques années, les juifs peuvent transformer une jolie Blanche chantant à la guitare en monstre LGBT appelant à la promotion du SIDA, du sexe anal et des piqûres de testostérones pour les gamines.
C’est la magie noire rabbinique à l’oeuvre.
Cette production est le dernier crachat de la bourgeoisie cosmopolite à la face du prolétariat blanc américain. Et comme de juste, c’est une traînée soucieuse de montrer son intégration dans la pyramide sociale qui en fait des tonnes.
Le juif sait mobiliser ses créatures pour les besoins de sa politique.
Trump fait essentiellement campagne sur le thème de la défense des emplois et du niveau de vie de la classe moyenne américaine. A contrario, l’oligarchie globaliste qui contrôle Hollywood, la Silicon Valley et toutes les grandes métropoles cosmopolites US milite pour l’importation perpétuelle de larbins du tiers-monde et pour la délocalisation massive des industries hors des Etats-Unis.
Le tour de force des juifs est d’avoir réussi à représenter l’oppression bourgeoisie comme une émancipation sociale et culturelle.
Les juifs comprennent parfaitement la puissance des leviers sexuels et raciaux et savent les utiliser à leur profit en les transformant en outils de guerre civile contre une société qu’ils veulent mettre en couple réglée et saigner à blanc.
La grande révolution politique en Occident, c’est la transformation de la gauche, sous la direction de la finance juive, en une coalition dont le but est l’éradication de l’homme blanc.
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