Tava Colo, doyenne des Français, est morte

Captain Harlock
Démocratie Participative
03 mai 2021

 

Nous sommes lundi et en ce début de semaine, Marine Le Pen et le Rassemblement National sont en deuil : la doyenne des Fronssais est décédée à Mayotte.

Tava Colo, une mahoraise musulmane de « 118 ans », avait puissamment contribué à repeupler la Gaule.

Véritable vitrine de l’Or Bleu, Mayotte est aujourd’hui à l’avant-garde de la reconquête démographique : 10,000 naissances par an.

Il faut dire que les musulmanes ne chôment pas.

Ces derniers jours, les Françaises sont hors de contrôle.

Elles pondent, pondent, pondent encore.

Cet engagement militant pour la natalité fronssaise a une petite contrepartie : le lointain gaz du Mozambique.

Les oligarques de Total tout comme la clique macroniste entendent s’enrichir immensément au Mozambique tandis que Marine Le Pen aimerait bien faire de Mayotte une pompe à fric RN.

Mais Marine Le Pen n’est pas très forte en géographie : le caillou islamique est très éloigné du lieu d’extraction. Il faut donc imaginer toute une série de trucs alambiqués pour essayer de détourner une faible partie du fric.

Toutefois, l’insurrection djihadiste intensifie toujours plus la pression sur le Mozambique lui-même, au point de dégager Total de la région.

Comme d’habitude, les politiciens français, tous bords associés, confondent comptes privés et publics : vous essuyez les pertes, ils ramassent les bénéfices. Et vous récoltez des nègres. Toujours plus de nègres, musulmans de préférence.

La construction du château en Espagne du Mozambique venant d’être repoussé aux calendes grecques, la déjà improbable « base arrière » mahoraise n’est pas à la veille de se matérialiser. Le pognon sur lequel lorgnait Marine Le Pen s’est déjà évaporé, contrairement aux nègres mahométans de Mayotte qui ajouteront pas moins de 100,000 nouveaux négrillons musulmans pour la seule période 2020-2030.

Pour soigner ces futurs Français qui ne manqueront pas de prendre l’avion à destination de l’Auvergne ou de l’Anjou une fois l’âge adulte atteint, l’Etat ne regarde pas à la dépense. Il y a deux ans, un hôpital flambant neuf a été construit sur ce caillou béni par Allah pour la modique somme de 20 millions d’euros pour un coût annuel de 7 millions d’euros, soit 100 millions sur dix ans !

Quand on aime on compte pas.

Inversement, quand on aime pas, on compte.

Pendant que le fric se déverse par milliards d’euros chaque année sur les colonies des DOMTOM, la France périphérique, peuplée de sales Blancs xénophobes, voient les déserts médicaux s’étendre inexorablement.

« Le Zambèze avant la Corrèze ».

Littéralement.

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