Captain Harlock
Démocratie Participative
07 juin 2018
« Karima, savais-tu qu’on me surnomme la lame de Damas dans toutes les bonnes madrassas ? »
Dans l’affaire Ramadan, nous devons regarder à deux fois le dossier pour comprendre de quoi il s’agit véritablement. Hormis le fait que ce type ait passé près de 20 ans à exciter les musulmans contre les Blancs, les causes de sa chute n’ont rien à voir avec ça.
Tout d’abord, ce sont bel et bien les juifs qui ont décidé de le détruire en raison de la montée en puissance considérable des islamistes à gauche au détriment de la juiverie qui contrôlait historiquement le Parti Socialiste.
Ramadan/DSK : indignation à géométrie variable pour Manuel Valls https://t.co/Sqah8lllxz pic.twitter.com/hgJE6Lzo4X
— Arrêt sur Images (@arretsurimages) 7 novembre 2017
Ensuite, c’est l’angle d’attaque qui est tout aussi révélateur.
Marianne :
France Inter s’est procuré le procès verbal de l’interrogatoire du prédicateur par les juges d’instruction. Tariq Ramadan y admet pour la première fois avoir eu des relations extraconjugales avec cinq femmes. Mais se défend toujours de les avoir contraintes.« Ce sont les femmes qui viennent me chercher », a-t-il osé…
La femme tentatrice, à l’origine du péché : cette vision est omniprésente dans toutes les religions monothéistes, dont l’islam. Et c’est l’explication choisie par Tariq Ramadan pour justifier le fait d’avoir entretenu des relations sexuelles avec au moins cinq femmes, hors mariage, bien loin des principes rigoristes qu’il a l’habitude de défendre en public. France Inter s’est procuré le procès-verbal des interrogatoires de Tariq Ramadan devant les juges d’instruction. Le prédicateur, mis en examen, fait l’objet de multiples plaintes pour viol, et est incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis. Lors de sa garde à vue initiale, Ramadan avait refusé de s’étendre sur sa vie sexuelle devant les policiers. Cette fois-ci, il s’est livré… dans le but de construire sa défense.
S’il conteste être l’auteur de viols, l’islamologue admet… être un Tartuffe. En marge des conférences lors desquelles il professait une pratique conservatrice de l’islam, Tariq Ramadan a eu des relations extraconjugales avec au moins cinq femmes. « J’ai eu des hauts et des bas, des fois où j’ai été totalement en cohérence avec mes principes et d’autres où j’étais plus fragile », avoue-t-il aux juges. Comment l’expliquer ? Revenant bien vite aux fondamentaux de sa vision des femmes, l’universitaire estime… être victime de son succès. « Ce sont des femmes qui viennent me chercher », plaide-t-il, expliquant être « pas seulement sollicité comme un intellectuel mais aussi comme un homme ». Le récit qu’il fait aux juges de sa vie quotidienne est celle d’un séducteur involontaire, poursuivi par des femmes incapables de résister à son charme. « Je passe au Bourget pour une conférence, et le service d’ordre doit sortir trois femmes des toilettes parce que j’y vais« , relate-t-il, rappelant aux juges qu’il a été « élu parmi les sept hommes les plus sexy du monde » dans un journal.
Ici, je veux être parfaitement honnête.
Nous savons tous que les arabes pris en flagrant délit de viol ou d’autre chose nient toujours avec férocité, surtout lorsque tous les éléments les accablent.
Mais dans le cas de Ramadan, où il a essentiellement couché avec des musulmanes (converties ou non), je tends à croire que ce qu’il dit est vrai à 75%. Il ne fait pas l’ombre d’un doute, pour toutes ces traînées en voile, que Ramadan est le mâle musulman par excellence, sorte de poète à demi-djihadiste qui peut broder indéfiniment sur le Coran ou l’histoire islamique.
C’est ce qui se fait de mieux chez eux. Tous les autres arabes connus sont des footballeurs ou des rappeurs, pour ne pas parler de leurs frères dealers de came. Aucun ne peut articuler un semblant de discours de nature à faire fantasmer les femmes.
En sachant que les médias juifs l’ont largement promu avant de s’en mordre les doigts, le prestige de Ramadan auprès des femelles musulmanes ne souffre, à mes yeux, aucun doute. Si vous vous rappelez, ce gros juif de Moati avait mis en scène l’affrontement entre Ramadan, défenseur des bougnoules opprimés, et de Villiers, faire-valoir du youpin Sarközy.
Bref, pendant longtemps, Ramadan a été l’instrument des juifs.
Pour en revenir au sujet, chez les musulmans, il est entendu qu’un homme puissant et influent a naturellement le privilège d’avoir plusieurs épouses, en plus d’un nombre infini de maîtresses.
Tariq Ramadan s’exprime également sur la nature de ses relations avec les femmes. Il avoue avoir cédé à la tentation, pour s’engager dans un « jeu sexuel » avec certaines. Le plus souvent d’après lui, ces rapports sont restés « virtuels », et n’ont pas donné lieu à des rencontres en chair et en os. Il concède toutefois avoir eu des relations physiques avec la troisième femme qui a porté plainte contre lui pour viol, surnommée Marie. « C’est moi qui étais harcelé, j’étais dépassé », ose Ramadan, qui a vu Marie, une ancienne escort-girl, pendant deux ans. Avec ses autres maîtresses, le prédicateur échangeait des messages au ton parfois ambigu : « Si je te vois, je te viole », aurait-il écrit à une femme. Interrogé par les juges, Ramadan jure n’avoir « jamais exercé de violence sur une femme », évoquant des « rapports fougueux, de domination » dans un « cadre de consentement et de complicité ». Un récit éloigné du témoignage de Marie, qui décrit des rapports de soumission extrêmement violents ayant débouché sur un viol, mais qui a convaincu les juges : ceux-ci ont décidé de ne pas faire déboucher cette plainte sur une mise en examen. « Je le dis et je le répète, je ne suis pas violeur », lance l’islamologue aux juges. « Quand on me dit ‘non’, c’est non. » Et lorsque la juge lui demande si les femmes qu’il fréquente sont « toujours en mesure de [lui] dire non », il affirme avoir déjà essuyé des refus, et ne pas avoir « utilisé [son] statut pour maintenir les femmes sous [son] emprise ».
Il est probable que les femelles musulmanes qui voulaient coucher avec Tariq en aient pour beaucoup plus que leur argent. Mais je suis sûr que l’écrasante majorité de ces traînées ont aimé les sessions offertes par le baiseur d’allah.
En outre, prendre au sérieux une ancienne escort girl dans une affaire de viol : LOL.
La suite vaut le coup.
En ce qui concerne les deux premières femmes qui ont porté plainte contre lui, Christelle et Henda Ayari, Tariq Ramadan nie en revanche toute relation sexuelle. A propos de Christelle, qui a témoigné pour Marianne, il certifie que leurs relations, entamées par la femme de 42 ans via Facebook, sont restées « de nature virtuelle et sexuelle ». Reconnaissant l’avoir rencontrée dans son hôtel à Lyon, il nie l’avoir faite monter dans sa chambre. Pour ce qui est de Henda Ayari, Tariq Ramadan raconte là aussi que c’est elle qui lui aurait demandé, avec des « mots crus », d’être « dominée ». Pour l’islamologue, les plaignantes sont déterminées à lui nuire, étant téléguidées par ses adversaires, comme l’essayiste d’extrême droite Alain Soral ou Caroline Fourest (contributrice à Marianne).
Cinq femmes ont pour l’heure porté plainte pour viol contre Tariq Ramadan. Trois d’entre elles sont françaises : si la plainte de Marie n’a pas abouti, celles de Henda Ayari et Christelle ont débouché sur des mises en examen. Tariq Ramadan est également poursuivi pour viol aux Etats-Unis. Enfin, une cinquième femme a porté plainte en Suisse et son témoignage doit être versé au dossier français.
Je ne savais pas que Soral cherchait à lui nuire. C’est possible.
En revanche, cette lesbienne enjuivée de Fourest, voilà qui n’est pas surprenant. C’est la team BHL.
Une équipe dont la moralité dépend largement de l’appartenance ethnique du client.
Quant à cette histoire de domination, bien sûr. Je veux dire, des garces qui cherchent ça, il y en a un sacré paquet en circulation. Et le Ramadan était tout disposé à leur donner ce qu’elles voulaient.
Bref, c’est d’abord et avant tout un règlement de compte juif contre un compétiteur du bougnoulistan. Mais la méthodologie témoigne une nouvelle fois à quel point les femmes sont aisément manipulées par les juifs pour détruire un ennemi.