Capitaine Harlock
Démocratie Participative
10 août 2017
On ne peut pas dire que ce soit une surprise absolu. Enfin, pour moi et les gens comme moi, ceux qui sont atteints du virus raciste.
Hamou Benlatrèche est le principal suspect dans l’attaque des militaires renversés dans la matinée à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine). Là où peu avant 8h, une voiture-bélier a foncé dans le groupe de soldats, déployés dans le cadre de l’opération Sentinelle, en blessant six dont trois grièvement. L’oeuvre d’une BMW qui prend la fuite immédiatement après l’attaque et qui sera interceptée quelques heures plus tard sur l’A16 dans le Pas-de-Calais.
Vous aurez noté que les médias ont parlé d’un certain « Hamou B. ». « B. », ça peut être « Bernard ». Moi j’avais plutôt pensé à « Bougnoule ». Mais je suis de parti pris.
Pour l’instant, les enquêteurs travaillent encore à déterminer les motivations du conducteur. Selon nos informations, il n’était pas connu des services de renseignements pour sa radicalisation. Cet homme de 37 ans, de nationalité algérienne, portant une épaisse barbe noire et atteint d’un strabisme, habite Bezons (Val-d’Oise), dans un secteur limitrophe de Sartrouville (Yvelines), une commune qui abrite une communauté salafiste. Après les attentats de Paris, des perquisitions administratives y avaient été menées. Dans le quartier de Bezons où les forces de l’ordre menaient hier soir une perquisition, les riverains ne le connaissaient pas. « Benlatrèche n’était pas fiché S. Son dossier dans les archives de la police est fort de quelques antécédents judiciaires de petite délinquance, évoque une source proche de l’affaire. Il est notamment connu pour infraction à la loi sur les étrangers. »
Déjà : regardez sa gueule. Une nouvelle manifestation des ravages de la consanguinité en Algérie. Pour ceux qui l’ignoreraient encore, au moins 40% des algériens se marient avec leurs cousins du premier ou second degré.
Ensuite, il paraît que les médias français, surtout radios ou télés, expliquent que ce crouille n’a aucun casier et était « en situation régulière ». C’est faux, comme on le voit. Le but est évidemment de cacher l’énormité du scandale : c’est un clandestin qui était connu des services de police. Et comme de juste, ces branleurs n’ont strictement rien fait pour le virer. Ils parlent même « d’incident », de ce que j’en ai lu.
En France, il n’y a aucune espèce de volonté de dégager ces pouilleux. Vous voyez souvent, dans la presse, des clandestins condamnés pour du droit commun être emprisonnés puis relâchés. De facto, les juges rouges ont rendu l’immigration irréversible, surtout avec la vermine maghrébine.