La Rédaction
Démocratie Participative
08 septembre 2024
C’est une véritable interview du Figaro.
Apparemment, ils n’ont pas saisi l’absurdité de la situation.
Sumaia, jeune Afghane de 23 ans exilée en France, raconte la vie sous le régime taliban.
Retrouvez l’intégralité de l’entretien →https://t.co/435lB4SW0i pic.twitter.com/LPxJPYcGiX— Le Figaro (@Le_Figaro) September 8, 2024
Cette traînée ne fuit pas les « Talibans » et encore moins l’islam, mais son pays.
Elle explique qu’elle doit son visa royal pour la France à une interview pour un « podcast » avec une « radio publique » française.
C’est tout ce qu’il faut pour devenir une « opposante » politique en France : être basanée, musulmane et parler 10 minutes à un gauchiste de RFI.
Ayant entendu parler de la CAF, elle a fait la route et elle est désormais inexpulsable grâce à sa carte magique de « féministe persécutée » inventée de toutes pièces.
Un peu de patience et « Sumaia » va rapidement découvrir qu’il faut faire barrage aux racistes qui haïssent l’islam.
Les gens du coin donc.
Le nombre de rastaquouères qui viennent échouer en France est mirobolant.
Chaque année, un demi-million de ces éléments insolites et bigarrés enflent le stock.
On entend à peine parler français au coin des rues. Ce ne sont que des gueules patibulaires écrasées par des millénaires de consanguinité.
Tout ce beau monde bouillant d’une haine intérieure qui peut éclater à tout instant contre l’autochtone. De préférence au couteau.
Ça vous fait chier de quoi en fait? J’arrive pas comprendre ca change quoi à votre vie qu’une femme porte le voile? Vous pouvez aboyer autant que vous voulez le voile n’est pas interdit, les musulmans sont autant français que vous, si vous pas content quittez la France hein
— Nav P (@Napanap75) September 8, 2024
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