Captain Harlock
Démocratie Participative
01 août 2018
La Suisse, comme vous le savez, n’est plus que l’ombre de ce qu’elle était jadis. Finie la neutralité de cet état qui est désormais sous l’étroite surveillance de la finance juive qui rackette régulièrement le pays.
L’athlète héroïque Pascal Mancini illustre parfaitement cette réduction en esclavage. Il est ignoblement persécuté pour quelques écrits postés sur Facebook dont le contenu est parfaitement anodin.
Le Temps :
Le sprinter d’Estavayer-le-Lac ne courra pas le 4×100 mètres des championnats d’Europe de Berlin. La fédération Swiss Athletics lui reprocherait ses publications à caractère tendancieux sur les réseaux sociaux, où il affiche sa proximité avec des figures de l’extrême-droite
Le 15 juillet dernier, Pascal Mancini publiait sur son profil Facebook une photo de lui en train de courir son tout premier relais alors qu’il était âgé de 13 ans, en 2002, avec ce message pour mesurer le chemin parcouru: «Le 12 août 2018, je courrai avec l’équipe de Suisse de relais 4×100 mètres aux championnats d’Europe à Berlin dans le stade Olympique.»
Finalement, ce ne sera pas le cas. La fédération Swiss Athletics a décidé de priver le sprinter d’Estavayer-le-Lac de cette course par équipes, et la raison se trouve une nouvelle fois sur sa page Facebook. Dimanche, l’édition dominicale du Blick soulignait qu’il avait publié une vidéo d’une horde de singes après la victoire de l’équipe de France à la Coupe du monde de football, sans la commenter lui-même, mais sans intervenir non plus à l’encontre de ceux qui intervenaient avec des propos racistes, du type «l’équipe de France et ses amis», rapportait le journal. Cette vidéo est aujourd’hui supprimée.
Depuis cet article, la polémique enfle. Elle s’inscrit dans un contexte sensible, nourri par tous ceux qui ont voulu voir «une victoire de l’Afrique» dans le sacre des Bleus en Russie, ainsi que par la mésaventure de l’athlète italienne d’origine nigériane Daisy Osakue, blessée à un œil dimanche soir après avoir reçu un œuf lancé depuis une voiture, à Turin. La spécialiste du lancer du disque risque de ne pas pouvoir participer aux championnats d’Europe de Berlin, qui commencent jeudi.
Lundi soir, quand Swiss Athletics a publié la liste des sportifs sélectionnés pour l’événement, Pascal Mancini apparaissait en lice pour le 100 mètres individuel, mais il était évincé du relais. Contacté par l’agence de presse ATS, le chef de la communication de Swiss Athletics Beat Freihofer n’a pas nié le lien entre cette décision et la tempête consécutive à l’article du Blick: «De tels remous n’aideront pas l’équipe à se préparer sereinement à Berlin.»
«Bravo au journaliste qui a bien réussi son coup. […] Je suis très triste de ne pas courir le relais. Nous avions un énorme potentiel», a réagi sur sa page Facebook Pascal Mancini après l’annonce de sa non-sélection. Plus tard mardi, il a lancé une campagne de financement participatif, accompagné d’un nouveau message: «Les médias veulent me détruire en m’empêchant de courir afin que je ne puisse plus vivre de mon sport et donc arrêter ma carrière sportive à cause de mes opinions.»
Selon la presse alémanique, Swiss Athletics se réserverait la possibilité de l’empêcher de participer au 100 mètres individuel, voire de lui retirer sa licence. La fédération n’a pas pu être contactée mardi soir.
Il n’y a plus un état d’Europe occidentale dont les médias officiels ne soient pas devenus l’instrument de la brutale répression juive contre les honnêtes patriotes.
Comment ne pas comprendre la profonde amertume que ressent Pascal Mancini suite à ces persécutions qui l’empêchent de courir dans le stade olympique de Berlin.
La bête se divertit de plonger le moindre homme de qualité dans le désespoir le plus profond.
C’est d’ailleurs la définition même de l’esprit judéo-démocratique.
Mais il faut savoir endurer les coups les plus bas des hyènes judéo-communistes.
La justice triomphera.