Suèdistan : Deux nègres violent une jeune Suédoise et endommage définitivement le cerveau d’un adolescent

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
14 avril 2017

 

Saluons la modération des juges suédois qui ont su comprendre qu’il ne fallait sanctionner trop durement des enfants qui fui la guerre syrienne.

Breitbart :

Deux migrants ont été condamnés à trois et deux ans et demi de prison pour avoir battu un jeune Suédois presque à mort avant de violer une de ses amies. Le gouvernement suédois n’expulsera qu’un des violeurs, temporairement.

Le journal Freie Zeiten rapporte que trois jeunes filles et un de leur ami s’étaient rencontrés pour une fête dans un appartement de Kista, à Stockholm. L’une des filles a invité dans les lieux un migrant du Libéria de 21 ans, un certain « Richelieu Jarara ». Celui-ci avait emmené avec lui un autre migrant africain, un Kenyan dénommé Fayed Mwangi.

Très vite, les migrants ont commencé à agressé sexuellement les filles. Les choses ont vite escaladé, les deux africains gazant à l’aide du bombe lacrymogène le jeune Suédois. Ils l’ont ensuite battu sauvagement, le laissant avec plusieurs hémorragies cérébrales, de sévères plaies et des hématomes sur tout le corps ainsi que des fractures et des blessures ouvertes.

Les trois filles, tout comme les attaquants, ont pensé le jeune homme mort. Jarara a ensuite télécharger une vidéo sur son téléphone portable dans laquelle il s’amusait d’avoir « tué un type ».

Le jeune était en fait vivant mais inconscient. Il a subi des dommages au cerveau irrémédiable.

Le complice de Jarara, Mwangi, a quant à lui tenté d’étrangler une des filles qui essayait d’intervenir, la jetant ensuite contre le mur puis la traînant jusqu’à la porte. Le migrant kenyan a ensuite attrapé une autre fille par les cheveux, l’a amené de force dans la chambre et la violer. Elle a aussi été étranglé, avec le subsaharien menaçant de la frapper si elle criait.

Le drame a cessé quand un voisin est entré dans l’appartement, permettant aux filles de fuir.

Selon le journal Fria Tider, la justice a condamné Mwangi à seulement deux et demi de prison pour ses crimes malgré le fait qu’il ait déjà violé une autre femme en mai 2016. Le gouvernement pourra l’expulser après sa peine, mais seulement pour dix ans.

Jarara, qui a déjà de nombreux crimes et délits à son actif, a reçu trois ans de prison mais ne sera pas expulsé.

Leçon de cette histoire : si l’idiote de blanche n’avait pas ramené ce nègre, il n’y aurait eu aucun viol et le jeune homme n’aurait pas le cerveau détruit, avec ce que cela suppose de prise en charge pour sa famille.

L’antiracisme des femmes blanches est une menace sécuritaire immédiate.

Vous êtes prévenus.