Breiz Atao
13 avril 2017
Un des plus grands journaux suédois, le Aftonbladet, a demandé le plus sérieusement du monde à interdire les voitures et camions dans les centres urbains pour contenir les attaques djihadistes. La question centrale de l’immigration afro-islamique comme cause semble toujours inaccessibles aux élites de gauche du pays.
Dans un article, Eva Franchell assure avoir trouvé la solution (source) :
Les voitures sont devenues des armes mortelles. Elles sont faciles à voler et rien n’a été capable de les stopper. A Nice, Berlin, Jérusalem, Londres et Stockholm, elles ont été utilisés comme marchines à tuer très efficaces par les terroristes qui voulaient assassiner de nombreuses personnes. Si les gens doivent être protégés à l’avenir, les voitures doivent simplement être retirées des endroits fréquentés et des centres villes. Il n’est pas raisonnable qu’un gros camion puisse être conduit dans une rue passante populaire de Stockholm, un vendredi après-midi, peu avant Pâques. Les politiciens ont été bons pour se protégés mais maintenant ils doivent s’assurer que des besoins en environnements sûrs pour les citoyens.
Les élites multiculturalistes suédoises semblent croire en la radicalisation des voitures et des camions et non en celle de leurs protégés afro-musulmans. Des nationalistes bretons avaient d’ailleurs proposé, très ironiquement, cette piste de réflexion peu après l’attentat.
La gauche suédoise a réussi à faire de l’ironie une réalité.
Qu’à cela ne tienne, la « radicalisation des couteaux » devrait prendre le relais.