Captain Harlock
Démocratie Participative
22 février 2019
Alors que rien ne semblait devoir endiguer la marche en avant du cancer judéo-féministe, les dieux ont une nouvelle fois déjoué les plans de leur maître sémite grâce à une prothèse divine : les femmes robots.
Trois organisations féministes suédoises affirment que les robots sexuels et les poupées sexuelles renforcent l’opinion selon laquelle les femmes sont des objets et normalisent la violence des hommes à l’égard des femmes. Ils réclament une législation ciblant une technologie « reproduisant des idées sur l’exploitation du corps des femmes ».
Trois organisations féministes suédoises, Sweden’s Women’s Lobby, l’Organisation nationale pour les refuges pour femmes et les foyers pour jeunes femmes (Roks) et l’organisation pour l’autonomisation Unizon ont publié un appel conjoint dans le journal Expressen, dans lequel elles demandent une interdiction des « dangereux » robots sexuels pour hommes.
Les commentateurs ont noté que les robots sexuels actuels présentent souvent les « apparences et attributs typiques de l’attitude objectivante, sexualisée et dégradante à l’égard des femmes qui caractérise la pornographie traditionnelle ».
Lol.
Ces traînées veulent une loi pour « protéger les femmes » parce que des hommes touchent des morceaux de plastique. Bien sûr.
Je peux vous dire que nous allons voir ces Blanches castratrices multiplier les concepts vaseux pour empêcher à tout prix l’émergence d’une menace inédite : la femme synthétique.
Bien sûr, coucher avec un robot est contre-nature et bizarre même si, dans l’absolu, la différence technique avec la masturbation est très mince.
En tout cas, je trouve ça, a priori, extrêmement bizarre. Mais c’est parce que j’ai en tête ces poupées horribles des années 90.
Ce n’est pas de ça dont il est question. Ce dont il est question, c’est de femmes synthétiques qui, d’ici 40 ou 50 ans, seront difficilement distinguables des femmes naturelles.
Les Chinois arrivent déjà à des résultats très réalistes alors même que la technologie en est à ses débuts.
Nous ne sommes pas programmés pour être attirés par des morceaux de plastique inanimés.
Or, c’est précisément la nouvelle donnée de l’équation : ces robots sont de plus en plus réalistes.
C’est-à-dire qu’elles ont de plus en plus l’air d’être de véritables êtres vivants.
C’est ce qu’ont bien compris ces organisations de traînées féministes.
De la même façon que leur promotion de l’ouverture des frontières aux mâles marrons leur donne toujours plus de pouvoir sur les hommes blancs en raison de l’augmentation de la demande sexuelle qui en découle, ces femmes robots sont de nature à leur faire perdre le seul levier dont elles disposent pour contrôler les mâles blancs, donc la société : l’accès au sexe.
Le féminisme se résume très simplement : sur les conseils du Docteur Cohen, la traînée X dit à son mec qu’elle refuse de coucher avec lui s’il ne se soumet pas à ses moindres caprices.
Et Dieu sait que les femmes, en termes de caprices, ont une imagination sans limites.
Les hommes occidentaux, en abandonnant leur droit de propriété sur les femmes dans les années 60, se sont placés eux-mêmes dans cette situation où les Blanches ont érigé le chantage au sexe en système de domination sociale.
Fatalement, plus les femmes ont vu qu’en crisant les hommes lâchaient la bride, plus elles se sont mis à criser.
Pourquoi les hommes voudraient seulement trouver un compromis avec ces femmes infectées de féminisme si ce n’était parce qu’ils ont un besoin sexuel et affectif à satisfaire en vue de bâtir un foyer ?
Ce que ces femmes synthétiques peuvent bouleverser à terme est simple : quand les femmes infectées par le féminisme sémitique se mettront à criser pour obtenir quelque chose, les hommes blancs ne seront plus dans le coin pour les écouter parce qu’ils auront trouvé un moyen alternatif pour satisfaire leurs besoins.
Ce ce truc peut très rapidement anéantir le féminisme. Il ne faudrait pas longtemps avant que les hommes se disent, « mais pourquoi sont-elles autour de nous ? »
Je dis ça dans l’hypothèse où personne ne pourrait distinguer une femme synthétique d’une femme réelle, sur tous les plans.
Une femme synthétique qui modulerait son comportement pour répondre au caractère propre de chaque homme.
« Pourquoi les hommes sont-ils disposés à payer des dizaines de milliers de dollars pour un robot qui obéit à leur plus petit commandement? » les féministes ont demandé rhétoriquement. « Une femme robot ne peut pas dire non à quelque chose que l’homme veut, si elle n’est pas programmée pour le faire », se sont plaintes des féministes.
Voilà. C’est ce dont je parlais.
C’est la seule chose qui leur importe : leur obsolescence.
Les femmes pourraient devenir obsolètes au 21ème siècle. Elles seraient de facto en compétition avec des femmes synthétiques qu’elles ne pourraient jamais battre.
Ces traînées féministes qui ont édifié leur empire sur le rationnement sexuel ne peuvent bien sûr pas avouer que tous leurs efforts visent à contrôler l’homme blanc. Elles dissimulent leur perversion sous un verbiage moralisant perfide, en culpabilisant les besoins sexuels des hommes pour les dominer.
Les dirigeantes des organisations de femmes ont affirmé que les fantasmes stimulés par une telle technologie pourraient conduire à une véritable violence contre les filles et les femmes. Ils ont également établi des parallèles avec la pornographie, dont la consommation, selon eux, conduit à des attitudes sexistes et à la violence réelle. La déshumanisation des femmes justifie l’esclavage et l’exploitation du corps féminin par le biais des nouvelles technologies en fait partie, ont-ils affirmé.
Les trois organisations ont demandé qu’une enquête soit menée afin de formuler des propositions sur « la manière dont la technologie et les activités normalisant les abus peuvent être restreintes et interdites ».
Ce sont évidemment des extrapolations mensongères et sans aucune espèce de matérialité scientifique.
D’ailleurs, elles enchaînent en affirmant pratiquement que la masturbation aboutit au viol. Car il est évident que la consommation de pornographie est étroitement liée à la masturbation.
Les féministes veulent également que les autorités suédoises rendent difficile l’ouverture de « maisons de prostitution avec des robots sexuels et des poupées » en Suède. Contrairement au Danemark et à la Finlande, pays voisins, la Suède n’a toujours pas ouvert de maison de passe automatisée sans prostituées humaines. Les organisations ont établi des comparaisons entre les robots sexuels et la prostitution.
C’est là que vous avez la démonstration de ce que je dis : les bordels avec de véritables femmes ne les gênent pas. Pour la bonne raison qu’il n’y aura jamais un nombre de prostituées tel qu’elles pourraient servir d’alternative à grande échelle aux femmes du quotidien reprogrammées par le féminisme.
Si ces fémino-talibanes suédoises veulent à tout prix faire fermer ces bordels synthétiques, c’est pour éviter que les hommes blancs ne comprennent à quel point la technologie robotique fait des progrès fulgurants et n’en viennent à nourrir l’idée d’en posséder une en propre.
« La Suède dispose depuis 20 ans d’un cadre réglementaire punissant les acheteurs de produits sexuels et réduisant la demande de prostitution. <…> La Suède doit maintenant franchir une nouvelle étape et oser s’attaquer aux développements technologiques en cours conduits par l’industrie du sexe à aux frais des femmes et des filles réelles » , ont-ils conclu.
« Oh non, on a aucune chance si on laisse la concurrence fonctionner. Vite, le socialisme sexuel et le goulag pour ces porcs ! »
Enfin, ils ont exigé que de telles poupées et robots soient inclus dans les programmes d’éducation sexuelle et abordés dans une perspective qui présente la relation entre sexualité et pouvoir comme problématique.
En 2014, la Suède a reçu son premier gouvernement « féministe », qui met un accent particulier sur les droits des femmes.
Comme je vous le disais, cette histoire de « viol » n’est qu’une arnaque de la part de ces traînées.
C’est un leurre pour criminaliser toute tentative de la part des hommes blancs pour reprendre le contrôle de leur sexualité, donc de leur pouvoir. Et ruiner la tyrannie judéo-vaginocrate dans le processus.
Si d’ici 50 ans vous avez ces femmes synthétiques et un système de reproduction artificiel qui externalise la gestation d’un enfant, ces traînées castratrices seront devenues inutiles.
La seule option pour elles, si cette tendance se poursuit, c’est de se démener pour démontrer leur valeur ajoutée aux hommes. Car ce sont les hommes qui bâtissent la société, qui la pensent et la défendent.
Donc, qu’elles commencent à s’habiller décemment et à filer droit.
Si la fonction biologique et maternelle des femmes occidentales est remplacée, elles ne serviront tout simplement plus à rien.
Vous devriez commencer à leur mettre ça sous le nez parce que cela devient tangible.
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