La rédaction
Démocratie Participative
02 mai 2024
Les femmes dans la police représentent un véritable atout pour la sécurité publique. En fait, plus il y a de femmes dans la police, plus la sécurité grandit.
Euronews :
La Suède est confrontée depuis quelques années à une recrudescence de la violence, les gangs se disputant le contrôle des marchés de la drogue.
Une enquête menée en Suède a révélé que des employés de la police ont divulgué des informations confidentielles à des membres de gangs avec lesquels ils avaient eu des relations sexuelles.
Ça c’est une surprise.
On aurait presque l’impression que le féminisme est une machine à fabriquer des traînées déloyales.
Le Premier ministre suédois, Ulf Kristersson, a admis lundi qu’il était préoccupé par les révélations « très graves » du journal Dagens Nyheter.
Dans un rapport publié ce week-end, le journal a affirmé que les fuites comprenaient des informations sur les ennemis des membres de gangs impliqués dans ces relations (sexuelles, ndlr). Le rapport affirme que dans quatre cas, les fuites ont été suivies d’attaques de représailles, y compris de meurtres.
Au moins 30 employés de la police ont été considérés comme des « risques pour la sécurité » pour différentes raisons et ont démissionné ou ont été contraints de démissionner, selon le journal.
Dagens Nyheter précise que dans plusieurs cas, des criminels ont entamé des « relations sexuelles avec des policiers stratégiquement sélectionnés ».
Oh non, c’est impossible, jamais nos princesses aryennes ne nous trahiraient pour se faire sauter par des nègres et des arabes, c’est un mensonge des incels !
Une deuxième tendance a également été révélée : des employés de la police d’origine internationale ont cédé aux pressions exercées par des membres de la famille de criminels.
Incroyable, les métèques n’ont pas plus de loyauté que les traînées !
Les gangs auraient également exploité des vulnérabilités telles que les dettes de jeu ou la toxicomanie pour manipuler les agents et le personnel afin qu’ils fournissent des informations.
Louise Brown, directrice de l’agence de prévention de la criminalité financière Advisense, a comparé ces tactiques aux « méthodes de la mafia, lorsque les criminels ont infiltré le secteur public, nos autorités les plus importantes, et influencent les décisions, ce qui permet d’accroître la criminalité ».
Le ministre suédois de la justice, Gunnar Strömmer, rencontrera mardi les responsables de la police pour discuter des fuites.
« Cela montre qu’il existe des vulnérabilités dans l’ensemble de notre société, y compris dans le système judiciaire. Nous devons regarder cela avec les yeux ouverts et prendre des mesures », a déclaré M. Strömmer.
« Nous discuterons des informations qui viennent d’être révélées, des mesures déjà prises par la police pour contrer ce type d’infiltrateurs, de l’opportunité de prendre d’autres mesures et de l’opportunité de demander au gouvernement et aux responsables politiques d’en prendre d’autres », a-t-il ajouté.
Les mesures sont connues : interdire aux femmes d’exercer le moindre poste de décision et expulser tous les non-Blancs du pays.
Hélas, comme la Suède est une démocratie, elle est structurellement constituée pour être dirigée par des femmes, donc être faible, ce qui laisse le champ libre aux prédateurs immigrés.
Les Suédois préférant la démocratie et le féminisme plutôt que de vivre dans un pays civilisé, ils vont devoir continuer à coexister avec le tiers-monde.
Contre la censure
Utilisez Brave et Tor en suivant notre guide ici.
Ou utilisez un VPN.