Captain Harlock
Démocratie Participative
05 Mai 2020
Le dieu Víðarr travaille avec patience.
En Suède, le rappeur antifa Einar a été kidnappé, torturé puis violé collectivement par un gang de nègres musulmans. Les images de la séance de travail personnel ont été diffusées par les auteurs des faits eux-mêmes, légitimement fiers de s’être servis d’une pute antifasciste comme capote.
Einar devait penser que la barrière de la race était une invention de l’extrême-droite et que chanter comme un nègre en fumant des joints suffirait à lui offrir un pass auprès des somaliens.
Cela s’est avéré être une sérieuse erreur de calcul.
Si vous ne connaissez pas « l’oeuvre » de cette lope, voici un extrait.
Ces nègres mentaux que sont les rappeurs blancs style Eminem et autres sont encore plus méprisables que les nègres ou les arabes à proprement parler. La cerise au cyanure sur le gâteau au typhus négroïde.
En tout cas, le destin, une nouvelle fois, dévoile avec espièglerie ses enseignements. Je ne vais pas aujourd’hui évoquer de quelle sous-humanité l’antifa est le masque. Il nous suffira de dire que c’est, au caractère, un sous-bougnoule, un sous-juif, un sous-nègre. Rien de ce qui dégoûte à raison le coeur noble ne répugne ce dépôt de calcaire pisseux que l’on retrouve dans toutes les chiottes des kebabs de France.
Je demande solennellement le pardon des auteurs qui ont fait oeuvre de justice.
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