Steam décide finalement de laisser les Nazis sur sa plateforme de jeux

Captain Harlock
Démocratie Participative
09 juin 2018

Comme vous l’avez nécessairement remarqué, les gauchistes – puissamment soutenus par les juifs – veulent imposer une impitoyable censure sur toute la surface du monde blanc. Cela touche absolument tous les aspects de la vie quotidienne, y compris les jeux vidéos.

Steam avait reçu un coup de pression savamment organisé par les juifs, notamment par (((Vice))). En résumé, le nazisme fashion que l’on y trouve ici et là et l’absence de véritable censure antiraciste ou féministe rend nos (((amis))) des plus nerveux. En plus des lesbiennes décolorées qui ne pigent rien aux jeux vidéos.

On ne compte plus le nombre de jeunes Blancs qui ont commencé à trouver cool le Troisième Reich en jouant à des jeux de stratégie, etc. Et, évidemment, c’est un univers où les jeunes blancs sont particulièrement à l’aise dans la mesure où c’est un des rares espaces communautaires qu’ils peuvent avoir.

Tout ça sans que personne ne puisse venir vous faire chier car il suffit de dire, « ouai, c’est qu’un jeu ».

Steam, la plateforme de distribution de l’entreprise US Valve, avait laissé entendre qu’il allait censurer les jeux dénoncer par toute la chiasse qui pollue les revues de jeux vidéos, lesquelles ne représentent personne mais qui sont remplies d’immondes gauchistes et autres pédales hystériques.

Factornews :

Les dernières semaines, Steam a connu une crise existentielle à propos du contenu des jeux vendus. Tout a commencé il y a trois semainesquand Steam a retiré de la vente quelques jeux hentai pour leur contenu pseudo-adulte alors qu’ils ne semblaient poser aucun problème auparavant.

Puis une semaine après est arrivé un jeu appelé Active Shooter. Son pitch : vous mettre dans la peau d’un psychopathe parcourant les couloirs d’une école pour tuer les profs s’y trouvant tout en affrontant les forces de police. Valve a donc fini par retirer le jeu de la boutique mais pas à cause de son contenu, à cause du comportement de son développeur et de ses pratiques douteuses.

Depuis, Agony est sorti sur Steam et propose un joyeux cocktail de violence et de sexe, nettement moins soft que les jeux hentai mentionnés plus haut. Valve a rapidement compris que la politique « deux poids, deux mesures » ne plaisait à personne, et ils viennent donc de prendre une décision : Valve acceptera TOUS les jeux quel que soit leur contenu sauf ceux violant la loi ou existant juste pour emmerder le monde. En clair Valve adopte la même politique que dans les écoles américaines : tirer dans le tas et Dieu fera le tri. Valve estime que c’est le portefeuille des joueurs qui fera office de censure. Même Google ne va pas aussi loin avec Google Play. Et puis Valve admet à demi-mot que depuis Steam Direct, ils n’ont pas les ressources pour modérer Steam comme Apple le fait avec l’App Store.

Oubliez ces histoires de jeux pornographiques, le fond du débat est ailleurs et il faut aller sur Steam pour voir de quoi il est vraiment question.

Steam :

Le défi est que ce problème n’est pas seulement de savoir si Steam devrait contenir des jeux violents ou pour adultes. Il s’agit de savoir si le magasin peut contenir des jeux abordant toute une série de sujets controversés – politique, sexualité, racisme, genre, violence, identité, etc.

Finalement, nous sommes revenus à un des principes que nous avions en tête quand nous avons créé Steam : ça ne devrait pas être à nous de décider. Si vous êtes un joueur, nous ne devrions pas pouvoir choisir pour vous quel contenu vous pouvez, ou non, acheter. Si vous êtes un développeur, nous ne devrions pas choisir quel contenu vous êtes autorisés à créer. Ça devrait être à vous de choisir.

Donc, la politique officielle de Steam est celle que les gauchistes redoutent le plus : la liberté.

La plateforme ne va pas être purgée comme l’espéraient les communistes.

Ces saloperies ragent comme des dingues. Il suffit de parcourir tous les sites d’actu de jeux pour voir les rédactions au bord de la crise.